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    source: Le populaire

    Ce n'est pas simplement le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye qui sait faire des révélations, déclarant publiquement que Landing Savané recevait 30 millions par mois de Me Wade. Amath Dansokho, allié de Me Wade, à un moment donné, est monté au créneau, à son tour, pour faire des révélations fracassantes. Il a avancé que Me Wade recevait 5 millions chaque week-end de Abdou Diouf.

     

    Monsieur Dansokho, le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye a fait des révélations sur Landing Savané en déclarant publiquement que Me Wade lui donnait 30 millions par mois pendant 10 ans. Avez-vous bénéficié de cette faveur ? 
    Je vous dit tout de suite que je n'ai jamais demandé de l'argent à Wade, pendant tout le temps que j'étais là-bas. Wade avait accordé une allocation aux ministres à hauteur de 10 millions, à l'époque, pour aller en vacances. J'étais encore en fonction, mais je n'avais rien reçu. Jamais, je ne lui ai demandé un sou. Je vais faire une révélation. Le jour où le gouvernement de l'Alternance a été formé et qu'on a fait la répartition des fonctions, Me Wade disait : «Ca, c'est pour moi et pour mon parti». À un certain moment, je lui ai dit : «Alors, nous, qu'est-ce que nous faisons ici ?». 

    Qu'est-ce qu'il voulait au juste, vous donner de l'argent ? 
    Non. Il a dit : «Si je vois un seul d'entre-vous prendre des commissions, je le dénoncerais à la radio et à la télévision. Si vous voulez de l'argent, si vos partis ont besoin d'argent, demandez au Premier ministre». Alors que ce dernier n'avait pas un sou. C'est-à-dire qu'il prévoyait une enveloppe, tout en disant qu'il est interdit de prendre des enveloppes. De toute façon, le journal Sud Quotidien avait révélé, en 2003, qu'il donnait de l'argent à ses alliés. Il avait même dit que c'était Landing, Bathily, Bassirou Sarr. 

    Ne pensez-vous pas que c'est l'argent du contribuable qui est en train d'être distribué comme ça ? 
    Mais c'est ça. 

    C'est dommage alors. 
    Mais oui, tout à fait. 

    Est-ce que vous ne pensez pas qu'il y a un problème de gestion de la clientèle politique ? 
    Ah oui ! De toute façon, c'est la philosophie de Abdoulaye Wade. Pour lui, l'argent public est celui de sa poche, il peut en disposer comme il veut. 

    Si Wade donne autant d'argent à des alliés, on peut à juste raison imaginer que ceux qui sont avec lui doivent être gâtés. 
    C'est un défaut qu'il avait avant même d'arriver au pouvoir. On dirait qu'il a une machine qui fabrique de l'argent dans ses poches. C'est le seul chef d'État qui fonctionne comme ça. Et d'ailleurs, il y a eu des scandales à Paris au tout début, entre lui et Pape Samba Mboup. Il disait : «Je t'ai donné de l'argent», l'autre répondait : «Tu ne m'as pas donné». C'était devant des gens du protocole français. 

    Vous avez été un compagnon de Wade du temps de l'opposition. Est-ce qu'il bénéficiait de faveurs de la part du président Diouf ? 
    Mais, Diouf lui a donné beaucoup d'argent, il n'y a pas de doute. Tous les week-end, il avait de l'argent. En ce moment, il était dans le gouvernement, il y avait des fonds politiques qui lui avaient été alloués. C'était la somme de 5 millions chaque week-end. Il ne l'a jamais dit, et il ne le dira pas. S'il veut, il me met en prison. Mais, c'est la réalité. Je n'invente rien contre lui. Dans son affaire avec la Sgbs, son endettement était de 300 et quelques millions. La Sgbs l'a exaspéré à cause de cette dette. Son acharnement contre la banque à son arrivée au pouvoir, c'était parce qu'il voulait se venger. 

    Peut-on savoir celui qui a aidé Me Wade à rembourser à l'époque cette dette ? 
    Diouf lui a donné un coup de pouce. Il avait même reçu l'argent pour payer, il n'a pas payé. Plusieurs fois, sa maison a failli être saisie. C'est Diouf qui l'a sauvé. Diouf avait l'élégance de ne pas faire de méchanceté, quoique l'autre se soit opposé à lui. Il l'a aidé. 


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    Six nouveaux joueurs ont été appelés par le sélectionneur de l’équipe nationale Olympique, Abdoulaye Sarr pour le match du deuxième tour des éliminatoires zone Afrique des Jeux Olympiques de Londres en 2012.

     

    Les Lions convoqués sont Alpha Bâ, Zarco Touré, Oumar Pouye, Mbaye Niang, Ibrahima Baldé et Kalidou Coulibaly.

