• Conférence de presse du porte parole de Wade ce vendredi
    Serigne Mbacké Ndiaye, ministre-conseiller chargé des Affaires politiques et porte-parole du chef de l’Etat, donne une conférence de presse vendredi à 10 heures, a appris l’APS de bonne source. La rencontre se tiendra au palais de la République et portera sur ’’la situation politique nationale’’, précise la même source.
    Vendredi 3 Juin 2011 - 00:14

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    SERIGNE IBRAHIMA BOUSSO MBIRKILANE IBN SERIGNEMASSAMBA FATY INB SERIGNE MBOUSSOBE LUTTE SENEGAL SUNU LAMB.

     ACTUEL KHALIF SERIGNE  MBOUSSOBE YALA NAKOFI YALA YAGGAL TE WEER

     


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  •  SERIGNE SIDY MOKHTAR MBACKE KHALIF GENERAL DES MOURIDES ET TOUTE LA FAMILLE DE SERIGNE TOUBA KHADIMOU RASSOUL AINSI QUE TOUS LES CHEIKH DE SERIGNE TOUBA

     SERIGNE CHEIKH DIEUBE FALL KHALIF GENERAL DES BAYES FALL

     SERIGNE MANSOUR SY KHALIF GENERAL DES TIDIANES ET TOUTE LA FAMILLE DE EL HADJ  MALICK SY

    LA FAMILLE NIASSENE, LAYENNE, ET KOUNTA ONT LA PROFONDE DOULEUR DE VOUS FAIRE PART DU RAPPEL A DIEU DE SERIGNE ABDOU SALAM BOUSSO KHALIF DE SERIGNE MBOUSSOBE.

    LUTTE SENEGAL SUNU LAMB.

     LUTTE SENEGAL SUNU LAMB.

     

     

    YAL NA YALLA YOK LEERAM



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  • Mort de Malick Bâ : Wade demande des comptes
    Le président de la République Abdoulaye Wade a demandé que ’’des mesures diligentes’’ soient prises pour situer les responsabilités dans la mort par balles du jeune Malick Bâ, lors d’une manifestation contre le découpage administratif de Sangalkam, lundi. ‘’Après avoir écouté le compte rendu du ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales, le chef de l’Etat a déploré le fait qu’il y ait eu mort d’homme dans le cadre de l’installation des délégations spéciales’’, indique le communiqué du Conseil des ministres. Malick Bâ, un maçon de 32 ans, a été abattu lundi par un gendarme à l’occasion d’une manifestation de jeunes opposés au découpage administratif de la communauté rurale de Sangalkam, dans la région de Dakar. Selon le communiqué du Conseil des ministres, M. Wade a demandé au ministre de la Justice et à ses collègues de l’Intérieur et des Forces armées de ‘’prendre, chacun en ce qui le concerne, les mesures diligentes en vue de situer les responsabilités dans le décès du jeune ressortissant de Sanglakam’’.

    Avec APS
    Vendredi 3 Juin 2011 - 02:22

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  • Aliou Sow indésirable chez la famille de Malick Bâ
    Lu sur le nettali : Le ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales a intérêt à ne pas s’aventurer du côté de la famille du jeune Malick Bâ tué lundi dernier par un tir de la gendarmerie. La famille du défunt a clairement mis en garde Aliou Sow et Aly Khoudia Diaw, président de la délégation spéciale de Sangalkam. « Je vais présenter mes condoléances à la famille. » Ces propos du ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales sonnent comme une provocation pour la famille du défunt Malick Bâ. Aussi les parents du défunt avertissement-ils Aliou Sow et le président de la délégation spéciale de Sangalkam, Aly Khoudia Diaw, qui ont annoncé, mardi, leur volonté d’aller leur présenter leurs condoléances. Et le porte-parole de la famille du défunt est on ne peut plus clair. « Aliou Sow et Aly Khoudia Diao ne sont pas les bienvenus chez nous. Tout ce qui s’est passé, c’est à cause d’eux », dit Amirou Dieng. Avant de menacer : « Gare à eux s’ils s’avisent à poser les pieds ici. » En outre, la famille du défunt Malick Bâ ne veut surtout pas entendre parler de légitime défense pour justifier le meurtre de leur fils. Amirou Dieng se désole : « Nous suivons les informations dans la presse. Et nous tenons à apporter un démenti à beaucoup d’informations qui nous font mal. » Catégorique, il précise : « Malick Bâ n’était pas armé. » « La gendarmerie, pour tenter de justifier son acte, a fait état de beaucoup d’informations en plaidant la légitime défense contre quelqu’un qui n’était pas armé et qui se trouvait à 100 m de la brigade. »
    Vendredi 3 Juin 2011 - 13:21

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  • L'ambassade des Etats Unis condamne la mort de Malick Bâ et dénonce le découpage administratif
    Lu sur pressafrik : "me l’ambassadrice des Etats-Unis au Sénégal a condamné événements qui a abouit au meutre de Malick Bâ à Sangalkam par un gendarme. 
    Selon Mme Marcia Bernicat, qui a dénoncé l’usage de la force répressive aveugle estime que la violence ne règle rien. «La violence n’est jamais une solution », a fait entendre, dans les colonnes de la parution Le Populaire, la diplomate qui a tenu à présenter ses condoléances à la famille éplorée. 
    Pour elle, cet aboutissement malheureux est d’autant plus triste qu’il y avait quand même un bon souci exprimé par les citoyens qui ne voulaient de la délégation spéciale dans leur communauté. 
    Mme Bernicat a, également regretté le découpage administratif qui a engendré la perte du mandat d’élus qui ont, pourtant bénéficié du suffrage populaire. 
    Elle a déclaré que dans son pays, la carte électorale peut changer mais, mais on ne peut pas enlever les élus officiels. «Chez nous, quand on le fait, on ne peut pas enlever les officiels qui sont élus. «Ces élus ne sont changés qu’avec de nouvelles élections », renseigne-telle. "

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  • Dadis Camara est ici en Ouagadougou où il vit en exîl.


