• Moussa Sow : "Je vais être attendu..."
     
    Sacré meilleur buteur de la Ligue 1 avec 25 réalisations, Le Lillois Moussa Sow attend avec impatience la saison prochaine. "Il est sûr qu’après tous les buts que j’ai marqués je vais être attendu, avance l’international sénégalais dans les colonnes de France Football. Mais je serai prêt. Je ne vais pas me prendre la tête avec ça. Des buts, je sais que j’en marquerai. A moi des rester concentré et de travailler encore plus dur que cette saison pour continuer à être efficace. Je vais tout faire pour m’améliorer. J’ai encore beaucoup de choses à travailler : dos au but, d’abord. Dans le placement, ensuite. Dans la finition, enfin."

    source Afrik.com via Dakarfoot.com

     


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  • Gérant du café où Nafissatou Diallo travaillait avant d'être engagée au Sofitel où DSK l'aurait agressée, son confident décrit une femme libre et discrète.

    (Plus d'informations demain sur leral .net)

     

    Blake Diallo: «Je ne peux pas croire qu'elle ait été manipulée»
     
    Alors que les proches de la famille de Nafissatou Diallo et la communauté guinéenne du Bronx ne cachent pas se poser des questions sur l’affaire DSK, un homme, à Harlem, a pris depuis le début de l’affaire la défense de la jeune femme.

    «Ces gens sont méchants et disent n’importe quoi sur ce qu’ils ne connaissent pas», affirme d’entrée de jeu le Sénégalais Blake Diallo, gérant du Café 2115 sur l’avenue Frederik Douglass, à deux ou trois blocs de Central Park. Cet homme trapu de 47 ans, d’un abord chaleureux, vêtu de jeans et d’une chemise à carreaux, a reçu le premier un coup de fil de Nafissatou Diallo, samedi 13 mai 2011, quelques heures seulement après les faits. Il serait la seule personne en qui elle ait véritablement confiance, selon plusieurs sources proches du dossier. Blake Diallo a tout de suite sollicité Jeffrey Shapiro, un avocat de renom, en faisant une recherche rapide sur Google.

    «Nafissatou va bien, dit-il aujourd’hui, mais elle n’a pas l’habitude de ce genre de vie».

    Sa fille de 15 ans, qui ne loge pas chez la famille mais chez des amis, rend régulièrement visite à sa mère.

    Le confident de Nafissatou

    Le gérant du Café 2115, une bonne nature, toujours prêt à plaisanter avec clients et serveuses, serait le plus régulièrement en contact avec la jeune femme. En lien permanent avec des officiers de liaison de la police new-yorkaise, il leur fait passer des affaires pour Nafissatou: nous avons pu observer l’un de ces officiers, une jeune femme blanche en lunettes de soleil et tenue décontractée, venue prendre à Harlem le nouveau téléphone portable que la jeune femme a demandé, pour avoir un nouveau numéro.

    «Aucun Guinéen n’est venu me voir pour me remercier de ce que j’ai fait pour elle», précise Blake Diallo, tout en faisant remarquer que dans la communauté sénégalaise de New York, un principe de solidarité autrement plus fort est à l’œuvre.

    «Que la personne ait tort ou raison, si c’est un compatriote qui se trouve dans des problèmes, toute la communauté sera derrière lui», assure-t-il.

    Ce quadragénaire a été soumis à une intense pression médiatique au cours des deux semaines qui ont suivi les faits. Une foule de journalistes s’est retrouvée dans le Café 2115, donnant une interprétation aussi hâtive qu’erronée du terme «frère», qu’il a d’abord eu le malheur d’utiliser, pour définir sa relation avec la jeune femme. Il fallait entendre ce terme au sens africain: «un frère» ou «une sœur» marque un lien d’amitié.

    Blake Diallo, parfois décrit comme le petit ami de Nafissatou Diallo, refuse de donner des détails sur sa relation avec la jeune femme. Manifestement, il lui voue un grand respect et ne se fait pas prier pour affirmer, comme tous ceux qui la connaissent, qu’elle est «très belle». Le confident porte le même nom que la jeune femme mais n’est pas de sa famille: c’est un Peul né à Thiès et qui a grandi à Ziguinchor, au sud du Sénégal.