     

    Les Lions Olympiques doivent rencontrer le 4 juin la Tunisie à Tunis. Sur les six nouveaux, quatre (Oumar Pouye, Mbaye Niang, Ibrahima Baldé et Kalidou Coulibaly) n’ont jamais été appelés dans une sélection de petites catégories. Les deux autres (Alpha Bâ et Zarco Touré) sont familiers des équipes nationales.

     

    Abdoulaye Sarr n’a pas convoqué les joueurs du Casa Sports qui ont récemment fait le déplacement en Algérie où les Olympiques ont disputé deux matchs amicaux.

     

    L’équipe nationale Olympique entame dimanche à 12 heures à l’hôtel Océan son stage de préparation.

     

     

     

    Voici la liste des 24 convoqués :

     

     Gardiens : Issa Ndiaye (Douanes), Ousmane Mané (Diambars), Cheikh Ahmadou Bamba Thioub (Niary Tally)

     

    Défenseurs : Alpha Bâ (Gantoise, Belgique), Saliou Ciss (Tromso IL, Norvège), El Had Sady Guèye (Diambars), Abdoulaye Bâ (Covilhna, Portugal), Zarco Touré (Boulogne, France), Mame Balla Diop (Pikine), Pape Ndiaye Souaré (Lille, France), Khassim Soumaré (Diambars)

     

     Milieux : Thierno Moukhtar Thioune (Touré Kunda), Pape Alioune Ndiaye(Diambars), Pape Macou Sarr (Jaraaf), Idrissa Gana Guèye (Lille, France), Fallou Diagne (Metz, France), Baye Oumar Niass (Ouakam), Oumar Pouye(Evian, France)

     

    Attaquants : Mbaye Niang (Caen,France), Dieylani Fall (Auxerre, France), Ibrahima Bâ (Numacia, Espagne), Moussa konaté (Touré Kunda), Kalidou Coulibaly (Metz, France) , Mamadou Touré (Touré Kunda).


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    BAOLTV EN LIVE

     

    Déclamation de Poemes ( wolof  ) par Abdou Lahad NDong à l'institut AL AZHAR  DE TOUBA NDAME  dimanche le 2205 2011 en presence des plusieurs personalites . Abdou Lahad NDong le grand poete Wolof du Baol a présenté plusieurs poemes . la ceremonie a été retransmis en directe sur BAOL-MEDIAS-CULTURE 
     

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     Source   MODOU DIOP THIAT

     


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    source: Wal Fadjri

     

    C’est dans une maison sobre située dans la banlieue ouest de Ziguinchor que nous avons rencontré hier la mère de Nafissatou Diallo. Encore sous le choc, les quelques mots qu’Adja Aïssatou Diallo a sortis, c’était pour manifester sa surprise de voir sa fille qu’elle qualifie de pieuse, respectueuse et de bonne mœurs citée dans une affaire de sexe.

     

    (Correspondance) - Depuis l’éclatement de cette affaire de viol qui a eu raison du désormais ex-directeur général du Fonds monétaire international, des tentatives se multiplient pour lever le voile sur l’identité de la victime présumée de Dominique Strauss Khan. Un exercice qui mobilise depuis lors de grands médias internationaux, mais pas seulement. Mais, si la Guinée Conakry, pays d’origine de Nafissatou Diallo, a attiré l’opinion dans cette recherche des proches et autres parents de la victime présumée de Dominique Strauss-Kahn, c’est au Sénégal que les traces de la mère de Nafissatou Diallo ont été retrouvées. Et c’est dans une sobre maison sise au quartier Soucoupapaye, situé dans la banlieue ouest de Ziguinchor que nous avons rencontré, pour la première fois, Adja Aïssatou Diallo. Il faisait 20 heures ce samedi 20 mai 2011. La soixantaine largement dépassée, la dame semblait disposée à répondre à nos questions, à nous parler de sa fille, Nafissatou. Seulement, la fatigue du voyage qu’elle venait de faire l’en dissuada. Il fallait donc revenir le lendemain. Nous avons compris qu’elle voulait prendre l’avis de ses enfants, dont certains vivent aux Etats-Unis avant de se prêter à nos questions.