    Photo : Le nouveau visage Dadis Camara à Ouagadougou
     
    Vendredi 3 Juin 2011 - 05:32

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  • Sidy Lamine exige le voile à sa femme

    Cette beauté photographiée avec le patron du groupe Walf Fadjri, Sidy Lamine Niasse est l’une de ses femmes. Quelle position occcupe-t-elle ? La question est difficile. Ce qui est sûr, c’est qu’ils sont très liés. Actuellement, c’est la grande harmonie. En témoigne le voile qu’elle porte fièrement dans un milieu où ne sont admis que les Vip. La photo démontre que même à cheval sur les principes de l’Islam, parce qu’épouse d’un non moins marabout, Mme Niasse sait se tenir à table. Elle a fait ses humanités. N’empêche, elle a accepté, volontiers, ce que l’ex-épouse de Sidy, l’avocate Me Ndiéguène avait refusé. Ce qui lui vaudra de divorcer avec le patron de Walf, qui arbore grands boubous ou costumes, voire joggings, selon ses humeurs. Il est vrai que quand on aime son homme, on se soucie peu qu’il soit exigeant ou pas. Et puis le président Sidy ou Serigne, c’est selon, a des images à montrer.

     


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  • PHOTO: Doudou Wade taciturne sans sa Oumou Kalsom Sy, fille cadette de "Dabakh"

     


    Il avait commencé sa carrière professionnelle en tant qu’instituteur. Par la suite, il parviendra à réussir au concours du Centre de formation et de perfectionnement administratif, évitant de loin les misères de son oncle d’opposant, Abdoulaye Wade. Celui-ci porté au pouvoir, Doudou Wade, commencera à militer activement dans le Parti démocratique sénégalais. Il deviendra le président du groupe parlementaire libéral. C’est ainsi qu’il a fini par épouser Oumou Kalsoum Sy, la fille cadette du défunt deuxième Khalife général des Tidjanes, Serigne Abdou Aziz Sy "Dabakh". Qui deviendra sa fierté, qu’il aime exhiber et amener partout. Loin d’elle, il est taciturne, comme on le constate sur cette photo. Il préfère s’afficher avec sa distinguée et respectée Sokhna. Ce qui peut lui rapporter politiquement et lui assurer notoriété. Mais, dernièrement leur ménage a traversé une zone d’ombre. Mais, un lobbying politico-religieux a réussi à la ramener à la raison. Toute la question est de savoir si c’est pour de bon. Pourvu que les libéraux restent au pouvoir. Doudou est conscient de la nécessité d’un troisième mandat et se bat becs et ongles pour cette fin.


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  • L’ordre des médecins du Sénégal déplore les perturbations récurrentes notées dans le secteur de la santé. Ainsi, il compte œuvrer pour un climat apaisé, selon les propres mots de son président. «Nous devons nous auto-saisir de ces questions. Nous sommes là pour appeler à des discussions pour que la santé des populations soit préservée », a campé, au micro de la Rfm (privée) le Dr Ahmadou Cheikh Bamba Diop.

    (Plus d'informations demain sur leral .net)


    L’ordre des médecins entend apaiser les perturbations dans le secteur de la santé
     
    Selon lui, l’ordre national des médecins est le conseil privilégié par la loi.
    Par ailleurs, ils demandent l’application et le respect strict des lois et règlements régissant l’exercice de la médecine du pays.
    «Exercer la médecine dans le cadre du code déontologique ; exercer la médecine dans le cadre d’installation d’ouverture des cliniques, dans le cadre de la confraternité et du respect mutuel entre médecins », a recommandé le président de l’ordre des médecins du Sénégal,
     
    Charles Thialice SENGHOR

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  • L’Ascension est une fête chrétienne célébrée quarante jours après Pâques (en comptant le dimanche de Pâques). C’est pourquoi elle tombe un jeudi généralement au mois de mai. Dans la tradition et la foi chrétienne, elle marque l’élévation au ciel de Jésus de Nazareth après sa résurrection et la fin de sa présence terrestre.La prochaine date de l’Ascension est le jeudi 17 mai 2012

    (Plus d'informations demain sur leral .net)


    LA MONTÉE AU CIEL DU CHRIST CÉLÉBRÉE AUJOURD'HUI
     
    L’Ascension du Seigneur désigne le moment où Jésus aurait été élevé au ciel. Présent dans le Nouveau Testament, l’Ascension est un thème que l’on trouve dans la mythologie gréco-romaine (Hercule, Romulus) : monter aux cieux, c’est symboliquement rejoindre le domaine divin. Il ne faut pas confondre l’Ascension de Jésus Christ avec l’Assomption de la Vierge Marie.

    Les sources néotestamentaires
    Les sources essentielles du récits de l’ascension de Jésus de Nazareth après l’épisode de la Résurrection se trouvent dans deux textes qui, au regard de leur unité tant théologique que littéraire, sont probablement écrits par le même auteur : l’Évangile selon Luc1 et les Actes des apôtres2. Luc est le seul parmi les évangélistes à raconter cet épisode qui constitue la fin du premier ouvrage et inaugure le second, ce qui a amené des chercheurs à postuler que les deux documents n’en constituaient originellement qu’un seul3.

    L’épisode de l’Ascension dans Luc, après la description du cycle des diverses apparitions pascales du Ressuscité, conclut l’action terrestre de Jésus en même temps qu’il marque « l’apogée de [sa] seigneurie »3, son entrée dans la sphère céleste et le début de son absence. Cette conclusion est connotée de manière positive, Jésus bénissant ses disciples qui accueillent ce départ dans la joie. La séparation elle-même n’est pas du fait de Jésus qui est là l’objet d’une action de Dieu, comme en témoignent les verbes au passif utilisés dans les différents passages lucaniens4.

    Les Actes proposent l’épisode comme le début du « temps du témoignage »3 : les croyants sont désormais seuls mais « nantis d’une mission »4 dans l’attente du retour de Jésus. Ainsi, dans les récits lucaniens mettant en scène le Ressuscité, celui-ci n’opère pas de miracles - à la différence du passage johannique5 - qui sont plutôt le fait de témoins inspirés par le Nom de Jésus4.

    Il est possible que l’auteur de Luc et des Actes s’inspire d’une tradition populaire faisant un parallèle avec les assomptions respectives de Moïse, d’Hénoch ou d’Isaïe, ou encore avec d’autres récits édifiants mettant en scène l’élévation de personnages illustres de la mythologie gréco-romaine, comme Romulus, Hercule ou Médée, voire des apothéoses d’empereurs romains, dans une démarche et un récit qui tendent à historiciser le phénomène d’élévation de Jésus4.

