La nouvelle directrice générale du Fonds monétaire international, Christine Lagarde, a pris ses fonctions mardi 5 juillet. "Pour marquer qu'il n'y a pas de retour en arrière, le FMI a publié les termes de son contrat et ajouté, depuis l'affaire DSK, une clause : la directrice devra suivre une formation d'éthique", relève Sophie Fay, journaliste au service économie du "Nouvel Observateur", qui analyse les trois grands sujets qui attendent Christine Lagarde (voir vidéo ci-dessous).
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La nouvelle présidente du FMI va être confrontée à trois grands sujets. Analyse de Sophie Fay, journaliste au service économie du "Nouvel Observateur".
La directrice générale désignée du Fonds monétaire international (FMI) Christine Lagarde a quitté Bercy sous de chaleureux applaudissements, remettant les clefs du ministère de l'Economie à François Baroin. (c) Afp
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Sous un grand chapiteau, en bordure du port de Tripoli, une centaine de fusils semi-automatiques..." Opération de communication dans la capitale libyenne. Par Christophe Boltanski, à Tripoli.
Un portrait du colonel Kadhafi devant un bâtiment touché par une frappe de l'Otan, le 6 juin 2011 à Tripoli (c) Afp (AFP)De notre envoyé spécial à Tripoli
Sous un grand chapiteau, en bordure du port de Tripoli, une centaine de fusils semi-automatiques FAL et des milliers de cartouches de 7,62 millimètres, rangées par boîte de vingt, sont alignés par terre, offerts aux caméras. Selon Moussa Ibrahim, le porte-parole du gouvernement libyen, cette cargaison était destinée aux rebelles.
Elle aurait été transportée par un bateau battant pavillon tunisien, déchargée sur deux embarcations légères, avant d’être saisie par des gardes côtes et des militaires libyens à proximité de la ville côtière de Zanzour, à une trentaine de kilomètres à l’ouest de la capitale. Pour la cinquantaine de journalistes étrangers débarqués d’un bus climatisé, c’est la sortie du jour.
Cette prise de guerre leur a été annoncée une heure plus tôt, au Rixos, un hôtel de luxe transformé en centre de presse, par le vice-ministre des Affaires étrangères, Khaled Kaaim.
Nouvelle livraison
"Après le parachutage par les Français d’armes à la rébellion, nous assistons à une nouvelle forme de livraison d’armes par voie de mer", a-t-il déclaré avant d’accuser l’Alliance atlantique et le Qatar de chercher à "provoquer des affrontements entre Libyens et le chaos dans le pays".
Les autorités libyennes en veulent pour preuve ces caisses exposées sous la même tente blanche et marquées au nom des "Qatar Armed Forces", les forces armées du Qatar. L’une d’elles porte un numéro d’immatriculation : "130301/2". "Tout cela n’est pas destiné à protéger des enfants, mais à répandre la mort", proclame Moussa Ibrahim, debout au milieu des munitions. "Onze rebelles dont deux officiers ont été arrêtés lors du raid".
"Je dois vérifier"
Peut-on connaître leur identité ? "Je vais me renseigner", promet le porte-parole. Quel était le nom du bateau tunisien ? "Je dois vérifier", ajoute-t-il. Les armes étaient, d’après lui, destinées à fomenter des troubles autour de Zawiya et Zuwara. Elles ne sont pas récentes. Un journaliste versé dans la chose militaire observe que le FAL, un fusil belge, est en service dans l’armée libyenne.
Finalement, l’information la plus importante est sans doute la reconnaissance par le régime de Mouammar Kadhafi que les rebelles déjà présents dans les montagnes de Nafoussah, à 80 km au sud de Tripoli, disposent aussi de partisans à l’ouest de la capitale.
Christophe Boltanski - Le Nouvel Observateur
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L'intervention armée en Libye a-t-elle conduit à une alliance secrète entre l'Iran et le pouvoir du colonel Mouammar Kadhafi ? C'est ce que qu'avancent désormais des milieux de renseignements occidentaux. La République islamique, craignant les conséquences de cette opération européenne et américaine en Afrique du Nord, aurait élaboré un plan pour transformer la Tripolitaine et la Cyrénaïque en bourbier pour les alliés de l'OTAN. Du moins, pour y faire durer le plus longtemps possible la résistance des forces de Kadhafi.
L'Iran cherche à tirer profit des bouleversements dans le monde arabe, y voyant un facteur d'affaiblissement de la position des Occidentaux au Moyen-Orient, ainsi qu'une diversion détournant l'attention de la communauté internationale de son programme nucléaire, disent ces sources.
Selon cette analyse, dans une directive émise début mai, le Guide suprême iranien, Ali Khamenei, a donné instruction à la force Al-Qods du corps des Gardiens de la révolution (pasdarans), l'armée idéologique du régime, d'apporter une assistance militaire au pouvoir du colonel Kadhafi dans sa guerre contre "l'axe du Mal Etats-Unis-France-Royaume-Uni".
Ce plan comporte des transferts d'armes, dont des missiles sol-sol et sol-air, ainsi que des lanceurs de grenades, devant être utilisés contre les forces de l'opposition libyenne. Ces transferts ont été confiés à des membres de la force Al-Qods basés en Algérie et au Soudan, une centaine d'entre eux ayant pénétré en Libye jusque dans des zones de la Cyrénaïque proches de l'Egypte, affirment ces sources occidentales.
Toujours selon cette version, le chef des renseignements des pasdarans iraniens, Hosain Taeb, a dépêché à Tripoli, la capitale libyenne, une petite équipe de commandants de haut rang des Gardiens de la révolution, placés sous son autorité. Leur mission étant de conseiller le régime libyen en matière de surveillance des communications et de renseignements.
Les Iraniens auraient par ailleurs conseillé le pouvoir de Mouammar Kadhafi dans sa tactique de dissimulation de matériel militaire et de combattants sur des sites civils. La directive du Guide suprême affirme que des frappes de l'OTAN sur ces lieux permettraient à Tripoli de répliquer par "des attaques de propagande, affaiblissant les agresseurs".
La stratégie de Ali Khamenei, ajoutent ces sources occidentales, consiste à "fixer" le plus longtemps possible les Occidentaux sur le théâtre libyen, dans l'objectif d'amoindrir leur capacité à réagir face à la répression en Syrie, allié majeur de l'Iran au Moyen-Orient.
L'intervention de l'OTAN en Libye suscite de vives critiques de la Russie, qui, en réaction, bloque toute résolution de l'ONU concernant la Syrie. Le ministre français des affaires étrangères, Alain Juppé, en visite à Moscou le 1er juillet, a essuyé des remontrances de son homologue russe, Sergueï Lavrov, sur ce dossier. La France met en exergue le fait que les agissements du pouvoir syrien font courir un fort risque de déstabilisation de toute la région.
Les Etats-Unis avaient accusé, dès avril, le régime syrien de rechercher l'aide de l'Iran dans sa politique d'écrasement de la contestation de rue. Du matériel de répression policière et des techniques de censure d'Internet auraient été fournies. Le 24 juin, l'Union européenne (UE) a endossé cette accusation, en décidant de frapper de sanctions trois hauts responsables des Gardiens de la révolution.
L'UE a accusé le commandant des pasdarans Mohammad Jaafari, le commandant de la force Al-Qods Qassem Soleimani, et Hosain Taeb, d'avoir "fourni une assistance au régime syrien dans la répression des manifestations".
