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    source: Seneweb.com

    « Si jamais mon mari cherche une deuxième femme, je quitte la maison. Je ne peux pas l’accepter. Les hommes des fois je ne les comprends pas. Ils sont très machos. ». Tel est  le cri de cœur d’une femme interrogée par Mamadou Ndoye Bane qui s’est intéressé cette semaine à la polygamie. L’animateur de l’émission « Thème de la semaine » sur walf Fm a pénétré le monde de « ses femmes » qui ont horreur de la polygamie même si cette pratique est soutenue par le Coran pour le monde musulman. Pourquoi les femmes n’aiment pas avoir des coépouses ? Que dire de la monogamie ? Pourquoi en général les coépouses ne s’entendent jamais ? Et le mari dans tout cela ? Le débat est lancé. Les témoignages se suivent et ne se ressemblent pas. Ecoutez


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    Cette assertion risque d’en surprendre plus d’un : il n’y a pas du tout une crise des valeurs de la société sénégalaise.

    Depuis un bon moment, on ne compte plus dans la sphère médiatique le nombre d’articles, d’émissions, de reportages, etc. traitant de faits de société tels le viol, la prostitution, l’homosexualité, le meurtre, la pédophilie et j’en passe. Ces « attitudes » ou plutôt ces faits rangés habituellement dans le registre du divers se retrouvent pourtant, selon l’essentiel de l’analyse journalistique, bâtis sur un seul et même socle ; celui d’une crise supposée des « valeurs ». Argument que je récuse sans manquer de proposer une alternative  analytique. Pour mieux appréhender la subtilité de ce débat, il est nécessaire de revenir sur la définition même de ses concepts centraux.

    Comme le notaient déjà des sociologues américains (W. I. Thomas et F. Znaniecki), on pourrait entendre par « valeurs » l’ensemble des « éléments culturels objectifs de la vie sociale et par attitudes les caractéristiques subjectives des individus » d’un groupe social donné.

    Il est donc clair, toujours selon mon analyse, que ces « valeurs » typiquement sénégalaises que sont le jom, le ngor, le kersa, le suturë, le fullë… gardent leur signification intacte et occupent encore dans notre vie de tous les jours, la même place qu’il y a un, deux ou trois siècles. En effet, ces valeurs existent toujours – comme jadis – et se trouvent actuellement plus que renforcées, ne serait-ce que dans les discours, du fait de l’altérité résultant directement de l’ouverture réelle ou virtuelle des frontières géographiques (et surtout culturelles). C’est ainsi que l’étranger (ñak, tubaab, etc.) fait figure de bouc émissaire en tant qu’élément intrus pervertisseur.

    Ce que l’on peut constater, et qui est à l’origine de ces confusions de sens, ce n’est pas tant une crise des « valeurs » qu’une floraison de « nouvelles attitudes » qui n’épousent pas le moule de nos « valeurs ». Et ce qui est nouveau à ce propos, ce ne sont pas ces attitudes elles-mêmes mais plus la « surmédiatisation » récente qui les expose dans l’espace public de la concurrence vorace des groupes de presses animés par une surenchère des scandales : repérer un fait individuel isolé, le généraliser, lui consacrer un article en veillant bien de trouver un titre accrocheur. Telle est la logique prédominante du marché de la presse sénégalaise animé par des acteurs qui, pour une grande partie, sont plus obnubilés par le chiffre d’affaire et l’audimat que par la vocation d’informer.

    En même temps, si nos valeurs étaient réellement en crise, comment expliquer le fait que ces attitudes jusque-là invisibles suscitent une opposition ferme, une dénonciation souvent violente et une colère sociale viscérale ? C’est bien là le signe que la société sénégalaise reste toujours sénégalaise, brandissant à toutes les occasions ses valeurs comme bouclier face à la menace de l’inconnu culturel.

    Cette erreur d’analyse de la part des médias pourrait aussi résulter de l’amalgame que l’on fait habituellement entre valeurs, tradition, coutumes, etc.