    Marc 16, 19

    19 : Le Seigneur, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel, et il s’assit à la droite de Dieu.

    Luc 24, 50-53
    50: Il les conduisit jusque vers Béthanie, et, ayant levé les mains, il les bénit.

    51 : Pendant qu’il les bénissait, il se sépara d’eux, et fut enlevé au ciel.

    52 : Pour eux, après l’avoir adoré, ils retournèrent à Jérusalem avec une grande joie;

    53 : et ils étaient continuellement dans le temple, louant et bénissant Dieu.

    Actes des Apôtres 1, 8-11

    8 : Mais vous recevrez une puissance, le Saint Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre.

    9 : Après avoir dit cela, il fut élevé pendant qu’ils le regardaient, et une nuée le déroba à leurs yeux.

    10 : Et comme ils avaient les regards fixés vers le ciel pendant qu’il s’en allait, voici, deux hommes vêtus de blanc leur apparurent,

    11 : et dirent: Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l’avez vu allant au ciel.

    Théologie catholique

    Ce quarantième jour marque la fin de la présence physique de Jésus sur la Terre, après sa mort et sa résurrection. Mais Jésus n’abandonne pas pour autant les hommes : il leur envoie son Esprit Saint le jour de la Pentecôte, et intercède sans cesse en leur faveur auprès de Dieu le Père (He 9, 25).

    Dix jours après l’Ascension au ciel de Jésus, lors de la Pentecôte, les Apôtres se rendent compte qu’ils sont l’Église et partent prêcher l’Évangile.

    PiccMi.Com - La Rédaction

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    La BCEAO sur les traces de l'argent détourné par Gbagbo et ses proches

    La Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) est en train de faire la situation sur les montants exacts détournés des caisses de l’institution financière régionale pendant la crise ivoirienne. ‘’A l’issue de la réunion du Comité de politique monétaire, les autorités compétentes vont faire la situation et vous serez informés de ce que nous avons trouvé comme anomalies dans nos ressources’’, a dit le gouverneur par intérim de la BCEAO, Jean Baptiste Compaoré. Il était interrogé mercredi par la presse en marge de la réunion du Comité de politique monétaire sur la somme de 500 milliards de francs que l’ancien gouverneur de la BCEAO aurait détourné des caisses de la BCEAO. A l’heure actuelle, a-t-il signalé, l’institution financière est en train de ’’faire l’inventaire et il est trop tôt pour confirmer ou infirmer des montants avancés’’. ‘’La Côte d’Ivoire, a-t-il rappelé, est considérée comme le moteur de la sous région et si le pays se remet en marche cela donne les conditions favorables au redécollage de la politique monétaire’’. ‘’Ce n’est pas seulement ces conditions favorables de la Côte d’Ivoire, mais il faut que chaque pays joue son rôle. Et du côté de la Banque centrale, on travaille à ce qu’il y ait le moins d’inflation possible pour que les autres leviers puissent marcher’’, a-t-il ajouté. Jean Baptiste Compaoré finit son intérim à la tête de le Banque centrale avec la nomination du nouveau gouverneur de l’institution intervenue lundi dernier à Lomé lors de la session extraordinaire de la Conférence des Chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA).


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    Malgré les efforts répétés d'Abdoulaye Wade pour propulser son fils Karim au sommet de l'Etat, la presse d'opposition sénégalaise veille et refuse d'entendre parler de succession dynastique.

     

    Karim Wade et tonton Sarko
    On croyait Karim Wade lessivé par sa défaite cuisante à l’élection municipale de Dakar en mars 2009. C’était sans compter avec la volonté de son père, le président sénégalais Abdoulaye Wade, de le fixer au sommet de l’Etat, dès le mois de mai, à l’aide d’un portefeuille ministériel d’une ampleur démesurée: ministre d'État, ministre de la Coopération internationale, de l'Aménagement du territoire, des Transports aériens et des Infrastructures. À 43 ans, Karim Meïssa Wade s’est-il résigné à profiter de l’ombre du grand baobab paternel, à défaut de pouvoir planter lui-même ses racines à la présidence? La candidature annoncée d’Abdoulaye Wade, à 86 ans, à la présidentielle de 2012, semblait le suggérer… Mais la presse sénégalaise est vigilante. Elle scrute les signes les plus cabalistiques, les actes les plus manqués, les lapsus les plus révélateurs; tout ce qui pourrait être interprété comme une tentation renouvelée de succession dynastique. Et le choc des photos, là aussi, vaut souvent le poids des mots.

    Le geste qui fâche le Sénégal
    Ainsi, une saynète pleine d’enseignements s’est-elle déroulée dans la foulée du cliché officiel du G8 de Deauville. L’anecdote visuelle fait aujourd’hui les choux gras d’une presse d’opposition sénégalaise outrée. Ce jour-là, aussitôt libérés par le photographe chargé de la photo de famille des chefs d’Etat présents au sommet, les uns et les autres s’éparpillent. Mais des caméras filment toujours. Le maître des lieux, Nicolas Sarkozy, joue les groupies auprès de la «rock star» incontestée du moment: Barack Obama. Il invite son homologue américain à tailler une bavette avec Abdoulaye Wade. Au bout de quelques secondes, le président français fait signe d’approcher à une quatrième personne qui se situe hors du champ de la caméra. C’est le super-ministre sénégalais Karim, qui surgit au milieu du trio, échangeant une poignée de main avec le «leader du monde libre»… Que se sont dit les deux métis? Personne ne le sait. Et personne ne cherche à le savoir. C’est la manifeste cooptation qui fait débat. Pour le Sénégalais moyen, la scène n’est pas banale. La presse s’enflamme.