Les manoeuvres régionales de Téhéran, sur fond de révoltes arabes, ont accru l'antagonisme entre l'Iran chiite et l'Arabie saoudite, puissance sunnite. La crainte des ambitions iraniennes a poussé les monarchies du Golfe à intervenir en mars au Bahreïn, pour consolider un pouvoir aux prises avec un soulèvement à dominante chiite.
En Syrie, le soutien iranien vise à préserver un appui stratégique, le régime allaouite, d'obédience chiite, qui sert de plaque tournante pour de nombreux transferts d'armes iraniennes vers l'étranger.
L'aide de l'Iran à la Libye du colonel Kadhafi, telle que la décrivent ces sources occidentales, peut apparaître paradoxale. Des responsables politiques et religieux iraniens ont multiplié ces derniers mois les déclarations de soutien à l'opposition libyenne, tout en taxant l'intervention des Occidentaux de visées néocoloniales. Historiquement, les relations entre Mouammar Kadhafi et le régime des mollahs ont toujours été détestables. L'Iran tient le colonel pour responsable de l'enlèvement et de la disparition en Libye, à la fin des années 1970, du charismatique chef religieux chiite libanais, Moussa Al-Sadr.
Ce contexte explique pourquoi, selon ces sources occidentales, le choix d'aider Mouammar Kadhafi a donné lieu à des dissensions au sein du pouvoir iranien, opposant le Guide suprême au président Mahmoud Ahmadinejad, qui était favorable à un soutien à l'insurrection anti-Kadhafi. Le débat a été tranché par Ali Khamenei et son entourage, qui a insisté sur le caractère clandestin de l'aide à Tripoli.
En portant secours à un pouvoir libyen avec lequel il n'a pas d'affinités, l'Iran ferait une démonstration de sa capacité de nuisance face aux Occidentaux, comme cela a été le cas en Afghanistan, où il a été accusé par les Etats-Unis d'avoir livré des armes et des explosifs aux talibans.
Le monde.fr
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 5 Juillet 2011 à 19:24
La Diaspora sénégalaise de France demandent aux pays amis d’intimer à Me Wade d’arrêter ses dérives écrit par douba Convaincu que «le règne de Abdoulaye Wade est assurément marquée du sceau de la mal gouvernance, de la gabegie et de l’accaparement des ressources publiques en toute impunité par un clan, de la hausse effrénée des prix, du rationnement de l’électricité obérant la productivité nationale et le bien-être des populations.Des inondations dans lesquelles vivent les sénégalais et du désespoir inaugurant l’ère des suicides par le feu et maintenant des manifestations populaires spontanées après les vagues d’émigration sauvage sur des embarcations de fortunes», la diaspora sénégalaise de France qui veut éviter au Sénégal le syndrome du printemps arabe ou pire le syndrome Ivoirien avec comme conséquence une déstabilisation de la région, a invité les dirigeants des pays amis et partenaires du Sénégal (surtout la France dont la qualité des liens historiques avec le peuple sénégalais gagnerait à être préservée) à intimer l’ordre à Me Wade d’arrêter ses dérives sous peine d’être traduit, lui et ses affidés, devant les instances juridictionnelles internationales.«C’est la seule manière de retrouver la voie sénégalaise : celle du dialogue, de la démocratie et de l’alternance pacifique initiée par Senghor et mise en œuvre par Abdou Diouf et qui a valu au vieux Président d’être élu à la tête du Sénégal» ont-ils fait savoir dans un communiqué reçu à la rédaction de Pressafrik.com
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 5 Juillet 2011 à 19:19
Karim Wade nous a enlevé une épine du pied. En déclarant publiquement qu’il est totalement contre toute forme de transmission dynastique, et en ajoutant que le Pouvoir s’acquiert par la voie des urnes », il a posé un acte qui « devrait rassurer tout acteur politique de bonne foi, particulièrement l’Opposition ».
Mame Mactar Guèye est au nombre de ceux qui, dans le camp présidentiel, ont toujours exprimé leur opposition au projet que l’on prêtait au Président de la République de transmettre le Pouvoir à son fils Karim.
Dans les débats, le Secrétaire général du Rassemblement démocratique sénégalais (Rds) et porte-parole de la CAP 21 continuait de soutenir qu’un tel projet « n’existait pas », mais manifestement, c’est maintenant qu’il en a la preuve. Et il ne doit pas être seul de ce côté puisqu’il affirme, dans une déclaration à Sud quotidien, que « les Alliés s’en trouvent mis à l’aise, car très souvent dans nos communications, il nous est arrivé de devoir répondre à cette question, mais sans vraiment avoir les arguments pour convaincre ». Maintenant, avoue Mame Mactar Guèye, « c’est clair, puisque le principal concerné à répondu à la place de tous ».
Selon M Guèye, l’Opposition devrait elle aussi se rassurer, puis qu’elle n’a pas arrêté, depuis des années, de nourrir des suspicions relativement à une supposée « volonté du Président Abdoulaye Wade de transmettre le pouvoir à son fils Karim ».
Autres points de satisfaction relevés par le porte-parole de la CAP 21, dans la Lettre de Karim Wade, « c’est d’avoir déclaré sans ambigüité, qu’il se considérait au même pied d’égalité que tous ses compatriotes. Que s’il voulait briguer le suffrage des Sénégalais, il le ferait dans le respect des voies démocratiques telles que consacrées par les textes et règlements en vigueur et de la morale politique ». De même, constate M Guèye, l’auteur du texte relayé par toute la presse lundi, a affirmé être militant du Part démocratique sénégalais (Pds), ce qui est une autre raison pour les libéraux de se sentir en sécurité que le fils du Président de la République ne projetait pas de substituer au Parti le Mouvement dit de la génération du Concret (GC).
Pourquoi a-t-il attendu si longtemps avant de réagir ?
« Lui seul sait ; j’estime pour ma part qu’il aurait pu le faire plus tôt mais c’est peut-être dans sa stratégie. Plutôt tard que jamais, il a parlé aux Sénégalais, c’est tant mieux.
Certains trouvent dans la voie épistolaire « un manque de respect » pour les Sénégalais, car Karim aurait pu donner une conférence de presse, voire s’exprimer en wolof.
« Chaque acteur politique a sa manière de communiquer. Idrissa Seck par exemple, a choisi le contact direct avec les journalistes ; c’est son style. Peut-être Karim fera-t-il la même chose prochainement, c e qui ferait de sa Lettre ouverte une première étape dans le processus de communication, qu’il aura choisi. Rien n’empêche que cela aille même jusqu’à la tenue d’un meeting populaire.Craint-il pour la langue, le Wolof par exemple ?
« Là je vais vous faire une révélation, Je l’ai entendu parler un wolof limpide, sans accent, et pas un mot de français. C’était à l’occasion d’une rencontre avec le Grand Serigne de Dakar.