     

    Le dimanche, à neuf heures, nous étions dans la cour de la maison. Mais, nous n’avons pas mis du temps à comprendre que quelque chose a changé entre temps. Il fallait toujours essayer d’arracher quelques informations. Une volonté qui nous a coûté un long moment d’exercice pour prouver la pertinence de notre démarche et convaincre du coup la vieille dame de nous parler de sa fille. Dans cette difficile tentative de ‘séduction verbale’, nous avons bénéficié d’un soutien de taille : celui de la petite sœur et non moins logeuse de Adja Aïssatou Diallo. Finalement, cette dernière finira pour accepter notre demande. Le visage bridé par le poids de l’âge, le cœur meurtri par cette histoire qui a mis sa fille sous les projecteurs du monde entier, celle que ses neveux appellent affectueusement Néné Aïssatou (tante Aiïssatou en langue Pulaar) finit par sortir quelques mots : ‘Je suis la propre mère de Nafissatou Diallo.’ L’information est lâchée. Mais, grande est la surprise de la dame de voir sa fille au cœur de ce scandale sexuel. ‘Je n’ai pas mis au monde une mauvaise femme’, s’est-elle empressée de préciser. A en croire la vieille, Nafissatou qui a habité un moment à Ziguinchor a eu une enfance calme, sans problème. Très jeune, elle a été donnée en mariage à un de ses cousins. De ce mariage naîtra une fillette qui vit en ce moment avec elle aux Etats-Unis. Mais, son mari décédera. Et c’est après son veuvage qu’elle rejoint sa grande sœur au pays de l’oncle Sam. Ce n’est que l’année dernière seulement que Nafissatou s’est remariée avec un Gambien. Le mariage a été célébré à Ziguinchor, dans la maison où se trouve en ce moment Adja Aïssatou Diallo.

    Depuis qu’elle a reçu l’information, la dame a perdu le sommeil. Et ses pensées sont allées vers le père de la présumée victime, mais aussi vers ses grands-parents que la vieille considère comme des savants. Aujourd’hui, Adja Aïssatou Diallo a l’impression que le sol se dérobe sous ses pieds. C’est pourquoi elle est pressée de rentrer dans son Thia Koullé natal en Guinée Conakry pour bénéficier du soutien de ses proches. Mais pour le moment, elle affronte le temps dans cette maison qui avait accueilli Nafissatou Diallo pendant un bon bout de temps en espérant que le problème aura bientôt un dénouement heureux


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  • Une semaine après un grand meeting des leaders de la Coalition Bennoo Siggil Senegaal à Ziguinchor, le directeur de campagne du candidat, Abdoulaye Wade et Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye a été sur leurs traces ce week-end. Très corrosifs, il a fait des révélations graves sur Landing Savané qui recevait tous les mois 30 millions de francs sans le partager avec aucun membre de son parti, sans le dire à personne.

     

     

     

     

    Le temps des grands déballages semble avoir sonné. Après Amath Dansokho sur une dette de 600 millions d’Abdoulaye Wade opposant d’alors, c’est Souleymane Ndéné Ndiaye qui monte au créneau pour «descendre en flamme» Landing Savané. Le directeur de campagne du candidat du pouvoir à la présidentielle de février 2012 a tenu meeting à Ziguinchor là où l’opposition réunie sous la bannière de Bennoo Siggil Senegaal s’était rassemblé pour contre attaquer avec véhémence. «Il y a quelques jours nous avons entendus tous ces petits plaisantins. Si le ridicule tuait, jamais Robert Sagna ne serait revenu ici avec ces petits plaisantins pour raconter les histoires», a clamé le Premier ministre.    S’attaquant directement et nommément à Landing Savané, il a martelé avec aussi la mort dans l’âme, a-t-il précisé, « Monsieur Landing Savané, voila quelqu’un qui incarne parfaitement l’ingratitude. Je vais vous raconter comme vous le savez, j’ai été directeur de cabinet du président de la République, pendant presque 10 ans, Landing Savané a reçu de mes mains ou des autres collaborateurs du président de la République 30 millions de francs tous les mois et jamais il n’a partagé cet argent avec ses camarades de And-Jëf. Personne ne le savait», a révélé Souleymane Ndéné Ndiaye galvanisé par une foule de militants avec à ses côtés Abdoulaye Baldé, Christian Sina Diatta, Georges Tendeng et autres responsables libéraux de la région de Ziguinchor. Jamais, a-t-il ajouté sur les ondes de la radio privée Sud FM, «c’est parce qu’il était collaborateur du président. Et dans sa générosité, le président avait estimé qu’il pouvait aider ce parti allié et non pas un homme mais jamais n’a révélé cela à ces camarades de And-Jëf».    Le directeur de campagne du président de la République de déplorer : «donc si aujourd’hui abandonné, laissé par Me Abdoulaye Wade et par ses militants, il vient rejoindre le camp des plaisantins et venir dire que c’est ici à Ziguinchor que nous perdrons les élections, je pense que lui aussi est en train de devenir un gros plaisantin. Mais je sais que vous autres qui êtes là depuis ce matin, depuis l’après midi et qui êtes restés encore là, vous ne croirez en rien dans ce que raconte ces plaisantins».