    Le journal L’Observateur affirme que le geste de Sarkozy a «froissé» le pays de la Teranga, l’hospitalité sénégalaise. On y voit un adoubement de Wade fils comme candidat de la France à la succession de son père… En des termes ampoulés, une lettre ouverte accuse le président français de «prendre part au projet inavoué d’Abdoulaye Wade de porter son fils Karim au pouvoir, dans des conditions quasi dynastiques, donc antirépublicaines». Si la réaction de l’opinion sénégalaise est fulgurante, c’est que la mise en orbite forcée de Karim Wade agace depuis longtemps. Depuis que le fiston était conseiller personnel de son père, puis président de l'Agence nationale de l'Organisation de la conférence islamique dont le onzième sommet s'est tenu à Dakar en mars 2008. Et si l’accusation de procès d’intention est vite balayée par la presse, c’est que le procédé dynastique a fait florès sur le continent africain…

    La tentation dynastique, une «tradition» africaine

    En 2001, à la mort du président congolais Laurent-Désiré Kabila, son fils Joseph prend le pouvoir. En février 2005, après 38 ans de règne sans partage du général togolais Gnassingbé Eyadéma, un de ses rejetons, Faure Gnassingbé, prend la relève. En septembre 2009, Ali Bongo succède à son père Omar qui meurt après un mandat de 42 ans à la tête du Gabon. En Guinée équatoriale, Teodoro Nguema Obiang Mangué, surnommé Teodorin, espère bien prendre la suite du président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. On prête le même dessein à José Filomeno de Sousa dos Santos, fils du président angolais. Inutile d’évoquer les successions monarchiques du Maroc ou du Swaziland… Au nord de l’Afrique, c’est la même tentation de transmission filiale du pouvoir qui est aujourd’hui mise à mal par les révolutions arabes. Gamal Moubarak ne remplacera pas son père en Egypte. Saif Al Islam Kadhafi, lui, voit s’amenuiser ses chances de succéder au guide de la Révolution de la Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste. «Nous ne sommes pas le Gabon», assène le peuple d’un Sénégal historiquement cité en exemple en matière de démocratie. Qu’est donc venu faire le président français dans cette galère aux relents de népotisme? Il est devenu friand, il est vrai, d’interventions en terres africaines. Par ailleurs, des Sénégalais taquins rappellent qu’il a été tenté, lui aussi, de propulser son fils Jean à la présidence du tout-puissant organisme public de développement qui gère le centre d’affaires de la Défense…


    Damien Glez
    Jeudi 2 Juin 2011 - 13:08

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  • Voici son frère, Samson Obama. Il est le demi-frère de l'actuel président américain et tient un magasin de vente de téléphones portables.


    Photo : Obama et son jeune frère Simpson

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  • Vers une coalition entre Landing Savané et Macky Sall ?
    Lu sur nettali : La rencontre entre le secrétaire général de Aj/ Pads et le président de l’Apr, Macky Sall, sonne-t-elle le début d’une révolte contre Wade ou le début d’une union en dehors de Bennoo Siggil Senegaal (BSS) ? Ce que l’on peut en tout cas retenir du point de presse organisé à l’issue de leur conclave, Landing Savané a lancé à qui veut l’entendre, qu’ils vont régler des comptes politiques. Après leur refus de signer la résolution issue du séminaire de Bennoo siggil Senegaal, organisé samedi dernier, le président de l’Alliance pour la République (APR) et le secrétaire général de And jëf/ Parti africain pour le développement et le socialisme (Aj/Pads ) se sont rencontrés ce mercredi 1er juin pour sceller leur unité. Tout affirmant leur ancrage à la coalition Bss, Macky Sall et Landing Savané ont mis en place une commission paritaire parce qu’argue le secrétaire général de Aj, " dans une coalition, ceux qui se sentent proches, se concertent. Cela concourt à un meilleur fonctionnement de la coalition". Cette proximité entre Macky Sall et Landing Savané est loin d’être fortuite, si l’on sait que tous les deux se sont retrouvés dans l’opposition à cause du secrétaire général national du parti au pouvoir, le Parti démocratique sénégalais (PDS). Une question logique à se poser est de savoir si M. Sall et Savané sont unis pour être beaucoup plus efficaces au sein de Bss ou s’ils s’unissent pour mieux affronter Wade qui les a envoyés dans l’opposition ? Une autre est de se demander s’ils vont rester au sein de BSS. En tout cas, les propos du secrétaire général de Aj tenus, lors du point de presse, traduisent l’esprit de cette unité. En effet, appréciant leur unité, Landing Savané a déclaré : « Wade ne dormira pas ce soir. Il connaît bien Macky Sall et il me connaît aussi. Il sait que quand nous rencontrons, ce n’est pas pour prendre un pot mais pour régler des comptes politiques » Pour rappel, Macky Sall, après avoir été Premier-ministrede Me Wade, suite au limogeage d’Idrissa Seck en 2004, s’est retrouvé directeur de campagne du Chef de l’Etat en 2007. Après les élections législatives, il devient président de l’Assemblée nationale. Un poste dont il a été débarqué après qu’il ait émis l’idée de convoquer le fils du président Wade au parlement pour une séance d’explications sur la gestion de l’Agence nationale de l’Organisation de la Conférence islamique (ANOCI). Il démissionnera finalement de l’Assemblée nationale mais également du Parti démocratique sénégalais (PDS)- parti au pouvoir et se retrouvera dans l’opposition avec son parti, dénommé Alliance pour la République (APR). Quant à Landing Savané qui n’est pas membre du Pds, mais qui a soutenu à partir de 2007 Me Wade, il avait eu à démissionner du gouvernement, avant d’être reconduit par Wade lui-même qui, par la suite, le limogé tout au début de la crise qui a divisé Aj en deux parties. Un Aj que dirige Landing Savané et un autre dirigé par Mamadou Diop Decroix. Ce partisan de toujours de Landing Savané que le ministère de l’Intérieur a autorisé à tenir son congrès au stadium Marius Ndiaye, tandis que Landing Savané tenait le sien à la maison du Parti socialiste. Retourné dans l’opposition à Wade, il est depuis lors membre de Bennoo. Aïcha Touré
    Jeudi 2 Juin 2011 - 15:30

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    Seneweb NewsLetter

     Les enfants du quartier de Wakhina Nimzatt ont découvert ce mercredi 1 juin le corps sans vie d’une fille non identifié dans le bassin de rétention des eaux de pluie du même quartier. Selon la Rfm, la victime, puisqu’il s’agit d’une jeune fille est âgée approximativement entre 13 ans et 15 ans. Elle est de teint claire et ne porte aucune blessure visible.