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 5 Juillet 2011 à 19:16
Les députés de l’Assemblée nationale seront bientôt invités à se prononcer et à voter un ensemble de lois rectificatives du code électoral sénégalais. Voilà le grand enseignement issu de la rencontre que le comité de veille et de suivi de l’audit du fichier électoral a tenue hier, lundi 04 juillet, avec les membres de l’hémicycle. Une rencontre organisée dans le but de sensibiliser ces représentants du peuple sur les nécessaires modifications à apporter au code électoral, conformément au respect des 108 recommandations issues de la mission d’audit du fichier électoral. Les membres du comité de veille et de suivi de l’audit du fichier électoral, sous la conduite de leur président Mazide Ndiaye, ont rencontré hier, lundi 04 juillet, des représentants de l’Assemblée nationale dans le cadre de leurs activités de prise de contact avec les diverses structures qui interviennent peu ou prou dans le processus électoral sénégalais. A l’occasion, la rencontre avec ces membres de l’hémicycle était destinée, selon Mazide Ndiaye, « à informer et sensibiliser les députés sur les nécessaires modifications à apporter au code électoral », conformément au respect des 108 recommandations issues de la mission d’audit du fichier électoral. Un audit commandité par l’Etat du Sénégal, en accord avec les partis politiques et avec le partenariat de la Délégation de l’Union européenne, de l’Ambassade d’Allemagne et l’ambassade des Etats Unis, et qui avait déterminé plus d’une centaine de recommandations dont 50 applicables immédiatement afin de garantir les conditions de transparence du processus électoral pour la présidentielle et les législatives de 2012.
A l’issue de la rencontre, Mazide Ndiaye a tenu à préciser cependant qu’avant que les députés ne soient saisis, « les discussions vont porter d’abord sur la revue du code électoral ». C’est seulement après ce premier travail que des textes de lois rectificatives du code électoral, provenant à la fois du gouvernement et des partis politiques, seront présentés au vote des députés. Dans la foulée, le Président du comité de veille a salué la disposition des députés à accompagner les modifications devant être apportées au code électoral afin de restaurer la confiance et la sérénité des acteurs politiques d’autant, a-t-il dit, qu’il est important de réaliser « un large consensus dans ce processus de rectification du code ».Notons qu’en vue des élections de 2012, des recommandations prioritaires avant été avancées par la mission d’audit du fichier électoral pour corriger certains points faibles du code électoral. Parmi ces recommandations, on peut relever la définition précise du rôle et des tâches du ministère de l’Intérieur dans le processus d’inscription, et en général, dans le processus électoral en harmonisant ces tâches avec celles de la CENA, l’inclusion dans le code électoral des dispositions qui déterminent la procédure que la DAF doit suivre pour rejeter l’inscription, la prolongation du délai pour le recours devant les commissions administratives installées dans les représentations hors du pays de dix à vingt jours, etc.
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 5 Juillet 2011 à 19:03
En déplacement à Tambacounda : Aida Mbodji se fait chiper son téléphone portable d'un coût de 800 000 francs
LERAL.NET - Son séjour à Tambacounda sera gravé à jamais dans sa mémoire. Aida Mbodji, puisque c’est d’elle qu’il agit a été victime d’un vol.
Par la rédaction De leral.netSon téléphone portable, un joyau haut de gamme, lui a été piqué alors qu’elle se trouvait au domicile du…gouverneur de la Région de Tambacounda. Et selon les langues pendues qui ont pris part au déplacement de la mairesse de Bambey à Tambacounda, les yeux sont tournés vers un responsable du Parti démocratique sénégalais qui était assis juste à côté de la ministre d’Etat. C’est vrai que se promener avec un « matos » de cette valeur, c’est vraiment narguer ses compatriotes qui éprouvent du mal à avoir trois repas quotidiens.
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 5 Juillet 2011 à 19:00
2012 : Kara envisage le retour de Abdou Diouf
Lu sur nettali : Serigne Modou Kara Mbacké lance un appel à l’ensemble des guides religieux, chefs coutumiers et tous ceux qui sont intéressés de près ou de loin par la situation que traverse notre pays. Objectif, amener à une large concertation afin de choisir ensemble, un candidat à proposer aux sénégalais, lors des prochaines joutes présidentielles.
Si le pouvoir et l’opposition, en plus de la société civile, ne parviennent pas à s’entendre autour de l’intérêt collectif majeur de la Nation, Serigne Modou Kara Mbacké envisage de convaincre le président Abdou Diouf, actuel Secrétaire Général de la Francophonie, d’être le candidat de transition démocratique aux prochaines élections de 2012, « car connaissant sa capacité de dialogue et de retenue dans des situations difficiles ».
Ce choix, dit-il, résulte du constat effectué sur la plupart des déclarations des hommes politiques en général qui appellent souvent à l’insurrection et au soulèvement populaire, alors que notre Nation est un havre de paix et de concertation, qui ne mérite pas d’être dirigé par des gens qui n’hésiteraient pas à recourir à la violence pour régler des questions démocratiques.
Dans une déclaration rendue publique ce lundi, Kara déclare que le choix du candidat qu’il propose, obéit bien à des critères dont les fondamentaux sont « le sens du patriotisme, de la patience, de l’ouverture, du dialogue, de la concertation mais aussi et surtout du sens de l’écoute et de la capacité de discernement pour la sélection d’une équipe dynamique compétente et motivée capable de prendre en charge les aspirations des sénégalais ».
Il a en effet estimé qu’il est temps aussi bien pour les membres de l’opposition que du pouvoir, de dépassionner le débat politique et d’enclencher une large concertation pour la prise en charge sérieuse des préoccupations sociales des sénégalais.
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 5 Juillet 2011 à 18:59
Sénégal, autopsie d'une démocartie (Par Adama Wade)
En voulant réduire le prochain scrutin présidentiel à un seul tour, le président Abdoulaye Wade du Sénégal s’est offert un sondage grandeur nature. A huit mois de l’échéance fatidique, le voilà fixé. Le résultat parle de lui-même : pneus brûlés, voitures calcinées, marche sur la présidence, « courroux » des chancelleries occidentales. Et, finalement, un retrait en catimini du texte incriminé. Dure leçon pour celui qui, à Benghazi, invitait solennellement Kadhafi à faire preuve de grandeur. C’était il y a quelques semaines, avant que le printemps arabe ne traverse le Sahara.
Au sortir de cette folle journée du jeudi 23 juin, l’apôtre du « sopisme » a tiré sans doute les leçons qui s’imposent : les Sénégalais ne veulent pas d’un vice-président nommé par le fait du prince, et qui succéderait au président en cas d’empêchement. Cette affaire met à nu la faiblesse des institutions sénégalaises face à un hyperprésident qui a réduit le Conseil des ministres, le Parlement et le Sénat en de simples chambres d’enregistrement.
Notons-le bien, cette loi anachronique n’avait suscité aucun émoi chez les membres du gouvernement, encore moins chez les parlementaires, colorés PDS pour plus de 88%, qui l’auraient votée sans états d’âmes si les jeunes n’en avaient décidé autrement. N’eût été la mobilisation de l’homme de la rue, la disposition serait passée comme une lettre à la poste, car aucune institution des trois pouvoirs n’est, dans la Vème République sénégalaise, capable de défier la volonté présidentielle. Avec ou sans Wade, cette faiblesse des institutions pèsera dans la vie politique future du pays.
Elle pèsera d’autant plus que l’opposition sénégalaise, fragmentée entre plusieurs pôles, semble effrayée devant ses responsabilités démocratiques et altérée par d’anciens ministres de Wade aujourd’hui en rupture de ban. La multiplication des candidatures et des postures de candidature exprime l’absence de l’homme providentiel, celui qui porte une alternative crédible aux yeux des Sénégalais.