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    Les jeunes libéraux membres du Comité de liaison communale (CIC), de Ziguinchor, ont empêché Mamadou Lamine Massaly président du mouvement des jeunesses wadistes de tenir une conférence de presse qu’il a convoquée dès son arrivée samedi dernier dans la région méridionale. Les libéraux opposés à Massaly étaient sous la conduite de leur nouveau patron Lamine Bodian. Ils ont attendu la fin de la distribution du texte liminaire pour surgir et s’opposer fermement à toute intervention de l’organisateur. 

    Il s’en est suivi un tohu-bohu indescriptible, opposant les jeunes wadistes proches de Mamadou Massaly à ceux de l’UJTL conduits par leur secrétaire général Lamine Bodian. N’eut été l’intervention de certaines bonnes volontés, le pire allait se produire. Selon le journal l'Office, les jeunes libéraux de Ziguinchor déplorent le fait que Massaly soit venu dans leur région et dans leur ville pour tenir ses activités politiques sans prévenir. Pour la mise en cause il a laissé entendre qu’il a dépassé le temps de la polémique. Cela ne m’intéresse pas. S’ils ne travaillent pas moi je travaille, je n’ai pas besoin d’aviser qui que ce soit dans le Parti Démocratique Sénégalais », s’est exprimé M. Ma


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  • Maintenant qu’elle a été lancée sous les projecteurs de l’actualité, les détectives engagés par les avocats de Dominique Strauss-Kahn cherchent à découvrir des failles dans la vie de ND, la victime guinéenne de l’attaque sexuelle présumée de Strauss Kahn dans un hôtel de New York. L’ancien directeur général du FMI a été inculpé de viol et se retrouve en résidence surveillée dans un appartement de Broadway à New York et ses avocats préparent sa défense en cherchant entre autre à mettre en doute la crédibilité de la guinéenne. Selon les proches de la femme intérrogés par Guinéenews©, la tâche sera très dure pour les avocats et les admirateurs de DSK s’ils cherchent à « salir la réputation de la victime » afin de sauver leur héros. En effet, née dans une famille très pieuse de Lélouma et notable de la contrée, Mme ND a suivi un parcours très classique pour une jeune guinéenne : école coranique et école française. Mariée jeune, elle a eu un enfant avant de perdre son mari en 1997.

     Devenue veuve, Mme ND serait venue aux Etats-Unis seule vers 2004. Puis sa fille - qui vivait avec ses grand parents paternels - est venue la rejoindre en 2009. Initialement ND est restée chez sa soeur «de lait», Mme HD, au Bronx avant de voler par ses propres ailes pour se trouver son propre appartement qu'elle a obtenu par l'intermédiaire de Ghanaéns. ND a aussi un frère dans un autre État des Etats-Unis. Quoique son frère et sa soeur soient tous des universitaires, ND n’a pas poussé les études, mais parle et écrit le français et l’anglais affirment ceux qui la connaissent. Certes elle porte les foulards, mais « à la guinéenne » et non le burka ou le hijab comme certains journalistes ont écrit, précise-t-on. ND est pieuse et ne manque jamais ses prières car dit-elle, elle vient d’une famille «respectable» et ne veut pas attirer la honte envers ses parents, notamment sa mère (son père étant décédé), qu’elle vient d’envoyer dans un état voisin de la Guinée pour se reposer. Les deux d’ailleurs communiquaient et se voyaient via Skype. 

    « ND ne sortait pas et menait une vie exemplaire parce qu’elle tenait beaucoup à donner à sa fille une bonne éducation » explique MD à Guinéenews©. MD - elle aussi guinéenne - vit à quelques blocs de ND dans le quartier de Bronx. Comme ND, MD travaille dans un hôtel de Manhattan et est l’une des rares amies de la victime présumée de DSK. Les deux femmes partagent d’ailleurs le même forfait téléphonique cellulaire. Après avoir travaillé dans divers restaurants africains de Bronx et Harlem où elle a refusé plusieurs propositions de mariage, ND a trouvé un emploi comme aide de chambre dans le fameux Sofitel de Manhattan il y a 3 ans. « Elle y est allée parce que ça payait mieux et ND nous avait montrés le certificat d’employé modèle que l’hôtel lui a délivré il y a quelqiues semaines et dont elle était très fière. Ce certificat était même accroché dans son salon !

     C’ést une travailleuse exemplaire. Elle priait régulièrement et ne fréquentait pas le milieu social guinéen de New York c’est pourquoi peu de personnes la connaissent. Son horaire quotidienne était le travail, puis aller chercher sa fille - qu’elle a confié à une autre femme peuhle du quartier avant de rentrer chez elle. De temps en temps, elle venait à la maison où nous discutions pendant des heures sur la vie en général. Elle habitait dans un immeuble voisin et avait très peu d’amis sinon je l’aurais su. On ne se cachait rien. » « Quand mon mari m’a appelé le dimanche pour me dire qu’il y a eu un scandale sexuel à l’hôtel où travaillait ND, je ne pouvais jamais penser qu’il s’agirait d’elle. Le soir je l’ai appellé sur son téléphone et sans réponse, je suis allée à son domicile à Bronx et c’est là-bas que j’ai vu la meute de journalistes devant sa porte », explique MD à Guinéenews. Pour cette amie qui continue à communiquer avec ND via SMS, « ils pourront chercher jusqu’à se fatiguer mais ils ne pourront trouver aucun scandale sexuel ou autre sur cette femme. Ce qu’elle a dû dire aux policiers c’est la vérité absolue ! ».