    Ecœuré par certaines déclarations à son sujet, Blake Diallo a décidé de porter plainte contre tous ceux qui l’ont diffamé ces dernières semaines, à commencer par Sano Dossou Condé, la représentante des femmes du Rassemblement du peuple de Guinée (RPG), le parti au pouvoir au pays, mais aussi Souleymane Jules Diop, un journaliste sénégalais basé à Montréal qui l’a traité d’imposteur dans l’un de ses articles.

    «Dans la communauté, Blake Diallo représente ce qu’on appelle un thiof», explique un producteur sénégalais. Un thiof, en wolof, désigne le gros poisson qui sert à cuisiner le plat national, le tiep bou diene. Et, par extension, tous les hommes susceptibles de représenter de bons partis parce qu’ils n’ont pas de problèmes d’argent. Blake Diallo a-t-il été marginalisé par la sœur et le frère de Nafissatou, comme le suggère le changement récent d’avocats déployés en première ligne pour assurer la défense?

    Une femme libre et «illettrée»

    L’intéressé n’aide pas beaucoup à lever un pan de voile sur celle que la presse française décrit désormais comme un «mystère». Il ne livre guère de détails, mais insiste sur le côté discret de sa personnalité.

    «Cette femme est un vrai courant d’air, dit-il. Personne ne se souvient d’elle au Café 2115. Pourtant, elle venait souvent après son travail. Elle passait prendre son plat avant de rentrer chez elle.»

    Blake Diallo est formel: Nafissatou ne savait pas qui était son agresseur, DSK.

    «Je ne peux pas croire qu’elle ait été manipulée, assure-t-il. Une femme africaine illettrée, qui n’a pas fréquenté l’école, il y a des choses qu’on ne peut pas lui demander de faire. DSK, lui, n’en est pas à ses premières frasques. Même dans l’avion d’Air France, il a dit à l’hôtesse qu’elle avait un beau cul! Je l’ai lu!»

    A en croire Blake Diallo, Nafissatou ne «connaît rien». Quand elle regarde la télévision, c’est pour suivre des feuilletons africains, made in Nigeria.

    Selon Amadou Ba, 33 ans, correspondant à New York du journal sénégalais L’As Quotidien, et qui connaît personnellement Nafissatou Diallo, «c’est une femme assez grande, d’un mètre quatre-vingt, élancée mais pas chétive, très discrète, pas mondaine». Amadou Ba a fréquenté le restaurant gambien du Bronx où la jeune femme travaillait en 2008 avant d’être engagée au Sofitel.

    Dans un article sur la victime présumée, le journaliste raconte avoir échangé avec elle en pulaar, la langue de l’ethnie peule, quelques plaisanteries sur leurs noms respectifs. En tant que Diallo, elle pouvait se permettre de le traiter «d’esclave», comme c’est l’usage dans la tradition de la «parenté à plaisanterie».

    Rien de bien méchant, donc. Pas de quoi en faire la catin que l’on décrit parfois, en Afrique comme en France. Le patron de ce minuscule restaurant où elle travaillait, un Gambien dénommé Diaby et appartenant à l’ethnie soninké, se souvient non sans réticences d’une «fille correcte, travailleuse, qui n’a jamais créé de problèmes ici et ne s’est disputé avec personne». Il ajoute:

    «Vous les journalistes, vous gagnez beaucoup d’argent. Pourquoi vous ne me prenez pas un plat à 35 dollars avant de me poser des questions?»

    Dans cette gargote africaine, on sert du couscous et du riz au poisson à des prix modiques, qui ne dépassent pas les 7 dollars (4,8 euros) la grosse assiette.