Aussi, ce serait une effroyable erreur politique que de croire que le « y en a marre » des Sénégalais s’adresse à l’unique Wade. L’opposition, qui n’a pas joué un grand rôle lors de ce jeudi noir, est aussi pointée du doigt. Pour en avoir appelé ouvertement à l’armée, certains de ces démocrates ont sans doute péché par émotion. L’on sait pour l’avoir vécu dans d’autres pays de la région ce que signifie une armée qui prend les commandes pour sauver le pays du chaos.
Au final, est-ce que la démocratie sénégalaise n’est pas rattrapée par son sous-développement économique ? Sans reprendre la thèse d’un vieux baroudeur de la Vème République française qui avait osé dire que la « démocratie est un luxe en Afrique », ne peut-on légitimement et sans déclencher des cris d’orfraie lier la démocratie, toute démocratie, à l’âge et à l’efficience de son marché ? La démocratie russe reflète l’économie russe et inversement. Idem pour les démocraties chinoise, américaine ou française.
Au Sénégal, le poids écrasant de l’Etat, grand actionnaire, grand employeur, grand ordonnateur des appels d’offres, contraint la communauté d’affaires à l’allégeance ou à l’exil, et avec elle les salariés, fournisseurs, quartiers et villages rattachés. A la démocratie poétisée par Senghor et formalisée par Diouf, il manque un secteur privé fort, capable de faire la culture de la bonne gouvernance, de la transparence et, in fine, de la démocratie. C’est peut-être là où l’alternance a échoué.
ADAMA WADE, CASABLANCA, Journaliste, Les Afriques
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 5 Juillet 2011 à 18:58
Ouest France, le plus grand journal de France, parle de Y en a marre
Ouest France, le plus grand quotidien de France avec 700 000 exemplaires par jour, consacre un article au mouvement Y en a marre. Cela à la suite du Monde et de Libération qui sont impressionnés par le mouvement. Ouest France est un quotidien régional paraissant en Bretagne et ayant son siège à Rennes.
Ce mouvement citoyen, créé par des trentenaires, se présente comme une « sentinelle de la démocratie », alors que le pays connaît un climat social tendu.
Dakar.De notre correspondante
C'est toujours en chantant l'hymne national sénégalais que commencent les réunions publiques des « Y en a marre ». Poings levés, tee-shirts noirs avec l'inscription « Y en a marre » en lettres blanches et dorées, les quatre leaders de ce collectif fédèrent la jeunesse sénégalaise. Les jeunes se pressent pour obtenir un autographe ou une poignée de main.
Le mouvement est né d'une discussion entre copains : Thiate et Kilifeu, les deux rappeurs du groupe Keur Gui, Fou Malade, rappeur également, et Cheikh Fadel Barro, journaliste au magazine d'investigation La Gazette. Ils ne supportaient plus les incessantes coupures d'électricité que connaît le Sénégal depuis des années.
S'inscrire sur les listes électorales
Puis leur combat s'est centré sur l'élection présidentielle, prévue en février 2012. Leur objectif ? Que les jeunes s'inscrivent sur les listes électorales. « Car embraser le pays n'est pas une solution », martèle Fou Malade. Dans ce but, ils parcourent la banlieue dakaroise et les villes du pays, allant de maisons en maisons. Ils étaient présents lors des manifestations du 23 juin, qui ont fait une centaine de blessés.
Pour eux, le vote est la seule manière de faire partir de la présidence Abdoulaye Wade. À 85 ans, et à la tête du pays depuis 2000, il veut se représenter pour un troisième mandat.
Une autre de leur bataille est d'ailleurs de « prouver l'inconstitutionnalité de la candidature d'Abdoulaye Wade aux élections de 2012 ». Le mouvement prend de l'ampleur et, depuis mars, « Y en a marre » fait circuler une pétition ¯ « Plaintes contre le gouvernement du Sénégal » ¯ qui a recueilli 800 000 signatures. À Dakar, les autorités craignent leur influence grandissante. Le 22 juin, à la veille des émeutes, Thiate et Fou Malade ont été arrêtés pendant 24 heures. Aujourd'hui, « Y en a marre » est devenu le cri de ralliement de toutes les manifestations.Mardi 5 Juillet 2011 - 18:27
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 5 Juillet 2011 à 18:54
Drague : Sindiély n’en a pas marre de Y’en a marre
LERAL.NET - Affirmer que le mouvement Y’en a marre empêche le pouvoir de dormir, ce n’est pas trop dire. Le régime de Wade qui en a vu des vertes et des pas mures ces derniers jours croient dur comme fer que c’est l’Esprit Y’en a marre qui est la cause de ses revers. C’est pour cette raison d’ailleurs que tous les services de renseignements de l’Etat sont mis à contribution pour emmener ces jeunes à mettre de l’eau dans leur…Bissap. Et à accepter de rencontrer le chef de l'Etat. Ce que les membres de Y'en a marre n'envisagent pas. Suffisant pour que la fille du président Wade entre en lisse...
Par la rédaction De leral.netDepuis 3 jours, Sindiély Wade fait la cour aux dirigeants du mouvement Y’en a marre à qui elle veut faire croire que son intention c’est d’en savoir un peu plus sur le mouvement. Mais c’est méconnaitre ses interlocuteurs qui, selon le quotidien l’As, lui ont recommandé de consulter les journaux pour comprendre la démarche de Y’en a marre qui n’est plus à présenter au Sénégal. Mais elle ne s’avoue pas vaincue. Sindiély Wade a la conviction que là où son père a échoué, c’est à elle de sauver l’honneur. Mais la chance semble lui tourner le dos d’autant plus que pour Fadel Barro et ses amis, Sindiély Wade ne mérite même pas leur attention car elle les a tout simplement snobés lors du Festival mondial des arts nègres de décembre dernier.
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 5 Juillet 2011 à 18:53
Sex and State : Une fille d’un musicien engrossée par le conseiller d’un ministre
LERAL.NET - Encore une affaire de sexe au sommet de l’Etat. Pour cette énième affaire de « bas ventre », le principal mis en cause, c’est le conseiller d’un ministre d’Etat. Qu’est-ce qu’il a fait le gus ?
Par la rédaction De leral.netIl a mis à profit sa virilité pour en faire voir de toutes les couleurs la fille d’un musicien qu’il a fini par enceinter. Mais ironie du sort, il se trouve que ce dernier est un farouche opposant des libéraux.
Toutefois, le conseiller qui a engrossé sa fille a reconnu les faits et compte prendre ses responsabilités de père. Ce qui met le musicien dans ses états puisqu’il voit mal se réveiller sous son toit un enfant d’un proche du régime actuel. Mais le « mal » est déjà fait et il devra s’y faire.
On se rappelle ce scandale sexuel qui avait mis au-devant de la scène Diombas Diaw et Abdoul Aziz Diop (Directeur de cabinet du ministre de l'Habitat) qui appartiennent au Parti démocratique sénégalais et qui se vouent une haine viscérale. Le premier a été piégé et filmé nu par une fille, Khady Mbaye qui a soutenu avoir agi sur recommandation du camp d’Oumar Sarr qui voyait en Diombass Diaw un adversaire politique dangereux.