     MD dit qu’elle a été indignée des propositions de plusieurs personnes qui connaissaient leurs relations de leur passer les photos de ND afin qu’ils puissent les vendre à la presse. Les photos qui sont sorties sur Internet ne sont pas celles de ND qui est élancée, teint clair et très belle. « Dire qu’un peul gambien venait de déposer des colas à sa famille pour l’épouser et avant ça, elle avait repoussé tellement de prétendants car c’est une femme très belle, élancée typiquement guinéenne. Je suis catégorique, ce n’est pas une femme qui peut utiliser son charme pour piéger quelqu’un. Si elle dit qu’on l’a violé, c’est que vraiment elle a été attaquée », conclut MD. ND a envoyé un SMS ce matin dans lequel elle dit en anglais : « J’ai la conscience tranquille et malgré ce que tu lis sur moi dans la presse, quand la vérité se saura, tu seras fière de moi. »


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    source: AFP

    Le président ivoirien Alassane Ouattara a annoncé dimanche que Guillaume Soro serait reconduit comme Premier ministre et formerait un gouvernement d`union nationale dans les prochains jours, lors d`un entretien sur France 24 et Radio France Internationale (RFI).

    Entre les deux tours de la présidentielle, Alassane Ouattara avait promis que le poste de Premier ministre reviendrait au Parti démocratique de Côte d`Ivoire (PDCI) d`Henri Konan Bédié.

    "Avec le président Bédié, nous considérons que Guillaume Soro fait du bon travail, que la situation est encore fragile, que nous avons besoin de lui, nous souhaitons qu`il continue et il a accepté de continuer. C`est lui qui formera le prochain gouvernement", a expliqué M. Ouattara.

    "Je tiendrai mes engagements (envers le PDCI, ndlr) le moment venu, mais ce n`est pas le moment", a-t-il ajouté. Le PDCI d`Henri Konan Bédié, arrivé troisième lors du premier tour du scrutin présidentiel, avait apporté dans l`entre-deux-tour un soutien décisif à Alassane Ouattara.

    Guillaume Soro conservera également le portefeuille de la Défense, a précisé M. Ouattara.

    Leader des Forces nouvelles qui avaient échoué à renverser Laurent Gbagbo en 2002 mais occupaient depuis lors le nord du pays, Guillaume Soro, 38 ans, était devenu Premier ministre de Gbagbo à la faveur de l`accord de paix de 2007.

    Il avait dès le début de la crise politique née du refus de Laurent Gbagbo de reconnaître sa défaite à la présidentielle de novembre 2010 choisi Ouattara, qui l`a maintenu à la Primature (poste de Premier ministre).

    Alassane Ouattara a aussi émis le souhait que des membres du parti de Laurent Gbagbo entrent dans son futur gouvernement d`union nationale.

    "Je suis en discussion avec des éléments modérés du Front populaire ivoirien, je souhaite qu`ils fassent partie de mon gouvernement", a-t-il indiqué.


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  • Seneweb NewsLetter
    source: Seneweb.com

    « Si jamais mon mari cherche une deuxième femme, je quitte la maison. Je ne peux pas l’accepter. Les hommes des fois je ne les comprends pas. Ils sont très machos. ». Tel est  le cri de cœur d’une femme interrogée par Mamadou Ndoye Bane qui s’est intéressé cette semaine à la polygamie. L’animateur de l’émission « Thème de la semaine » sur walf Fm a pénétré le monde de « ses femmes » qui ont horreur de la polygamie même si cette pratique est soutenue par le Coran pour le monde musulman. Pourquoi les femmes n’aiment pas avoir des coépouses ? Que dire de la monogamie ? Pourquoi en général les coépouses ne s’entendent jamais ? Et le mari dans tout cela ? Le débat est lancé. Les témoignages se suivent et ne se ressemblent pas. Ecoutez


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    Cette assertion risque d’en surprendre plus d’un : il n’y a pas du tout une crise des valeurs de la société sénégalaise.