    On pourrait aussi voir dans la prétendue crise des valeurs décrétée par les médias, un conflit de générations opposant d’un côté « les entrepreneurs de morale » dont l’archétype est l’imam, et de l’autre une jeunesse qui maîtrise et consomme (du moins pour la plupart) les canaux de diffusion (NTIC) de ces attitudes dites “nouvelles“ et “étrangères“.

    Il n’y a donc nullement une crise des valeurs sénégalaises, mais comme il en a toujours été,  l’avènement d’une nouvelle génération de sénégalais qui marque son empreinte par l’adoption, l’importation, l’adaptation et la recomposition d’attitudes qui ont du mal à intégrer l’existant (les valeurs).

    Ce qu’il faut toutefois reconnaître, c’est que c’est attitudes (nouvelles, importées…) ont la capacité à chaque fois, non pas de pervertir le groupe ou d’ébranler les valeurs, mais seulement de déplacer le seuil de tolérance sociale. Ce qui est tout à fait normal dans un contexte mondialisation des économies et des cultures, boostée par les technologies nouvelles.


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  • rtager
    Seneweb NewsLetter
    source: Webnews

     

    Le Jugement dernier n'a pas eu lieu... Il était attendu à 18 heure -du moins selon un prédicateur fondamentaliste chrétien presque nonagénaire- et certains Américains qui s'y préparaient consciencieusement. Le prédicateur Harold Camping, 89 ans, assurait que les bons chrétiens seraient emportés au ciel à partir de 18H00.Gregory LeCorps est allé jusqu'à abandonner son travail dans un «établissement médical» et s'est lancé sur les routes, avec sa femme et ses cinq enfants, pour avertir les gens que la montée au ciel des justes était imminente, a rapporté The Journal News, vendu dans la banlieue nord de New York.Selon le pasteur, ceux qui n'étaient pas en mesure de franchir les portes du paradis auraient vécu l'enfer sur terre jusqu'au 21 octobre, quand Dieu y mettrait fin pour toujours, en détruisant tout être et toute chose, affirmait Camping.LeCorps y croyait fermement. D'autres étaient plus sceptiques, rappelant que Camping avait lancé une prophétie similaire il y a longtemps, annonçant la fin du monde pour 1994.Le maire de New York Michael Bloomberg, qui est juif et donc, selon Camping, ne devait pas aller au ciel rejoindre Jésus et Dieu le Père, s'était engagé lors de son émission radio de vendredi à suspendre le stationnement alterné si la fin du monde arrivait samedi.

     

    Ce régime alterné est détesté par les habitants de New York, obligés de déplacer leurs voitures pour permettre le nettoyage des rues.Un groupe d'athées avait programmé un pique-nique dans un parc samedi en fin d'après-midi, comptant avoir beaucoup de place, les chrétiens étant partis pour le paradis.Des bars avaient affiché des «cinq à sept fin du monde», prenant le risque que ceux qui y croyaient partent sans payer, formalité devenue sans importance à quelques heures de la Grande Fin. Et les amateurs de fêtes avaient organisé des surprises-parties «fin du monde» à travers le pays, pour saluer gaiement ceux qui devaient partir.Sur un compte Twitter dédié à l'événement, les messages affluaient trop vite pour être lus. Un sceptique y déclarait, par exemple, que Dieu ne devait pas choisir un samedi au milieu de la saison de cricket.Sur le site de ventes Craigslist, des milliers de non-croyants proposaient de racheter leurs biens à ceux qui s'apprêtaient à aller au ciel, tandis qu'un groupe d'athées affirmait avoir vendu des centaines de contrats en promettant de s'occuper des animaux domestiques des partants.