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Obama est mort" : le canular qui embarrasse Fox News
Le canular n'a vraiment pas fait rire Fox News, ni le Secret Service américain, qui a lancé une enquête : le compte Twitter de la chaîne de télévision a été piraté, le jour de la fête nationale, pour annoncer la mort d'Obama.
Par la rédaction De leral.net
Le Secret Service américain a annoncé lundi qu'il enquêtait sur le piratage du compte Twitter de la chaîne de télévision américaine Fox News, sur lequel ont été envoyés de faux messages annonçant l'assassinat du président Barack Obama. C'est la deuxième fois que des grands médias rapportent par erreur la mort du président américain, après la bourde faite par la BBC lors de l'annonce de la mort d'Oussama ben Laden...
Les pirates ont envoyé un premier tweet lundi, jour de la fête nationale américaine, vers 2 heures du matin, heure locale (soit huit heures, heure française), depuis un compte officiel de Fox News, @FoxNewspolitics. "@BarackObama vient tout juste de décéder. Le président est mort. Un bien triste 4 juillet. Le président Obama est mort", ont écrit les pirates dans leur premier message.
Traînée de poudre
Dès lors, des milliers de personnes ont renvoyé le message à travers leur propre compte Twitter. Les pirates ont ensuite expliqué dans un autre tweet que Barack Obama avait été atteint "deux fois par des tirs au restaurant Ross dans l'Iowa", un Etat du centre des Etats-Unis.
En réalité, le président américain se trouvait non pas dans l'Iowa mais à Washington, pour y participer aux célébrations du 4 juillet avec sa famille et des proches de soldats américains.
Fox News a reconnu que son compte Twitter avait été piraté et dit enquêter pour retrouver les personnes à l'origine du canular. "Nous sommes désolés de l'angoisse que ces faux tweets ont causé", ont réagi les responsables de la chaîne.
Lu sur TF1.fr
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 5 Juillet 2011 à 18:50
Serigne Sidy Mbacké, marabout : « Wade ne m’a jamais donné de passeports diplomatique »
LERAL.NET - Serigne Sidy Mbacké, un marabout qui sort de l’ordinaire et appelle à l’unité et à la patience pour le départ de Wade.
L'équipe de rédaction de la journée
Trouver dans sa maison sise à Darou Salam à Mbacké, le petit fils de Serigne Touba Khadim Rassoul nie toute accusation sur les passeports diplomatiques que certains disent avoir reçu des mains du Président de la république. Le marabout qui a préféré apporter un démenti sur Léral .Net dira « je n’ai jamais été reçu par le président de la république, je ne suis pas son marabout et il ne m’a jamais donné de passeport diplomatique ». Mieux Serigne Sidy Mbacké soutient qu’il sait bien ce qui se passe dans ce pays et la situation actuelle du pays, il le suit de très prés en tant que citoyen.
Toutefois le marabout demande aux Sénégalais d’éviter la violence et d’attendre le moment opportun pour faire partir Wade car on n’arrache pas un pouvoir par la violence sinon le pays risque de tomber dans un chaos total à l’image de certains Africains conclue le marabout.
Moussfa
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 4 Juillet 2011 à 15:44
Jeune Afrique s'est encore vendu à Karim Wade
POLITICOSN.COM.Dans un article élogieux et très peu critique, dont Jeune Afrique à la marque de fabrique, le journal panafricain consacre sa Une et quatre pages à l'intérieur de son dernier numéro à Wade fils. L'article écrit par son envoyé spécial à Dakar, Rémi Carayol passe en revue l'homme Karim, mais tout démontre entre les lignes qu'il s'agit d'un acte bien concerté d'un plan de communication global lancé depuis dimanche par les services de communications de Wade fils avec la publication de sa lettre ouverte aux sénégalais. Il faut dire que Jeune Afrique vole toujours au secours de Karim Wade dans les moments difficiles. L'un des fils du propriétaire, Marwanne Ben Yahmed, un des patrons de la rédaction du journal, est l'un de ses amis parisiens.
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 4 Juillet 2011 à 15:41
Mahmoud Saleh confirme la présence de mercenaires sur le sol sénégalais
LERAL.NET - Le débat sur les mercenaires qu’auraient recruté les faucons du régime continue son bonhomme de chemin. Cette fois-ci, c’est Mahmoud Saleh qui vient confirmer la présence sur le sol sénégalais de mercenaires en provenance de pays limitrophes du Sénégal et un peu plus éloignés.
Par la rédaction De leral.net
Saleh qui était ce weekend dans la banlieue dakaroise, plus précisément à Golf Sud dans le cadre des activités politiques de l’Apr a déclaré que les professionnels de la guerre recrutés par le régime se dénombreraient à 400. « Certains proviennent de la Cote d’Ivoire. D’autres vont venir en renfort de la Guinée Bissau », a-t-il révélé.
La nouveauté dans cette affaire, c’est que le nombre de ces mercenaires qui étaient naturalisés Nigérians et Ghanéens est passé de 150 à 400. Ce qui installerait le pays, selon Idrissa Seck qui s’est prononcé sur la question la semaine dernière dans un chaos total.
AKC
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Doudou Ndiaye Mbengue : « Pourquoi Amy Collé Dieng a quitté le pays »
LERAL.NET - Le recours aux pratiques mystiques pour freiner la carrière de son prochain est bien une réalité dans le milieu de la musique sénégalaise. C’est en tout cas la conviction de Doudou Ndiaye Mbengue.
Par la rédaction De leral.netDoudou Ndiaye croit en savoir beaucoup plus que les autres sur la fugue d’Amy Collé Dieng. D’après le neveu de la défunte cantatrice Ndèye Marie Ndiaye Gawlo, l’auteur de « Ma Gawlo » qui se trouverait actuellement au Mali est victime de maraboutage. Mieux, à en croire Doudou Ndiaye Mbengue qui a déversé sa bile sur les pratiques mystiques de ses compères dans les colonnes de Weekend Magazine lu par Leral.net, Amy Collé Dieng a été contrainte mystiquement à quitter le pays. « Elle est atteinte et chassée mystiquement du pays. C’était pour la même raison qu’elle était restée longtemps en Italie », croit-il savoir. « Dans notre métier si tu n’es pas protégée mystiquement, tu risques de décéder prématurément », poursuit-il non sans tenter de rassurer ses semblables. « Pourtant moi, je jure devant Dieu que je n’ai jamais prononcé le nom d’un artiste devant un marabout », soutient le lead vocal de Ridial Band.
AKC
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 4 Juillet 2011 à 15:39
Réponse: Lettre ouverte à monsieur le ministre de la Coopération internationale, des Transports aériens, des Infrastructures et de l’Energie
A monsieur le ministre de la Coopération internationale
A monsieur le ministre des Transports aériens
A monsieur le ministre des Infrastructures
A monsieur le ministre de l’Énergie
A monsieur le fils du président de la République du SénégalPar la rédaction De leral.net
Je vous adresse cette lettre ouverte suite à la vôtre que vous avez adressée à toute la nation sénégalaise et dont une conférence de presse aurait suffi pour vous faire entendre courageusement.
Dans votre lettre, vous dites combattre toute idée de dévolution monarchique croyant pouvoir émouvoir les sénégalais. Apparemment vous êtes en marge des attentes des sénégalais après les événements du jeudi 23 juin passé où toute une nation a fait bloc au péril de leur vie, versant sang et sueur durant cette matinée devant les portes de l’assemblée nationale pour dire Non au projet de loi de vice-présidence qui ne visait qu'à vous frayer un raccourci pour loger définitivement au palais de la République en tant que chef suprême de la magistrature et gardien de la constitution. Une constitution que votre père prend comme les règlements intérieurs d'un tour de famille au nom de Wade.