    Depuis un bon moment, on ne compte plus dans la sphère médiatique le nombre d’articles, d’émissions, de reportages, etc. traitant de faits de société tels le viol, la prostitution, l’homosexualité, le meurtre, la pédophilie et j’en passe. Ces « attitudes » ou plutôt ces faits rangés habituellement dans le registre du divers se retrouvent pourtant, selon l’essentiel de l’analyse journalistique, bâtis sur un seul et même socle ; celui d’une crise supposée des « valeurs ». Argument que je récuse sans manquer de proposer une alternative  analytique. Pour mieux appréhender la subtilité de ce débat, il est nécessaire de revenir sur la définition même de ses concepts centraux.

    Comme le notaient déjà des sociologues américains (W. I. Thomas et F. Znaniecki), on pourrait entendre par « valeurs » l’ensemble des « éléments culturels objectifs de la vie sociale et par attitudes les caractéristiques subjectives des individus » d’un groupe social donné.

    Il est donc clair, toujours selon mon analyse, que ces « valeurs » typiquement sénégalaises que sont le jom, le ngor, le kersa, le suturë, le fullë… gardent leur signification intacte et occupent encore dans notre vie de tous les jours, la même place qu’il y a un, deux ou trois siècles. En effet, ces valeurs existent toujours – comme jadis – et se trouvent actuellement plus que renforcées, ne serait-ce que dans les discours, du fait de l’altérité résultant directement de l’ouverture réelle ou virtuelle des frontières géographiques (et surtout culturelles). C’est ainsi que l’étranger (ñak, tubaab, etc.) fait figure de bouc émissaire en tant qu’élément intrus pervertisseur.

    Ce que l’on peut constater, et qui est à l’origine de ces confusions de sens, ce n’est pas tant une crise des « valeurs » qu’une floraison de « nouvelles attitudes » qui n’épousent pas le moule de nos « valeurs ». Et ce qui est nouveau à ce propos, ce ne sont pas ces attitudes elles-mêmes mais plus la « surmédiatisation » récente qui les expose dans l’espace public de la concurrence vorace des groupes de presses animés par une surenchère des scandales : repérer un fait individuel isolé, le généraliser, lui consacrer un article en veillant bien de trouver un titre accrocheur. Telle est la logique prédominante du marché de la presse sénégalaise animé par des acteurs qui, pour une grande partie, sont plus obnubilés par le chiffre d’affaire et l’audimat que par la vocation d’informer.

    En même temps, si nos valeurs étaient réellement en crise, comment expliquer le fait que ces attitudes jusque-là invisibles suscitent une opposition ferme, une dénonciation souvent violente et une colère sociale viscérale ? C’est bien là le signe que la société sénégalaise reste toujours sénégalaise, brandissant à toutes les occasions ses valeurs comme bouclier face à la menace de l’inconnu culturel.

    Cette erreur d’analyse de la part des médias pourrait aussi résulter de l’amalgame que l’on fait habituellement entre valeurs, tradition, coutumes, etc.

    On pourrait aussi voir dans la prétendue crise des valeurs décrétée par les médias, un conflit de générations opposant d’un côté « les entrepreneurs de morale » dont l’archétype est l’imam, et de l’autre une jeunesse qui maîtrise et consomme (du moins pour la plupart) les canaux de diffusion (NTIC) de ces attitudes dites “nouvelles“ et “étrangères“.

    Il n’y a donc nullement une crise des valeurs sénégalaises, mais comme il en a toujours été,  l’avènement d’une nouvelle génération de sénégalais qui marque son empreinte par l’adoption, l’importation, l’adaptation et la recomposition d’attitudes qui ont du mal à intégrer l’existant (les valeurs).

    Ce qu’il faut toutefois reconnaître, c’est que c’est attitudes (nouvelles, importées…) ont la capacité à chaque fois, non pas de pervertir le groupe ou d’ébranler les valeurs, mais seulement de déplacer le seuil de tolérance sociale. Ce qui est tout à fait normal dans un contexte mondialisation des économies et des cultures, boostée par les technologies nouvelles.


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    Seneweb NewsLetter
    source: Webnews

     

    Le Jugement dernier n'a pas eu lieu... Il était attendu à 18 heure -du moins selon un prédicateur fondamentaliste chrétien presque nonagénaire- et certains Américains qui s'y préparaient consciencieusement. Le prédicateur Harold Camping, 89 ans, assurait que les bons chrétiens seraient emportés au ciel à partir de 18H00.Gregory LeCorps est allé jusqu'à abandonner son travail dans un «établissement médical» et s'est lancé sur les routes, avec sa femme et ses cinq enfants, pour avertir les gens que la montée au ciel des justes était imminente, a rapporté The Journal News, vendu dans la banlieue nord de New York.Selon le pasteur, ceux qui n'étaient pas en mesure de franchir les portes du paradis auraient vécu l'enfer sur terre jusqu'au 21 octobre, quand Dieu y mettrait fin pour toujours, en détruisant tout être et toute chose, affirmait Camping.LeCorps y croyait fermement. D'autres étaient plus sceptiques, rappelant que Camping avait lancé une prophétie similaire il y a longtemps, annonçant la fin du monde pour 1994.Le maire de New York Michael Bloomberg, qui est juif et donc, selon Camping, ne devait pas aller au ciel rejoindre Jésus et Dieu le Père, s'était engagé lors de son émission radio de vendredi à suspendre le stationnement alterné si la fin du monde arrivait samedi.