    C’est dans cet espace réduit, trente mètres carrés tout au plus, que Nafissatou Diallo exerçait, comme beaucoup d’immigrés africains à New York, un second travail le soir, en plus de son activité de jour dans une herboristerie. Ici elle servait en tenue africaine, pagne et foulard de tête.

    Amadou Ba se souvient d’une personnalité assez libre —à l’échelle de la communauté peule, très traditionnelle— qui sortait à l’époque avec un Malien. Un homme, là encore, qui ne faisait pas partie de sa communauté. Comme beaucoup de femmes peules, mariées très jeunes et souvent excisées, Nafissatou Diallo s’est émancipée à la faveur de son expatriation. A New York, elle a mené sa barque de manière indépendante, jusqu’aux évènements du 13 mai, sur lesquels la lumière reste à faire.

    Sabine Cessou, à New York slate afrique

     


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  • L'ancien ministre sénégalais des Affaires étrangères, Cheikh Tidiane Gadio, 54 ans, a annoncé ce samedi 11 juin sa candidature à l'élection présidentielle de février 2012 dans son pays. Cet ancien proche du chef de l'Etat sénégalais est un ancien professeur de journalisme, diplômé de la Sorbonne; il est également titulaire d'un doctorat en communication de l'université de l'Ohio

    2012 : Gadio candidat

    Alors que l'actuel chef de l'Etat, Abdoulaye Wade, 85 ans, a déjà annoncé sa candidature à la prochaine présidentielle de février 2012, Cheikh Tidiane Gadio, son ancien ministre des Affaires étrangères entre 2000 et 2009 s'est lui-même lancé dans ce combat politique, hier, samedi 11 juin après une réunion du Mouvement politique citoyen (MPC). M. Gadio a demandé que sa candidature soit « portée par les citoyens sénégalais ».

    rfi


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  • Wade : "Pourquoi j'ai demandé le départ de Kadhafi" (Audio)
    « J’ai pris la parole pour dire que Kadhafi doit partir dans son intérêt pour ne pas être tué, dans l’intérêt de la Libye, dans l’intérêt de l’Afrique. Et j’ai été aussitôt appuyé par le président du Gabon, par le Premier ministre de l’Ethiopie, par le Rwanda, par la Ghana, qui ont dit très clairement qu’il faut que Kadhafi parte. » Le président sénégalais Abdoulaye Wade a demandé au colonel Mouammar Kadhafi de quitter le pouvoir en s’adressant à lui depuis Benghazi, le fief des rebelles libyens, déclarant devant la presse : « Je te regarde dans les yeux (...) plus tôt tu partiras, mieux ça vaudra ». Abdoulaye Wade est le premier chef d’Etat étranger à s’être rendu à Benghazi, capitale de la rébellion depuis le début de la révolte mi-février en Libye. Il répond aux questions de Jean-Karim Fall.
     