Votre père, le président de la République du Sénégal, après 26ans d'opposition, de combat pour donner la démocratie son importance dans notre Sénégal n'a rien trouvé d'autre que de mêler la consanguinité dans les plus hautes sphères de l’État. Et vous, pour en rajouter vous osez nous écrire nous peuple offensé, nous peuple déçu et outragé, vous osez nous écrire une lettre ouverte pour juste espérer qu'on vous croit quand vous dites que vous combattez une dévolution monarchique. Vous ne semblez vraiment pas analyser la teneur des manifestations passées.
Monsieur le ministre ne pensez-vous pas vous avez fait une erreur de conjugaison, car sachant que vous êtes l'exemple physique de cette idée de dévolution monarchique pourquoi ne pas admettre que les sénégalais dans leur majorité ne vous aiment, avoir la grandeur de reconnaitre cela pour ensuite démissionner de vos responsabilités et vous donnez à la justice comme vous en êtes conscient au point de dire que comme tout être humain, vous demandez à être entendu, jugé sur des actes vérifiés et donc probants et non sur des rumeurs sans fondement. Il n'est pas trop tard, car plutôt vous le ferez mieux ça vaudra pour vous.
En écrivant cette lettre ouverte, vous savez bien et devinez bien que personne ne croira à vos propos.
Monsieur le ministre, juste vous dire que ceux qui vous conseillent ou qui vous poussent à vous prétendre présidentiable vous narguent. Commençant par votre père, votre mère qui au lieu de penser à vous sauver des sénégalais laisse faire, et tous les conseillers et collaborateurs qui vous assistent, vous poussent vers une chute fatale pour votre personne physique comme morale, car dehors le peuple vous hait, le peuple vous méprise monsieur le ministre. Sachez que tout ce que le peuple garde contre votre vieux père risque vous être déversé.
Monsieur le ministre, essayez de nous faire croire que le projet de dévolution monarchique est de l'intox montre que vous ne respectez pas l'intelligence des sénégalais qui ont élu votre père. Vous pensez que l'argent et la presse, votre presse à vous, vous éliront mais vous vous trompez. Sachez que vous rêvez debout si vous croyez que vous avez le même destin que le Président Ali Bongo.
Ce projet de dévolution monarchique que vous niez actuellement est effet un projet franc-maçonnique que votre père veut coute que coute concrétiser avant sa mort comme le défunt Omar Bongo y a été obligé pour la continuité de ses projets maçonniques.
Votre père le président Abdoulaye Wade, après multiples propositions et tentations à celui qu'il prenait comme son fils d'emprunt et dont il espérait une soumission totale tant intellectuelle que spirituelle, Idrissa Seck lui a refusé catégoriquement toute adhérence dans cette obédience que toutes les religions condamnent. D'où son acharnement à dire que si Idrissa Seck veut devenir Président, il n'a qu'à suivre les rangs. Tout le monde sait que s'il s'agit des rangs du Parti démocratique sénégalais Idrissa Seck est deuxième et votre père lui-même a rayé le poste de numéro 2 dans le parti. Maintenant reste le rang de la Franc-maçonnerie, et sachant que le temps presse pour lui il se retourne vers l'option "je dirais à maman que tu as bien travaillé". Vous qui malheureusement n'avez aucune culture sénégalaise comme le cas d'Ali Bongo au Gabon, peine à se faire aimer pour pouvoir gérer la continuité des projets maçonniques de votre père.
Monsieur le ministre, le rêve est certes permis mais il se concrétise avec la manière et depuis le début vous et votre père avaient engagé la mauvaise manière, soyez surs le Sénégal est maintenant debout et fera face.
Les meurtres par sacrifice n'y pourront rien, les dérives peuvent s'accélérer, les intimidations et corruptions peuvent continuer, mais sachez que vous êtes au début de votre fin.
Monsieur le ministre, si vous avez remarqué jusque-là je n'ai pas encore prononcé votre nom car vous ne représentez rien pour les sénégalais dans leur majorité et vous ne représenterez jamais rien si ce n'est être celui qui payera les pots cassés après la présidence de votre père.
Pour l'instant, je respecte les institutions même si bafouées de mon cher pays en vous adressant mes salutations les plus respectueuses, mais inchAllah après le mandat de votre père sachez que vous aurez beaucoup de comptes à rendre au peuple sénégalais et Dieu sait que c'est pas les forces Licornes françaises qui sauveront votre peau de citoyen français devant la justice sénégalaise.
Tahirou Sarr, Tah!
Tah58@live.fr
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C'est le journal Satelit qui donne l'info : face aux nombreuses sorties nocturnes de son mari, Thione, Kiné s'est résolue à accepter le fait que son mari de chanteur épouse une seconde épouse.
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 4 Juillet 2011 à 10:56
(APS) – Quatre personnes ont trouvé la mort lors d’un violent orage qui s’est produit samedi vers 19 heures au quartier de Ndindy Affé à Touba, a appris l’APS de source sûre.
’’Une femme enceinte et un homme ayant un traumatisme crânien et les jambes fracturées n’ont pas survécu à leurs blessures, à la suite de leur transfert à l’hôpital de Dianatou Mahwa’’ de Touba, souligne la même source.
Assane Lô, chef dudit quartier a précisé ’’qu’un vent violent a détruit plus de 150 habitations et plongé les populations dans un grand désarroi’’.
Il a saisi l’occasion pour lancer un appel aux autorités pour aider les populations touchées par ce sinist
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SENEGAL-EDUCATION-EXAMEN
Démarrage des épreuves bu bac, lundi, avec 80.000 candidats
Dakar, 3 juil (APS) – Quelque 80.000 candidats répartis dans 242 jurys entament, à partir de lundi, les épreuves du baccalauréat général 2011, sur l’ensemble du territoire sénégalais.
Ces jurys sont répartis dans 71 localités et 183 centres d’examen, dont 39 centres secondaires.
En termes de statistiques, l’effectif global des candidats a augmenté de 10,8% par rapport à 2010, avait indiqué le directeur de l’Office du baccalauréat, Babou Diakham, lors d’une conférence de presse tenu récemment.
Quelque 56 674 candidats sont inscrits dans les séries littéraires (70, 8%) et 23.328 en séries scientifiques et techniques soient 29, 2% (Série S 26, 4%, Série G 3, 9%, Série T 0,7%).
Les filles sont au nombre de 34.322 soient 42,9% des effectifs. Les candidats officiel sont 62.109 soient 77, 6% des inscrits, selon le directeur de l’Office du bac.
Quelque 17.893 candidats se sont inscrits à tire individuel. L’on compte aussi des candidats inscrits aux épreuves facultatives de la liste A (15.293) et aux épreuves facultatives de la liste B (1.601).
Au total, 457 sujets seront distribués pour les deux sessions et 3.581 correcteurs et examinateurs convoqués pour la session normale, avait fait savoir le directeur de l’Office du baccalauréat.
Les épreuves anticipées de philosophie se sont déroulées le 9 juin dernier.