     

    De plus en plus de gens envisageaient sur Twitter de s'amuser à laisser sur les trottoirs ou les pelouses de vieux vêtements et chaussures pour faire croire à une montée au ciel de leur propriétaire. D'autres annonçaient leur intention de s'adonner au pillage, un homme déclarant sur Twitter qu'il s'en prendrait d'abord à Apple.Camping avait calculé le moment exact de l'Ascension en partant du Déluge, 4990 ans avant la naissance du Christ, en y ajoutant d'abord 7000 ans parce que dans la Bible «Dieu nous rappelle qu'un jour est comme mille années» et ensuite en enlevant une année à cause des différences de calendrier entre l'Ancien et le Nouveau Testament. Pour aboutir à 2011, d'après le site internet Family Radio de Camping.

     


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    Seneweb NewsLetter
    source: Le populaire

     

    Le Colonel Moumar Guèye, écrivain de renom, s’est penché sur le phénomène de la polygamie. En conférence à la librairie Clairafrique, hier, l’ingénieur s’est appesanti sur ce sujet sur lequel porte son roman «Le droit à la polygamie». L’homme qui a lui-même trois épouses a longuement débattu sur la nature de ce choix.

     

    L’écrivain et poète colonel Moumar Guèye a expliqué son livre axé sur la polygamie, hier, lors d’une conférence initiée dans le cadre des «Vendredis de Clairafrique». «Le droit à la polygamie» est, comme l’affirme son auteur, ingénieur de formation, un sujet que les femmes détestent le plus. Pour mieux expliquer ce phénomène très encré dans la culture sénégalaise, l’ingénieur des eaux et forêts à la retraite s’est inspiré de son enfance et de sa propre expérience. Fils d’un marabout de Saint-Louis polygame (quatre femmes), l’écrivain révèle que sa mère était la quatrième et la plus jeune épouse de son père. Lui-même ayant trois femmes, assure cependant avoir «horreur de contraindre une femme. Je n’ai appâté aucune de mes épouses. Elles savaient toutes que j’étais polygame avant d’accepter de m’épouser». 

     

    Afin de mieux justifier son choix, Moumar Guèye atteste que ses femmes sont complémentaires et qu’il trouve en chacune d’elles une particularité qui le pousse à l’aimer. Le colonel Guèye s’est aussi référé au Coran et à l’éthologie (étude du comportement) pour expliquer les principales raisons qui poussent les hommes à la polygamie. «La polygamie est un comportement naturel, normal qui n’a pas besoin d’être défendu», indique-t-il. 

     

    Le polygame certifie que, selon l’éthologie, l’homme peut avoir plusieurs partenaires durant son temps de vie et pas forcément en même temps. L’écrivain témoigne que plusieurs hommes signent la monogamie à la mairie alors qu’ils sont des polygames chevronnés. Néanmoins, le colonel assure qu’il ne défend pas ce comportement, mais qu’il veut juste expliquer le droit des hommes à ce choix de vie. 

     

    Par ailleurs, l’écrivain saint-louisien de renom garantit qu’il comprend les femmes qui ne veulent pas partager leur conjoint. Et s’il conçoit le droit à la polygamie, il ne se dit pas contre la polyandrie. Mais il reconnaît que de ce côté, les femmes sont plus limitées que les hommes. «Une femme ne pourrait pas survivre dans la polyandrie», avance-t-il même en notant que la polygynie n’est pas une question de sexe, car les femmes peuvent faire ce choix. Ce n’est pas non plus une question de religion, puisque l’auteur affirme avoir plusieurs amis chrétiens qui n’en sont pas non moins polygames. 

    En outre, le colonel Moumar Guèye dévoile qu’il a présenté son livre à Monseigneur Théodore Adrien Sarr, Archevêque de Dakar, qui l’a chaleureusement accueilli. Bien que l’auteur n’ait pas évoqué les conséquences de la polygamie, il assure que les mariages monogames peuvent avoir des conséquences désastreuses, autant que les mariages polygames.