     

    Ce régime alterné est détesté par les habitants de New York, obligés de déplacer leurs voitures pour permettre le nettoyage des rues.Un groupe d'athées avait programmé un pique-nique dans un parc samedi en fin d'après-midi, comptant avoir beaucoup de place, les chrétiens étant partis pour le paradis.Des bars avaient affiché des «cinq à sept fin du monde», prenant le risque que ceux qui y croyaient partent sans payer, formalité devenue sans importance à quelques heures de la Grande Fin. Et les amateurs de fêtes avaient organisé des surprises-parties «fin du monde» à travers le pays, pour saluer gaiement ceux qui devaient partir.Sur un compte Twitter dédié à l'événement, les messages affluaient trop vite pour être lus. Un sceptique y déclarait, par exemple, que Dieu ne devait pas choisir un samedi au milieu de la saison de cricket.Sur le site de ventes Craigslist, des milliers de non-croyants proposaient de racheter leurs biens à ceux qui s'apprêtaient à aller au ciel, tandis qu'un groupe d'athées affirmait avoir vendu des centaines de contrats en promettant de s'occuper des animaux domestiques des partants.

     

    De plus en plus de gens envisageaient sur Twitter de s'amuser à laisser sur les trottoirs ou les pelouses de vieux vêtements et chaussures pour faire croire à une montée au ciel de leur propriétaire. D'autres annonçaient leur intention de s'adonner au pillage, un homme déclarant sur Twitter qu'il s'en prendrait d'abord à Apple.Camping avait calculé le moment exact de l'Ascension en partant du Déluge, 4990 ans avant la naissance du Christ, en y ajoutant d'abord 7000 ans parce que dans la Bible «Dieu nous rappelle qu'un jour est comme mille années» et ensuite en enlevant une année à cause des différences de calendrier entre l'Ancien et le Nouveau Testament. Pour aboutir à 2011, d'après le site internet Family Radio de Camping.

     


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    Seneweb NewsLetter
    source: Le populaire

     

    Le Colonel Moumar Guèye, écrivain de renom, s’est penché sur le phénomène de la polygamie. En conférence à la librairie Clairafrique, hier, l’ingénieur s’est appesanti sur ce sujet sur lequel porte son roman «Le droit à la polygamie». L’homme qui a lui-même trois épouses a longuement débattu sur la nature de ce choix.

     

    L’écrivain et poète colonel Moumar Guèye a expliqué son livre axé sur la polygamie, hier, lors d’une conférence initiée dans le cadre des «Vendredis de Clairafrique». «Le droit à la polygamie» est, comme l’affirme son auteur, ingénieur de formation, un sujet que les femmes détestent le plus. Pour mieux expliquer ce phénomène très encré dans la culture sénégalaise, l’ingénieur des eaux et forêts à la retraite s’est inspiré de son enfance et de sa propre expérience. Fils d’un marabout de Saint-Louis polygame (quatre femmes), l’écrivain révèle que sa mère était la quatrième et la plus jeune épouse de son père. Lui-même ayant trois femmes, assure cependant avoir «horreur de contraindre une femme. Je n’ai appâté aucune de mes épouses. Elles savaient toutes que j’étais polygame avant d’accepter de m’épouser». 

     

    Afin de mieux justifier son choix, Moumar Guèye atteste que ses femmes sont complémentaires et qu’il trouve en chacune d’elles une particularité qui le pousse à l’aimer. Le colonel Guèye s’est aussi référé au Coran et à l’éthologie (étude du comportement) pour expliquer les principales raisons qui poussent les hommes à la polygamie. «La polygamie est un comportement naturel, normal qui n’a pas besoin d’être défendu», indique-t-il. 

     

    Le polygame certifie que, selon l’éthologie, l’homme peut avoir plusieurs partenaires durant son temps de vie et pas forcément en même temps. L’écrivain témoigne que plusieurs hommes signent la monogamie à la mairie alors qu’ils sont des polygames chevronnés. Néanmoins, le colonel assure qu’il ne défend pas ce comportement, mais qu’il veut juste expliquer le droit des hommes à ce choix de vie. 