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  • Macky prévient Gadio

    Macky prévient Gadio
    Le docteur Cheikh Tidiane Gadio a officialisé, ce samedi, sa candidature à la présidentielle de 2012. Son parti, le Mouvement politique citoyen/Luy Jot jotna (Mpcl) tient sa première convention nationale à Thiès. Présent à la rencontre, Macky Sall, président de l’Alliance pour la République (Apr), a averti Gadio sur ce qui l’attend sur le chemin de la présidentielle de 2012. C’est officiel. Cheikh Tidiane Gadio sera de la course à la présidentielle de 2012. L’ancien ministre des Affaires étrangères a officialisé sa candidature ce samedi au cours de la première convention nationale du Mouvement politique citoyen/Luy Jot jotna (Mpcl). Une rencontre qui se tient, ce week-end, à Thiès en présence de nombreux leaders de l’opposition dont Amath Dansokho, président d’honneur du Parti de l’indépendance et du travail (Pit), de Macky Sall, président de l’Alliance pour la République (Apr), d’Elène Tine, porte-parole nationale de l’Alliance des forces de progrès (Apr) de Moustapha Niasse, de Yankhoba Diattara, représentant du maire de Thiès, Idrissa Seck… Saluant la décision du Mpcl de faire de Gadio son candidat à la présidentielle de février 2012, Macky Sall n’en estime pas moins que « l’heure n’est pas à la divergence, mais plutôt à l’unité pour bouter dehors ce pouvoir qui mène le Sénégal vers l’abîme ». Le président de l’Apr soutient avoir connu le docteur Cheikh Tidiane Gadio avant l’alternance. « Mais j’ai eu le plaisir de travailler avec lui dans le gouvernement », souligne Macky Sall. Et l’ancien Premier ministre d’ajouter : « Gadio était le dynamique et très compétent ministre des Affaires étrangères. » Toutefois, Macky Sall a tenu à demander à Macky Sall de tenir bon. Parce que, a-t-il averti, « les attaques seront nombreuses, virulentes et puantes ». « Il faudra poursuivre votre chemin sans se retourner. On n’a pas le droit de baisser la garde quels que soient les complots, les attaques », insiste Macky Sall. Qui se dit convaincu qu’« en 2012, le Sénégal se libérera… » « Nous formerons des torrents et des rafales qui vont bouter hors du pouvoir ce monstre », a ajouté Elène Tine de l’Afp. Au nom de Moustapha Niasse, la porte-parole de l’Afp a demandé à Cheikh Tidiane Gadio de « résister devant les attaques perfides ». Pour sa part, Yankhoba Diattara a appelé à l’union des forces de ce qu’il appelle la nouvelle génération de leaders politiques que sont, selon lui, Idrissa Seck, Cheikh Tidiane Gadio, Macky Sall... « Vous n’avez pas le droit de disperser vos forces. Vous êtes la nouvelle génération de leaders politiques de notre pays. Il vous faut un projet de société pour fédérer vos forces », a dit le représentant d’Idrissa Seck à la Convention nationale du Mpcl.

    Abdou Salam Touré nettali

     

    Dimanche 12 Juin 2011 - 08:07

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  • Gbagbo serait impliqué dans le meurtre du directeur du Novotel

     

    Gbagbo serait impliqué dans le meurtre du directeur du Novotel
    L'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo est soupçonné d'être impliqué dans l'assassinat du directeur du Novotel d'Abidjan, a-t-on appris de source judiciaire vendredi 11 juin. La justice française ne disposerait cependant pas encore d'élément pour le mettre en cause. Enlevé le 4 avril par des hommes armés pro-Gbagbo, Stéphane Frantz di Rippel a été interrogé au palais présidentiel où résidait Laurent Gbagbo, avec un autre Français emmené avec lui, l'homme d'affaires Yves Lambert, a déclaré la juge d'instruction française aux familles de victimes vendredi.

    Pas encore assez d'éléments
    La juge Patricia Simon, qui s'est rendue sur place début juin, a pu établir ce fait par des témoignages, a rapporté une source ayant assisté à l'entretien. La magistrate a cependant précisé qu'elle ne disposait pas d'éléments à charge suffisants pour envisager pour l'instant la mise en cause directe et personnelle de Laurent Gbagbo, actuellement assigné à résidence après sa capture le 11 avril par des forces françaises. Il semble cependant, d'après des témoignages, que des hauts responsables militaires très proches de Laurent Gbagbo aient évoqué la mort de Stéphane Frantz di Rippel et ordonné à leurs subordonnés de se débarrasser de son corps.
    Samedi 11 Juin 2011 - 14:12

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    2012 : Amadou Moctar Mbow ne sera pas candidat

    2012 : Amadou Moctar Mbow ne sera pas candidat
    Le président des Assises nationales ne tranchera pas le débat sur la candidature unique en choisissant son candidat.Amadou Makhtar Mbow estime que ce sont les Sénégalais qui choisiront librement celui qui fera face à Wade en 2012 pour le battre.Mais lui se dit déjà hors course. Ceux qui s’attendaient à voir le président des Assises nationales se positionner comme candidat de consensus de Bennoo Siggil Senegaal à la présidentielle de 2012 devront déchanter. Amadou Makhtar Mbow n’est pas candidat à la transition qui devra durer 3 ans au maximum. Il l’a clarifié hier sur Rfi.