    La même source d’informer que «les sapeurs-pompiers, qui sont venus sur les lieux plus d’une heure de temps après la découverte macabre, ont évacue la dépouille à Dakar pour les besoin de l’autopsie».


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  • Idrissa Seck dément tout contact avec Wade et attaque le président de la République : "Sa présence à la tête du Sénégal est une devenue une calamité"

     
     
    Idrissa Seck dément tout contact avec Wade et attaque le président de la République : "Sa présence à la tête du Sénégal est une devenue une calamité"

     

    Suite aux informations publiées dans la presse faisant état de rencontres entre Wade et Idrissa Seck. Je vous envoie ci-dessous le démenti formel de Monsieur Idrissa Seck

     

    « Je démens formellement tout contact direct ou indirect avec Wade. Sa présence à la tête du Sénégal est devenue une calamité et un danger pour les populations comme l’illustre l’assassinat de Malick Ba à Sangalkam. Je travaille exclusivement


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    « J’indique au sous préfet qu’il est une autorité administrative et qu’on ne l’as pas mise ici pour les intérêts d’un quelconque parti politique il est ici pour sauvegarder les intérêts des populations. Je voudrais qu’il sache qu’on l’a à l’œil car on sait que bientôt ce sera terminé pour lui, pour son ministre et pour le président de la république » a déclaré à Mame Bounama Sall le secrétagénéral de l’union départemental du Parti Socialiste à Tivaouane, par ailleurs responsable socialiste de Niakhène l’endroit du Sous préfet de ladite localité.

     

    Ce dernier, d’après le socialiste, a  interdit la tenue de la manifestation de jeunes du Pds qui ont démissionné de ce parti pour déposer leur baluchon au sein du parti socialiste. Mame Bounama Sall qui répondait à une invitation de ces derniers,  déclare que l’autorité locale n’en est pas à sa première fois « lors des élections locales passées on m’avait indiqué qu’il avait choisi pour présider un bureau de vote un des reponsables du parti démocratique sénégalais, quand je lui en ai parlé il m’a fait savoir qu’il n’était pas au courant ». Ainsi poursuit-il « de tous les actes qu’il pose, ce sous préfet est partisan ».

     

    Concernant le découpage administratif de certaines localités du pays le socialiste en chef du département de Tivaouane a abordé dans le même sens que ses autres  camarades de l’opposition. Mame Bounama Sall a affirmé  que  l’unique objectif  de ces découpages est  de confisquer la volonté populaire des populations qui avaient tourné le dos à l’actuel régime en 2009 lors des législatives. D’ailleurs d’après celui-ci « toutes les collectivités locales  ciblés dans ce découpage sont dirigées en général par des parti de l’opposition. Ces partis n’étant pas favorables au pouvoir, le chef de l’Etat essaie  de prendre  par la main gauche ce qu’il avait perdu à l’issu des élections locales ». D’après Mame Bounama Sall les découpages se faisaient généralement la veille des élections locales. Mais dira t-il « les élections locales se sont déroulés en 2009 alors c’est inadmissible que des découpages soient effectués  à peu prés 2 ans après ».

     

    D’après lui, les populations sont les premiers concernés par  cette décision étatique, par conséquent ils devraient, de son avis,  démontrer leur veto. Et pour leur part, Mame Bounama Sall dira que  « Le parti socialiste dans le cadre de la coalition benno siguil Sénégal est entrain d’étudier un plan d’action pour combattre cette forfaiture que le pourvoir en entrain de commettre avec la mise en place de ces découpages ».

     

    DIOKINA DIA


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  • S’il y’a une région au Sénégal qui semble être coupé du reste du Sénégal, c’est Kédougou. Routes dégradées, sa position isolée au reste même des autres régions du pays à cela s’ajoute une grave reprise des délestages dans cette partie Est du Sénégal.

     

    Par la rédaction De leral.net


    COUPEE DU RESTE DU PAYS AVEC UNE CHALEUR ACCABLANTE: Kédougou souffre des délestages graves depuis janvier
     
    En effet, malgré la forte canicule qui prévaut dans cette partie Est du Sénégal, les coupures intempestives d’électricité continuent de hanter le sommeil des populations de la région de Kédougou. Des coupures qui ont pourtant repris il y a cinq mois et qui durent douze à quinze tours d’horloges, dérangent aujourd’hui la joie de vivre des populations de Kédougou et favorisent ainsi l’insécurité dans cette zone.

    Face donc à cette situation, ces derniers demandent à l’état de leur venir en aide afin de sauver l’économie de cette nouvelle région qui a besoin de soutien pour décoller comme les autres mais malheureusement souffre aujourd’hui de son enclavement.

    Oscar Guèye

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  • -C’était pour une rencontre destinée à expliquer aux émigrés la décision prise par le régime de Wade de confier la gestion des appels entrants au Sénégal à Global Voice ,que le consul général de Paris a convié ses compatriotes a un face-à-face avec Pape Diop, le Président du Sénat. Mais la rencontre a été un vrai cauchemar pour la deuxième personnalité de l’Etat : une foule de mécontents a rendu son discours inaudibl

     

    Pape Diop, n’oubliera  jamais  sa mésaventure  à Paris.
     
    Accompagné par une forte délégation constituée du ministre Moustapha Guirrassy, de Serigne Mbacké Ndiaye, d’Alioune Diop entre autres, que la deuxième de personnalité de l’Etat s’est présentée à la rue Hamelin dans la capitale française. Entré en triomphe dans la salle où il est accueilli par la clameur des courtisans, les ardeurs de Pape Diop vont très vite être refroidies. Fusant un peut partout, des voix antagonistes ont commencées à se faire entendre « assassin !assassin ! Assassin ! ». Ainsi Pape Diop paye les frais du drame de Sangalkam. Le malheur n’arrive jamais seul.

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  • Des leaders de l’Opposition qui ont assiégé à l’inopiné le ministère de l’Intérieur, Macky Sall aura été le plus impressionnant. Le leader de l’Apr à qui un auxiliaire de Police s’est adressé pour lui signifier de déguerpir a tenu à dire à ce sbire d’Ousmane Ngom de quel bois il se chauffe et de quelle eau il s’éteint.