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  •  SUR SON DIVORCE AVEC ABRAHAM PIPO DIOP : Ngoné Ndiaye Fait dans le « clair obscur »
     
    C’est une Ngoné Ndiaye Guéweul très tendue que nous avons eu au bout du fil. L’idée était de nous renseigner sur la suite réservée à sa demande de visa à l’ambassade de France pour aller demander le divorce à son mari d’artiste Abraham pipo Diop. Ce dernier est hors du pays parce que nous dit-on, ne pouvant pas rejoindre les siens. D’une intonation menaçante, elle a rétorqué après notre question « J’ai des parents qui doivent s’occuper de ça, raison pour laquelle je ne vous dirai rien du tout sur ma vie privée. »

    L’auteur de couple-bi à qui son mari enseigne comment une femme exemplaire doit se comporter devant son époux, et qui, en guise de réplique faisait la docile comme si ce scénario qu’ils ont imposé au sénégalais ne résulte pas de leur vie privée va jusqu’à affirmer : « je suis en voyage actuellement je suis entrain de vaquer à mes préoccupations comme il se doit on m’a même appelée pour m’informer de votre article »(Ndlr : dans notre sortie d’hier un article faisait état de sa présence à l’ambassade de France à la recherche d’un visa).

    Pour rappel, Ngoné Ndiaye demande le divorce à son mari suite à une sortie que ce dernier avait fait dans la presse. Abraham Pipo disait être déçu du comportement de son épouse qui s’est rabaissée au point de se crêper le chignon avec Ndjolé Talla une autre artiste sur le plateau d’une télévision. Pipo affirmait même avoir appelé la chanteuse pour s’excuser à la place de sa femme. Un fait qui n’a pas du tout plu à madame Diop qui veut coute que coute se débarrasser d’un mari qui ne l’a pas soutenue dans sa dispute et qui s’en est tenu au public. N’ayant ni réfuté ni affirmé, elle préfère faire dans le clair obscur. Faudrait-il en conclure avec le dicton : « qui ne dit mot consent »

    Yandé Diop
    (Stagiaire)
    source Rewmi.com

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  • Le dimanche 31 juillet prochain, Tyson de Boul Faalé devra s'expliquer avec Balla Gaye 2 de Guédiawaye pour un combat annoncé comme celui de rêve. A quelques deux mois de cette affiche explosive, Tyson s'emmure dans un silence de mort depuis le 18 mars alors que Balla Gaye 2 fait la une de l'actualité avec des sorties dans la presse pour allumer son adversaire.

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  • L’entrepreneur et Directeur général de l’entreprise Jean Lefebvre et toutes les personnes poursuivies pour surfacturations dans le cadre des chantiers de Thiès, ont été relaxés par le tribunal correctionnel de Dakar.

      Le tribunal a considéré qu’aucune preuve ne peut étayer les accusations portées par l’Etat du Sénégal dans le cadre de chantiers engagés à Thiès en 2004. Une décision qui met fin à six années de poursuites, dans un dossier considéré par de nombreux observateurs comme politique. Toutes les personnalités politiques accusées dans cette affaire avaient déjà bénéficié d'un non-lieu. L’Etat du Sénégal a la possibilité de faire appel de la décision. Mais son avocat principal, Me Ousmane Sèye, s’est déjà déclaré favorable à l’apaisement.

     

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    source: Seneweb.com

     

    L'entrepreneur Bara Tall aurait été relaxé de toutes les poursuites engagées contre lui. C'est ce que nous venons d'apprendre de sources présentes au tribunal de Dakar. SENEWEB-NEWS y reviendra plus en détail dans les prochaines heures.

     


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    Les sénégalais ne sont pas contents des coupures d’électricité qui les empêchent de vivre confortablement. Commerçants, tailleurs, ou simples usagers déversent leur bile sur le régime de Wade qui peine à leur fournir de l’électricité, malgré le plan Takkal lancé par le ministre de l’Energie Karim Wade, il ya quelques mois.

     


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