Les corrigés des épreuves seront disponibles sur le site Internet de l’Office du baccalauréat (www.officedubac.sn) à l’attention des correcteurs ‘’avant les réunions de concertation pour toutes les disciplines, sauf pour le français, l’histoire et la géographie’’, selon M. Diakhma.
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LIBYE : La rébellion rejette l’accord-cadre de l’Ua
Les rebelles ont rejeté hier un accord-cadre préparé par l'Union africaine (Ua) pour la Libye parce que, ont-ils dit, cela permettrait à Mouammar Kadhafi de rester au pouvoir.
«Nous l'avons rejeté», a déclaré un porte-parole des insurgés, Abdel Hafiz Ghoga, car le document de l'Ua «n'inclut pas le départ de Kadhafi, de ses fils et de son cercle rapproché. Nous avons réitéré (cette exigence) à plus d'une occasion».
Les chefs d'Etat africains réunis en sommet à Malabo, en Guinée équatoriale, ont difficilement adopté vendredi un accord-cadre proposé aux parties libyennes prévoyant notamment que le colonel Kadhafi devait être écarté des négociations pour sortir son pays de la crise et une «force de maintien de la paix». Mais le document de l'Union africaine n'appelle pas explicitement Mouammar Kadhafi à céder le pouvoir, contrairement à ce qu'exige le Conseil national de transition, la direction politique de la rébellion. Les membres de l'Ua ont par ailleurs décidé de ne pas coopérer à la mise en œuvre du mandat d'arrêt émis par la Cour pénale internationale contre le colonel Kadhafi, jugeant qu'il compliquait le règlement de la situation.L'Ua est un des rares médiateurs acceptés par le dirigeant libyen.
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 4 Juillet 2011 à 10:44
Abdou Latif Coulibaly à Saint Louis : "mon livre est un alerte face à la dégradation avancée de la République"
En marge de la présentation de son nouvel ouvrage «La République abimée», hier dans la grande salle de la Chambre de Commerce de Saint-Louis, le Journaliste et écrivain Abdou Latif Coulibaly est revenu sur les motifs de cette nouvelle parution qui remet en cause la gestion actuelle du pays par le régime de Wade.
A travers l’histoire d’un jeune garçon nommé Abdoulaye Wade Yinghou qu’il relate, l’auteur décrit de façon métaphorisée la désespérance de la jeunesse sénégalaise otage d’un chômage aigu et de nombreuses promesses jamais tenues. Ce jeune qui porte le nom du président actuel est né au mois d’avril 1983. Il avait quitté son bled natal dans un village près de Sédhiou pour rejoindre Dakar afin d’y chercher du travail.
En passant hasardeusement par une manifestation quelque part dans une rue de Dakar, il sera abattu et déchiqueté sauvagement. Pourtant, son père Noumou Yinghou lui avait donné le nom de cet opposant qui sillonnait le territoire national et qui devint président.
Pour lui, celui-ci était une indication de Dieu, un signe d’espoir et d’espérance : le signe de promesse d’un Sénégal aux lendemains meilleurs.
Celui qui était pour ce père l’espoir d’un bel avenir devint alors le triste bourreau du fils.
« J’ai tenu à raconter l’histoire de ce jeune homme parce qu’elle épouse, à bien des égards, l’histoire politique de notre pays au cours des 20 dernières années », a affirmé M. Coulibaly qui a ajouté qu’une semaine après la parution du livre, « un jeune autre Abdoulaye Wade Yinghou a été tragiquement assassiné et il s’agit du défunt Malick Ba à Sangalkam ».
« Bref, pour avoir promis le paradis à son peuple, pour avoir dit qu’il est le messie, l’alpha et l’oméga de la politique, un homme a été élu. Cet homme s’est révélé être un piètre président de la République » a-t’il lancé.
En outre, « ce qui s’est passé le Jeudi le 23 mai montre parfaitement que le pays se trouve dans une situation catastrophique » a insisté le Directeur de publication de la Gazette qui justifie que c’est « une bonne raison de se pencher sur la gouvernance de notre pays».
Le Directeur de l’Institut Supérieur des Sciences de l’Information de la Communication (ISSIC) a affirmé par ailleurs que ce livre est « à la fois une critique et un constat pour mettre un terme à l’Etat de dégradation de la République sénégalaise ».
L’écrivain s’est enfin réjoui de la prise de conscience collective face au processus « indignant » de détérioration de la République, matérialisée notamment lors du vote de la loi instituant le ticket de vice président au Sénégal.
Cheikh Saad Bou SEYE de NdarInfo.com
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Présidentielle 2012: Ibrahima Fall tisse sa toile à Touba
Le candidat déclaré Ibrahima Fall a profité du Magal Kazu Rajaab pour rencontrer plusieurs petits-fils de Kadimou Rassoul dans la ville sainte. Le prétendant à la magistrature suprême a presque fait le tour des grandes familles de Touba lors de son périple à qui il a présenté et expliqué les raisons de sa candidature à la prochaine présidentielle en 2012.
Le Pr Ibrahima Fall est certes un technocrate avéré mais il n'en demeure pas moins un homme du serail politique et réligieux. Ayant côtoyé les grands marabouts durant ses fonctions ministérielles et internationales, le candidat a voulu raffermir ces relations avec les familles de ces illustres disparus. A Touba, la ville sainte, pendant le Magal Kazu Rajab, l'ancien SG Adjoint de l'ONU a initié une série de visites privées chez les petits-fils de Serigne Touba. A chaque étape, il a tenu à rappeler les liens qu'il avait avec les différents Khalifes avant d'exposer les grandes lignes de son programme et d'expliquer son choix de se jeter dans la bataille politique. Plusieurs conseils lui ont été prodigués afin que la droiture et le travail soient le fondement de son action politique.
Pour rappel Ibrahima Fall s'est déclaré officiellement candidat à la présidentielle 2012 depuis le 10 juin dernier. Le Pr Ibrahima Fall, 62 ans, a été ministre de l’Enseignement supérieur, puis des Affaires étrangères du Sénégal. De 1992 à 1997, il était sous-secrétaire général des Nations unies, chargé des droits de l’homme. Dans son parcours politique, un fait reste toujours dans la mémoire des Sénégalais. En 1986, lors des bombardements américains sur Tripoli et Benghazi, Ibrahima Fall en tant Ministre des Affaires Etrangères était le seul à dénoncer ces actes devant le Conseil de Sécurité de l'ONU.
Ibrahima Fall, a le vent en poupe selon certains observateurs même si d'aucuns voient sa principale faiblesse dans l'absence d'une machine politique à ses côtés. Le 26 février 2012 édifiera.
Serge Kader Diatta
KepaarNews Dakar
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Karim Wade candidat du PDS en 2012...
POLITICOSN.COM. Au lendemain de sa lettre aux sénégalais, il faudrait indiquer que le fils du président de la République n'a pas encore renoncé à son destin présidentiel. Bien au contraire. Il s'agit d'une simple stratégie de communication et la tactique déployée est de se présenter comme une simple victime de l'opinion. Dans les mois à venir face à l'improbabilité de la candidature de son père, c'est Karim Wade qui va aller à la conquête des suffrages des sénégalais. Le nouveau schéma est d'en faire le candidat du Parti démocratique sénégalais. Ce qui devrait, sans aucune surprise, entraîner l'explosion du PDS.