    Macky Sall rappelle son passé de Premier ministre à un auxiliaire de Police

     

     

    A l’élève policier qui avait reçu comme ordre de chasser les leaders de Benno Siggil Sénégal, Macky Sall de lui rafraichir la mémoire : « Vous ne savez pas que vous parlez à un ancien Premier ministre ? » Suffisant pour que le jeune limier s’affole opère un repli stratégique pour informer ses supérieurs.

    C’est ainsi que Codé Mbengue, directeur général de la Police est descendu en personne pour faire comprendre aux leaders de Benno qu’ils ne pouvaient pas tenir leur sit-in devant les locaux du ministère de l’Intérieur.

    Mais Macky Sall et ses compagnons de Bennoo ont réussi à faire passer leur message fustigeant le meurtre du jeune Malick Bâ par la Gendarmerie. Un meurtre qui fait suite au soulèvement des populations de Sangalkam contre le découpage de leur localité qui est mise sous délégation spéciale conduite par le sociologue Aly Khoudia Diaw.


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  • C’est l’information livrée par le quotidien Kotch paru ce mercredi et lu par Leral.net. À en croire ledit quotidien, le litige foncier opposant Wade aux populations de Bambilor trouve son origine dans la ruse du président à vouloir se payer leur tête.

    Spéculation foncière à Bambilor : Wade achète des terres à 350 francs le m2 qu’il revend à 1000 francs Cfa

     

     

    Pourtant, il leur avait fait miroiter le rêve d’avoir leur part du gâteau dans l’acquisition des terres qui appartenaient à un général français du nom de Bertin. Un domaine foncier de 2514 hectares, d’après Kotch, que Wade a acquis légalement moyennant 350 francs le mètre carré. Mais il revend les 350 hectares à un député et entrepreneur qui est son ami à raison de 1000 francs Cfa le mètre carré.

    Ce dernier en fait bénéficier à une société d’Etat, notamment la Caisse de sécurité sociale et à la Coopérative militaire de construction (Comico) à 7000 francs le mètre carré. Soit sept fois le prix auquel il l’avait acquis. Oubliés dans le partage, les populations tapent sur la table. C’est ainsi que les militaires ont dépêché sur les lieux leurs bulldozers afin d’intimider les Bambilorois qui ne bougent d’un iota.

    Toujours selon Kotch, c’est à cet effet que la Comico a jugé nécessaire d’octroyer 64 parcelles au collectif des habitants de Bambilor qui crache sur cette proposition


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  • Wade ne sait plus où mettre les pieds. Tous les moyens sont bon pour faire revenir Idrissa Seck a ses cotés. Ce dernier qui a reçu un coup de fil de Wade, l’insulte avant de lui raccrocher au nez nous renseigne notre source en provenance directe du palais présidentie

    LUTTE SENEGAL SUNU LAMB.

    On peut dire maintenant qu’entre Ngor ci et Goor Gui la page est tournée car Idrissa Seck ne veut plus entendre parler de Wade. D’ailleurs le dernièr cité tente de faire revenir son ancien Premier ministre dans le parti mais d’après Idy à dit niet a son ancien père adoptif.

    Mieux notre source révèle même que Wade a été insulté avant d’être raccroché au nez par Idy qui lui dira « entre toi et moi c’est fini, je ne veux plus de rendez-vous en catimini avec toi. Je comprends bien ton jeux qui consiste à me mettre encore en mal avec les Sénégalais comme tu l’as fait en 2007, laisse-moi en paix » martèle Idy.

    Selon toujours les échos du palais Wade compte saisir le Khalife Général des mourides ainsi que celui des Tidianes pour une médiation entre Idy et lui.

    Moussfa


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  • Rama Yade est mariée à Joseph Zimet, un français d'origine juive. Zimet est historien. Un couple d'intellos.


    Photos : Voici Rama Yade avec son mari, Joseph Zimet
     

     

    Photos : Voici Rama Yade avec son mari, Joseph Zimet
     

     

    Mardi 31 Mai 2011 - 12:04

     


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  • Un sénégalais condamné à deux mois de prison ferme pour usage de faux papiers en France
    Jugé en comparution immédiate, hier, Babacar, avait à répondre d'usage de faux documents administratifs et de séjour irrégulier sur le territoire français.
    C'est vendredi, que ce ressortissant sénégalais de 26 ans a été interpellé en mairie de Carcassonne, alors qu'il venait récupérer une carte d'identité, dont il avait fait la demande sous un faux nom, avec de faux documents administratifs tels que des factures EDF. Une enquête plus approfondie des services de police a alors permis de savoir que Babacar était arrivé dans la région parisienne en octobre 2006, sous le statut d'étudiant étranger. Un statut qui lui permettait alors de séjourner temporairement en France, à moins de faire une demande ultérieure pour un titre de séjour."C'est une erreur. Je n'étais pas conscient de la peine encourue en faisant ça !", a expliqué le prévenu au tribunal. "Mais qu'est-ce qui vous a motivé ?", s'est interrogée la présidente Caroline Duchac. "Je ne voulais pas m'enfermer chez moi après le travail. Je voulais être libre. C'est comme ça qu'on m'a présenté un mec sur Paris, qui m'a proposé de faux papiers pour 3 000 euros. Il m'a fourni tous les documents et m'a demandé de me rendre à Carcassonne pour récupérer ma carte d'identité."
    Il faut dire qu'après une licence en économie, Babacar avait arrêté ses études, après avoir décroché un CDI pour un emploi de préparateur de commandes dans une grande surface.
    Après avoir évoqué l'existence des réseaux de faux papiers sur Paris, la vice-procureur, Brigitte Etchegoinberry, a requis 6 mois d'emprisonnement et une interdiction de séjourner en France durant trois ans. Plus clément, le tribunal a condamné Babacar à deux mois de prison. Son maintien en détention a été prononcé.

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  • C'est le petit voyou de la République
    COMMENTAIRE. Une véritable clameur s'est levée autour de Aliou Sow, qui est devenu depuis lundi 30 mai, le criminel en chef. Par sa simple faute et par une décision très impopulaire, il a été le principal responsable d'un acte barbare et sans fondement régalien. Depuis, hier, le jeune homme fidèle à sa réputation est en train de tout faire pour "parler de légitime défense". Ce garnement sans moral veut faire accréditer la "thèse de manifestants armées". Mais personne, je dis personne au sommet de l'Etat, ne croit à de tels mensonges. Il a été le principal instigateur de cette violence. Au lieu de demander pardon et de regretter ce qui vient de se passer, il persiste dans la mauvaise voie. C'est un criminel de sang. D'apprenti sorcier, il essaie maintenant de jouer au petit voyou. Mais, il oublie que tout bandit a une fin de parcours...