    ‘Je suis en dehors de la compétition. Je considère qu’il faut laisser les autres, je suis trop âgé’, a affirmé le président des Assises nationales au micro de Christophe Boisbouvier. De même, Amadou Makhtar Mbow refuse de donner le profil de l’oiseau rare que recherche Bennoo pour faire battre Me Wade en 2012, assurer une transition de 3 ans et démissionner. ’Le profil, ce sont les Sénégalais qui vont en décider. Il y aura beaucoup de candidats, mais je pense que c’est prématuré d’en parler aujourd’hui. Je ne peux pas dire qui sera choisi pour la transition ni celui qui sera choisi comme président. Il faut laisser les Sénégalais choisir librement’, estime le président des Assises nationales qui ne veut pas focaliser le débat sur Moustapha Niasse et Ousmane Tanor Dieng. En outre, Amadou Makhtar Mbow ne doute pas une seule seconde qu’en cas de victoire, le candidat de la transition respectera sa parole en acceptant de démissionner. ‘Si quelqu’un accepte de se présenter dans ces conditions, il va accepter de démissionner… Pour les gens qui sont actuellement en compétition, il y en a pas mal qui accepteront de démissionner, aussi bien au sein des politiques que de la société civile’. De toutes manières, candidature unique ou pas pour battre Wade en 2012, Amadou Makhtar Mbow constate qu’il ‘y a un besoin réel de changement dans la façon de gouverner le pays.’ C’est pourquoi, il pense que battre Wade malgré tous les moyens dont il dispose, ne sera pas la mer à boire. ‘Il a des moyens qu’il emploie. Est-ce que ces moyens seront suffisants à assurer sa réélection ? C’est tout le problème’, ajoute l’ancien directeur général de l’Unesco qui fait remarquer que la vérité de 2007 ne sera pas celle de 2012. ’Entre 2007 et 2012, il y a eu les élections locales de 2009 à l’issue desquelles l’opposition a gagné de grandes villes comme Dakar, Kaolack, Saint-Louis etc… ’, rappelle-t-il. Expliquant le choix d’une période de transition avant d’aller vers des élections en 2015, Amadou Makhtar Mbow souligne qu’il ‘serait plus approprié d’avoir une période de transition au cours de laquelle seraient mises en place de nouvelles institutions et résolus un certain nombre de problèmes urgents pour le peuple sénégalais.’ Cela ne signifie pas forcément que les institutions actuelles dont dispose le Sénégal ne marchent pas. ’Non, nous sommes dans un régime où tous les pouvoirs sont concentrés entre les mains du président de la République. Les Assises nationales ont adopté une charte de gouvernance démocratique et selon cette charte, il est prévu la modification des institutions actuelles pour passer d’un régime strictement présidentiel à un régime de démocratie participative.’ En effet, poursuit le président des Assises nationales, si les pouvoirs sont concentrés entre les mains d’un seul homme, c’est la faute à la Constitution, mais également à cause de l’idée dont le président Wade se fait du pouvoir. ‘Ce sont les institutions qui donnent au président de la République tous les pouvoirs qu’il a. Ensuite, il y a également les caractéristiques du personnage qui est à la tête de l’Etat. C’est-à-dire celui pense que tous les pouvoirs doivent partir de lui et aboutir à lui. Mais je pense que si la Constitution ne donnait pas autant de pouvoirs au président, il n’aurait pas pu mener la politique qu’il mène actuellement. Nous sommes en train de discuter, au sein des Assises nationales, d’une nouvelle Constitution’, révèle Mbow.

    Walf

     

    Samedi 11 Juin 2011 - 05:11

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  • Un marchand de sommeil propriétaire de trois logements à Clichy-sous-Bois (Seine-

    aint-Denis), et qui est en fuite au Sénégal, a été condamné aujourd'hui à quatre ans de prison ferme par le tribunal de Bobigny.