     

    Par ailleurs, l’écrivain saint-louisien de renom garantit qu’il comprend les femmes qui ne veulent pas partager leur conjoint. Et s’il conçoit le droit à la polygamie, il ne se dit pas contre la polyandrie. Mais il reconnaît que de ce côté, les femmes sont plus limitées que les hommes. «Une femme ne pourrait pas survivre dans la polyandrie», avance-t-il même en notant que la polygynie n’est pas une question de sexe, car les femmes peuvent faire ce choix. Ce n’est pas non plus une question de religion, puisque l’auteur affirme avoir plusieurs amis chrétiens qui n’en sont pas non moins polygames. 

    En outre, le colonel Moumar Guèye dévoile qu’il a présenté son livre à Monseigneur Théodore Adrien Sarr, Archevêque de Dakar, qui l’a chaleureusement accueilli. Bien que l’auteur n’ait pas évoqué les conséquences de la polygamie, il assure que les mariages monogames peuvent avoir des conséquences désastreuses, autant que les mariages polygames.


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  •  SUR SON DIVORCE AVEC ABRAHAM PIPO DIOP : Ngoné Ndiaye Fait dans le « clair obscur »
     
    C’est une Ngoné Ndiaye Guéweul très tendue que nous avons eu au bout du fil. L’idée était de nous renseigner sur la suite réservée à sa demande de visa à l’ambassade de France pour aller demander le divorce à son mari d’artiste Abraham pipo Diop. Ce dernier est hors du pays parce que nous dit-on, ne pouvant pas rejoindre les siens. D’une intonation menaçante, elle a rétorqué après notre question « J’ai des parents qui doivent s’occuper de ça, raison pour laquelle je ne vous dirai rien du tout sur ma vie privée. »

    L’auteur de couple-bi à qui son mari enseigne comment une femme exemplaire doit se comporter devant son époux, et qui, en guise de réplique faisait la docile comme si ce scénario qu’ils ont imposé au sénégalais ne résulte pas de leur vie privée va jusqu’à affirmer : « je suis en voyage actuellement je suis entrain de vaquer à mes préoccupations comme il se doit on m’a même appelée pour m’informer de votre article »(Ndlr : dans notre sortie d’hier un article faisait état de sa présence à l’ambassade de France à la recherche d’un visa).

    Pour rappel, Ngoné Ndiaye demande le divorce à son mari suite à une sortie que ce dernier avait fait dans la presse. Abraham Pipo disait être déçu du comportement de son épouse qui s’est rabaissée au point de se crêper le chignon avec Ndjolé Talla une autre artiste sur le plateau d’une télévision. Pipo affirmait même avoir appelé la chanteuse pour s’excuser à la place de sa femme. Un fait qui n’a pas du tout plu à madame Diop qui veut coute que coute se débarrasser d’un mari qui ne l’a pas soutenue dans sa dispute et qui s’en est tenu au public. N’ayant ni réfuté ni affirmé, elle préfère faire dans le clair obscur. Faudrait-il en conclure avec le dicton : « qui ne dit mot consent »

    Yandé Diop
    (Stagiaire)
    source Rewmi.com

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  • Le dimanche 31 juillet prochain, Tyson de Boul Faalé devra s'expliquer avec Balla Gaye 2 de Guédiawaye pour un combat annoncé comme celui de rêve. A quelques deux mois de cette affiche explosive, Tyson s'emmure dans un silence de mort depuis le 18 mars alors que Balla Gaye 2 fait la une de l'actualité avec des sorties dans la presse pour allumer son adversaire.

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  • L’entrepreneur et Directeur général de l’entreprise Jean Lefebvre et toutes les personnes poursuivies pour surfacturations dans le cadre des chantiers de Thiès, ont été relaxés par le tribunal correctionnel de Dakar.

      Le tribunal a considéré qu’aucune preuve ne peut étayer les accusations portées par l’Etat du Sénégal dans le cadre de chantiers engagés à Thiès en 2004. Une décision qui met fin à six années de poursuites, dans un dossier considéré par de nombreux observateurs comme politique. Toutes les personnalités politiques accusées dans cette affaire avaient déjà bénéficié d'un non-lieu. L’Etat du Sénégal a la possibilité de faire appel de la décision. Mais son avocat principal, Me Ousmane Sèye, s’est déjà déclaré favorable à l’apaisement.

     

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    source: Seneweb.com

     

    L'entrepreneur Bara Tall aurait été relaxé de toutes les poursuites engagées contre lui. C'est ce que nous venons d'apprendre de sources présentes au tribunal de Dakar. SENEWEB-NEWS y reviendra plus en détail dans les prochaines heures.

     


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    Les sénégalais ne sont pas contents des coupures d’électricité qui les empêchent de vivre confortablement. Commerçants, tailleurs, ou simples usagers déversent leur bile sur le régime de Wade qui peine à leur fournir de l’électricité, malgré le plan Takkal lancé par le ministre de l’Energie Karim Wade, il ya quelques mois.

     


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