    Par El Malick SECK

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    Seneweb NewsLetter
    source: Seneweb.com

    Le chef de cabinet du président de la République, Pape Samba Mboup, déclare qu’il ne possède ni terrain, ni propriété aux Almadies. Il réagit aux propos d’Amath Dansokho, selon qui « Wade a donné une parcelle à sa fille, une autre à son fils, une autre à sa femme, une parcelle à lui-même, une parcelle prétendument au roi du Maroc, une parcelle à Pape Samba Mboup et une parcelle à Kader Sow ». 

     

     

    Réagissant à ces propos, M. Mboup déclare : « Je respecte beaucoup Dansokho. Même si je subis des pressions pour le traîner en justice, je ne le ferai pas en raison du compagnonnage qu’on a eu ensemble. Mais je voulais le démentir formellement, car ce qu’il a affirmé est faux. Moi, en tout cas, je n’ai aucun terrain aux Almadies. Je ne suis pas dans les affaires foncières. Ma maison, c’est là où j’habite. Je n’ai ni terrain, ni propriété aux Almadies. Je demande seulement à Dansokho de vérifier ses sources la prochaine fois, avant de faire certaines déclarations. Voila. »


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    Seneweb NewsLetter
    source: Wal Fadjri

     

    Après avoir envoyé sur le terrain une délégation dès la survenue des événements, la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’Homme (Raddho), d’Amnesty International/Sénégal (Ai/Sénégal) et de la Ligue sénégalaise des droits de l’Homme (Lsdh) sont convaincus que c’est le commandant de la brigade de gendarmerie de Sangalkam qui a froidement abattu Malick Bâ.

     

    ‘Malick Bâ vient allonger la liste macabre des meurtres des forces de sécurité, froidement abattu par le Commandant de la Brigade de gendarmerie de Sangalkam’. L’accusation de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’Homme (Rddho), d’Amnesty International/Sénégal (Ai/Sénégal) et de la Ligue sénégalaise des droits de l’Homme (Lsdh) et elle est contenue dans un communiqué commun. Ces organisations ont envoyé immédiatement une équipe à Sangalkam dès qu’elles ont été alertées. Et, poursuit le communiqué commun, ‘la délégation a rencontré le commandant adjoint le Major Matar Kane, le président du Conseil rural de Sangalkam Omar Guèye, la famille de la victime et plusieurs personnes présentes sur les lieux’. Et des informations recueillies sur place, il ressort que ‘le jeune maçon de 30 ans, père de famille de trois enfants dont des jumeaux âgés de 4 ans, qui vient d’allonger la série macabre des meurtres impunis des forces de sécurité’ a été ‘froidement abattu par le Commandant de la Brigade de la gendarmerie’. ‘Le processus électoral de 2012 vient ainsi d’enregistrer son premier mort à Sangalkam’, se désolent les Ong.

     

    Indépendamment de la mort du jeune Malick Bâ, on compte, d’après leur communiqué, ‘deux personnes grièvement blessées et évacuées à l’hôpital Youssou M’Bargane Diop de Rufisque ; plusieurs blessés, évacués au poste de santé de Sangalkam ; trois personnes arrêtées, dont Mamadou Diop, secrétaire particulier de président du Conseil rural de Sangalkam, et Ablaye Dramé, ouvrier agricole’.

    La Rencontre africaine pour la défense des droits de l’Homme, Amnesty International/Sénégal et la Ligue sénégalaise des droits de l’Homme ‘expriment leur profonde préoccupation face à la récurrence des meurtres commis par les forces de sécurité et qui demeurent impunis ; expriment également leur forte indignation face à la tragédie de Sangalkam qui vient de frapper encore une fois les gens d’en bas et les gens sans voix ; condamnent sans appel l’usage de balles réelles par les forces de sécurité pour réprimer les manifestations ; exigent l’ouverture immédiate d’une enquête judiciaire pour faire toute la lumière et qui doit aboutir forcément à l’arrestation et au jugement des coupables ; invitent solennellement le président de l’Assemblée nationale à créer une Commission d’enquête parlementaire sur la torture et la récurrence des meurtres impunis commis par les forces de sécurité ; demandent de rapporter tous les décrets sur la délégation spéciale pour éviter des tensions politiques inutiles et


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  • À l’origine, le charcutage de la déclaration finale

    Le refus de Landing Savané et Macky Sall d’apposer leur signature sur la déclaration finale de Benno Siggil Senegaal (Bss), lors du Séminaire de samedi dernier n’est que la partie visible de l’iceberg. Selon des sources concordantes, un principe essentiel de ladite déclaration a bizarrement sauté du texte final soumis avant-hier aux participants de la rencontre. Or ce principe, pourtant contenu dans le document initialement avalisé par la Conférence des leaders, veut que le futur Président de transition encore moins son parti, ne puissent être candidats à la présidentielle qui suivra celle de 2012, en cas de chute du régime libéral. Or, si cela n’est pas corrigé, il n’y a aucune chance qu’Amath Dansokho et Cie réussissent à vaincre leur signe indien qui est l’épineuse équation du candidat unique de Bss.

     On ne sait pas pourquoi ni comment, mais le point le plus important a été élagué de la déclaration finale de Benno Siggil Senegaal signée avant-hier par les camarades d’Amath Dansokho, à l’exception bien sûr de Macky Sall et Landing Savané. En effet, selon des sources concordantes, le principe essentiel qui veut que le futur candidat unique de l’opposition, une fois élu président de la République au soir du 26 Février 2012 pour assurer la transition, ne puisse jamais être candidat à sa propre succession, ne figure pas dans ladite déclaration. Lequel principe exige également qu’en cas de chute du régime libéral, le Parti du président de transition ne pourra guère prétendre à présider aux destinées du pays, à l’élection qui sera organisée après celle de 2012. 