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 4 Juillet 2011 à 10:38
Le Secrétariat Permanent de AJ/PADS (pouvoir) considère que la résolution de la crise énergétique est devenue un impératif pour la stabilité politique et sociale du pays. Par ailleurs, le Secrétariat Permanent condamne les dérapages survenus, se démarque des positions surenchéristes et autres menaces et exprime sa solidarité aux victimes des exactions lors des manifestations.
Le Secrétariat Permanent lance un appel pressant aux forces politiques et sociales, aux leaders d’opinion et à toutes les organisations éprises de paix et de démocratie pour arrêter les violences en vue de favoriser les conditions de retour à la paix et à la sérénité, tendant à créer un climat apaisé pour des élections libres et transparentes.
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 4 Juillet 2011 à 10:36
Candidature 2012: Wade prêt a se ranger derrière la décision du conseil constitutionnel.
Le secrétaire général adjoint de la présidence de la République a révélé que le Président de la République aurait confié, le dimanche dernier, au cours d’une rencontre avec sa majorité, qu’il se rangerait derrière la décision du Conseil constitutionnel.
Concernant le dialogue politique, Mbaye Diack a demandé à Me Wade de continuer les discutions.
«J’ai demandé au Président, dans la résolution de mon parti, de continuer de discuter avec les gens. Il faut qu’il leur demande de discuter», a-t-il noté.
Toutefois, il estime que les adversaires de son champion n’ont pas à le bousculer. «Il ne faut pas aussi que les gens lui demandent de quitter tout de suite et après on va voir», recommande-t-il. «Ce n’est pas une manière de discuter», a rejeté le secrétaire général adjoint de la Présidence de la République.
PressafrikLundi 4 Juillet 2011 - 09:21
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 4 Juillet 2011 à 10:35Moins d’une semaine après le pillage de son domicile, Serigne Mbacké Ndiaye peut pousser un ouf de soulagement. En effet, depuis vendredi dernier, le cerveau des voleurs qui ont laissé sur les lieux un portable et un pistolet parce qu’effrayés par deux coups de feu tirés en l’air par un ancien douanier, est en garde à vue. Des tractations tous azimuts son menées pour sa libération. «Awa Niang, une femme militante de l’Apr aurait financé l’opération», précise une de nos sources.
L’enquête réalisée par les éléments de la Division des Investigations Criminelles (Dic) à l’aide du portable abandonné sur place, est tombé sur Khadim Lô, le fils de Pape Lô ancien député socialiste et frère du célèbre transporteur Bada Lô. En sus, les enquêteurs ont mis également la main sur Badara Ndiaye et son frère Assane Ndiaye. Ces résultats ont été obtenus grâce aux traces laissées par leurs portables à travers des coups de téléphones donnés, et des sms envoyés et reçus entre 22 heures et minuit, le lundi 27 juin jour du pillage
En remontant le filon, les enquêteurs sont tombés sur une dame du nom d’Awa Niang qui serait une militante de l’Apr commerçante et opératrice économique de profession. Elle aurait, fait-on savoir, financé l’opération. La même dame aurait comme beau père, un responsable libéral habitant Ngibi, localité située dans la région de Kaffrine.
Toujours, selon nos sources, les recoupements effectués en amont orientent vers une piste socialiste et de l’Apr. «Présentement, des interventions et des pressions fortes sont menées pour la libération de Khadim Ndiaye», concluent nos sources.
Pour rappel, c’est dans la nuit du 27 juin dernier vers minuit que le domicile de Serigne Mbacké Ndiaye sis aux Maristes avait été attaqué par une bande organisée qui n’avait rien à voir avec les manifestations contre les coupures d’électricité. Trouvant seul le vigile sur les lieux, la famille évacuée par mesure de prudence, les malfrats avaient réussi à défoncer le portail.
Quinze costumes du ministre et une bonne partie de la garde robe de sa femme avaient été emportés à l’aide d’un camion garé à quelques mètres. La seule intention, c’était de dévaliser la maison.
Insolite cependant ! Toutes les photos où Serigne Mbacké Ndiaye se trouve, soit avec Me Wade, soit avec Souleymane Ndéné Ndiaye, avaient été tout simplement déchirées et jetées.
Sékou Dianko DIATTA
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Par baol-medias-culture dans Lancement Portail baol-medias le premier portail d'information général du baol le 4 Juillet 2011 à 10:32
Recevant Idrissa Seck à son domicile aux Hlm5, Haj Mansour Mbaye dira : « Je ne m’en cache point, je te porte dans mon coeur »
Près de deux mois après le décès de l’épouse de Haj Mansour Mbaye Adja Ndèye Anta Dieng, Idrissa Seck accompagnée d’une forte délégation comprenant Youssou Diagne, Bathie Gadiaga, Ndèye Maguette Dièye, Yankhoba Diattara, Samba Bathily, Khadim Samb... a été l’hôte du Parrain des Communicateurs traditionnels. Il était venu lui présenter ses condoléances.
(Plus d'informations demain sur leral .net)
Drapé dans un boubou bazin de couleur blanche, comme à son habitude, Idrissa Seck a usité beaucoup de métaphores pour expliquer les raisons de sa visite à son « oncle et ami » Haj Mansour Mbaye. Evitant d’utiliser un seul mot politique, l’ancien Premier ministre a présenté ses condoléances à toute la famille.
Répondant à son hôte, Mansour Mbaye entouré de ses amis Cheikh Ousmane Diagne, Ousmane Sène Blay, les femmes de Sorano, son Dahira de femmes, les griots de Dakar de Mamadou Mbaye Garmi à Ndiaye Lô Ndiaye, en passant par Abdoul Aziz Mbaye, Lamine Ngom... a, quant à lui, écorché la politique.
Remontant le déluge, M. Mbaye dira avoir rencontré le président Wade en 2003 sur convocation de ce dernier et par l’intermédiaire de Pape Diop, alors Président de l’Assemblée nationale et maire de Dakar. A cette occasion, dira-t-il, « j’ai remercié le Chef de l’Etat du choix qu’il a porté sur ma modeste personne, mais je lui ai fait comprendre que je suis socialiste et souhaite le rester. Il a compris. Je lui ai ensuite dit que sur le plan de la République que je serais toujours à ses côtés ».
Et de poursuivre : « C’est ensuite que j’ai été reçu par mon neveu Idy. Et je rendais compte à Tanor Dieng et même à Abdou Diouf mes rencontres avec les libéraux ».
Empruntant le langage usité par Idrissa Seck, Mansour Mbaye montrera l’importance de la constance dans les relations quotidiennes des gens. Ensuite, il ajoutera : « Cette visite me va droit au coeur. Depuis le décès de mon épouse, tous sont venus ici, à commencer par le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye à la levée du corps, mais à vrai dire, votre visite nous honore et nous fait plaisir ».
Et pour terminer, le grand griot soutiendra : « Tu es venu là où on t’aime. Tu es là où on te considère. Tu es venu là on porte des espoirs sur toi. Idy, je ne m’en cache point, je te porte dans mon coeur. Je te soutiens. Je souhaite que tes voeux soient exaucés. En tout cas, si mes voeux pour toi se réalisent, tu seras très important pour ce pays dans quelques temps, quelques années ».
Et il présente à Idy son « Dahira Tidiane » dirigé par Mme Fatou Aïdara.
Ferloo
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