    Si ce manquement n’est pas corrigé dans la déclaration finale rendue publique avant-hier, rien ne garantit que le président de transition renoncera à être candidat à sa propre succession, une fois son mandat bouclé. Tout comme rien ne s’opposerait, après ladite transition, à ce que la famille politique du président de transition cherche à briguer les suffrages des Sénégalais. Ce qui ouvrirait la porte à toutes sortes de dérives. Car l’appétit venant en mangeant, le futur président de transition pourrait être tenté de s’accrocher au Pouvoir et ne pas respecter son serment.

    Pourtant, ce point crucial figurait dans le document initial validé en Conférence des leaders

    S’agit-il d’une omission ou d’une suppression à dessein ? A-t-on biffé ce point fondamental à la dernière minute, si l’on sait qu’il était contenu dans le document initial sur lequel avait travaillé Benno avant le Séminaire du 28 mai ? Mystère et boule de gomme. En tout cas, ce qui est sûr, c’est que ce point essentiel est l’une des conditions sans lesquelles les leaders de Benno auront du mal à s’accorder autour d’un candidat unique. 

    Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, certains participants au Séminaire avaient, selon toujours nos mêmes sources, attiré l’attention de leurs camarades sur l’absence de ce point fondamental. Mais, dit-on, on ne sait par quelle alchimie, cela n’a pas été discuté. Même si les débats ont été plutôt orientés vers l’Alliance pour la République et And-Jëf/Pads. Qui, lors de la rencontre de samedi dernier, avaient refusé de signer la déclaration finale.

    À en croire nos interlocuteurs, si ce principe a sauté de la déclaration finale, c’est parce que certains leaders ne sont pas, jusqu’à ce jour, tombés d’accord sur le fait que le Président de transition et son parti ne puissent pas être candidats à la présidentielle qui suivra le scrutin de 2012. Autant dire que Benno est loin de voir le bout du tunnel, dans sa quête effrénée d’un candidat unique.

    Daouda THIAM


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  • La Ligue sénégalaise des droits humains exige une enquête, Amnesty accuse Wade

    Trop, c’est trop ! Après la mort du jeune Malick Bâ qui a reçu, selon des témoins, une balle réelle qui ne lui a laissé aucune chance de survie, les Associations de droits de l’homme se sont levées pour exprimer leur indignation. Si du côté de la Ligue sénégalaise des droits de l’homme, il faut situer les responsabilités et sanctionner, pour le représentant de la Section sénégalaise d’Amnesty international, il ne faut pas chercher loin, le seul responsable, c’est Wade.

     « Jamais, je ne marcherai sur des cadavres pour accéder au Palais présidentiel », avait dit Wade, lors des joutes électorales de 1998. Des années plus tard, alors qu’il est à la tête du pays, des pertes en vies humaines sont enregistrées, suite à des manifestations de citoyens qui se retrouvent matés par les forces de l’ordre. Hier encore, Malick Bâ a perdu la vie, « tué », selon certains témoins par une balle réelle tirée par les forces de l’ordre. Son seul tort, c’est d’avoir participé à la manifestation des habitants de Sangalkam contre la mise en place de la délégation spéciale, une idée de Wade qui a voulu le découpage de la Communauté rurale de cette localité. 

    Coordonnateur de la Ligue sénégalaise des droits humains (Lsdh), Me Assane Dioma Ndiaye condamne cet acte et exprime son « exaspération » devant ce qui paraît, à son avis, « surprenant ». Car, selon le défenseur des droits de l’homme, il n’est pas fréquent que les forces de l’ordre usent de balles réelles dans leurs interventions. « On ne pouvait imaginer qu’au Sénégal, on pouvait franchir le cap », dit-il. Avant de poursuivre : « c’est un sentiment d’indignation, d’exaspération et de stupéfaction. On n’avait jamais pensé qu’au Sénégal, avec tous les combats qu’on a menés, on arriverait à des situations où des forces de l’ordre pouvaient utiliser des balles réelles contre une population désarmée ». 

    La Lsdh prévoit un vaste rassemblement avec la Raddho et Amnesty 

    Toutefois, Me Assane Dioma Ndiaye et ses camarades comptent hausser le ton. D’abord, ils exigent une enquête indépendante et impartiale pour l’élucidation de la mort du jeune Malick Bâ. Il faut nécessairement, de l’avis du coordonnateur de la Lsdh, que « les responsabilités soient situées et que la justice fasse rapidement son travail ». Le défenseur des droits de l’homme de prévenir : « nous n’excluons pas de porter le combat au niveau international, des droits de l’homme des Nations unies pour l’usage disproportionné et non conventionnel des armes par les forces de l’ordre ». 

    Ensuite, dit-il : « la Ligue sénégalaise des droits humains, main dans la main, avec Amnesty international et la Raddho, va tenir, dans les plus brefs délais, une conférence de presse. Mais ceci n’est qu’un préalable, car la prochaine étape est la grande marche contre les « dérives des forces de l’ordre et surtout l’impunité qui est érigée en méthode de gestion », fustige le coordonnateur de la Lsdh. Tous les hommes épris de liberté et de justice seront d’ailleurs invités à cette marche. 

    Amnesty accuse, la Gendarmerie se défend

    Aux côtés de leurs camarades de la Lsdh, la Section sénégalaise d’Amnesty international a condamné vivement ce qu’elle appelle le « meurtre par les gendarmes » du jeune Malick Bâ. N’y allant pas par quatre chemins, Seydi Camara accuse directement Wade. « Wade doit en porter l’entière responsabilité », indique-t-il. L’accusation portée contre Wade n’est pas fortuite, car, de l’avis du représentant d’Amnesty au Sénégal, c’est Wade qui a décidé le découpage de la Communauté rurale de Sangalkam. Afin d’y placer une délégation spéciale contre la volonté des administrés, et c’est encore Wade qui a voulu empêcher la manifestation, en y envoyant les gendarmes pour les réprimer. 

    Toutefois, de son côté, la Gendarmerie tente sinon de dégager sa responsabilité, du moins de l’atténuer. Dans un communiqué lu sur les ondes de la Rts, le chargé de communication de la Gendarmerie soutient que, c’est face à des attaques de plus violentes de la population et à cause de leur petit nombre que les éléments en place, qui n’avaient pas encore le soutien des renforts, ont tiré sur la foule pour la disperser, mais aussi pour sauver leur vie.

    Alassane DRAME


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