    "C'est une peine très lourde qui sonne comme un avertissement à tous les marchands de sommeil", a réagi Me Didier Seban, l'avocat de la ville Clichy-sous-Bois, qui s'est portée partie civile. "On ne peut pas profiter à ce point là de la misère des gens", a-t-il ajouté. 

    Le tribunal a demandé un mandat d'arrêt pour Hady M'Bodj, en fuite au Sénégal. Il était notamment jugé pour "soumission de personnes vulnérables à des conditions d'hébergement indignes" et "remise à disposition de local vacant insalubre, dangereux ou impropre à l'habitation". Le parquet avait requis quatre ans de prison, dont trois ferme.

    M. M'Bodj a divisé trois appartements en plusieurs pièces, des chambres, qu'il louait à des familles, souvent en situation irrégulière. Un ancien dispensaire de 130 m² s'est ainsi transformé en 13 chambres, avec salle de bain, toilette et cuisine en commun. En 2007, 22 adultes et 14 enfants partageaient le lieu.

    Le montant des loyers était de 400 à 500 euros, pour une chambre de quelques m². Le tribunal a décrit la suroccupation et l'insalubrité du lieu: un arrêté en 2007 mentionnait des installations électriques défectueuses, une humidité importante, l'absence de ventilation et des insectes dans toutes les pièces. Malgré une condamnation en 2007 à un an de prison avec sursis pour des faits similaires, il a continué à louer. 

    Samedi 11 Juin 2011 - 00:04

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  • 63 000 pèlerins attendus à Popenguine

    Ils seront des dizaines de milliers de pèlerins de toute l'Afrique, à venir prier, le 13 juin, aux pieds de la vierge noire de Poponguine, à 70 kms au sud de Dakar, à l’occasion du 123ème pèlerinage à ce sanctuaire.

    « L’église en Afrique au service de la réconciliation, de la justice et de la paix », est le thème du rassemblement de cette année.

    La messe solennelle sera présidée par l’archevêque de Dakar, le cardinal Théodore Adrien Sarr, qui, a adressé un message à tous les pèlerins avant le pèlerinage.

    « Les catholiques, présents ce week-end à Poponguine prieront pour un Sénégal de justice et de paix. Ils présenteront au Seigneur les souffrances du peuple africain en particulier sénégalais », dit-il dans son message.

    « Au regard de ce que nous vivons au Sénégal, il est important de réaffirmer qu’il n’y a pas de développement sans paix en parlant de la Casamance. Il n’y a pas de développement dans la violence, dans l’injustice, sans dialogue », estime-t-il.

    Le cardinal Sarr demande aux fidèles de suivre les étapes du pèlerinage : confession, messe, adoration, récitation du chapelet et rencontres fraternelles. Il demande en outre de ne pas oublier de « rendre grâce à Dieu pour tout ce qu’il a donné aux hommes ».

    Vendredi 10 Juin 2011 - 18:01

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  • Controverse sur la visite de Wade en Libye
    Le gouvernement sénégalais a salué jeudi soir comme initiative favorable à la paix le déplacement à Benghazi, fief de la rébellion libyenne, du président Abdoulaye Wade, dont la prise de position sur la Libye, contre son ex-allié Mouammar Kadhafi, fait débat au Sénégal.

    La paix, c'est ce que l'Union africaine (UA) souhaite, c'est ce que le chef de l'Etat souhaite, c'est ce que les Libyens souhaitent, que le monde entier souhaite. (...) Aujourd'hui, il faut se féliciter de cette initiative, a déclaré le porte-parole du gouvernement sénégalais, Moustapha Guirassy, à l'antenne de la télévision publique RTS.

    Elu en 2000, M. Wade est un chef d'Etat qui comprend que les enjeux sont complexes et globaux. La paix en Libye peut avoir une incidence sur le Sénégal, sur le continent, sur le monde, mais avant même qu'il ne soit à la tête du Sénégal, il s'est toujours intéressé aux questions de paix dans le monde. Aujourd'hui, qu'il soit en Libye, c'est naturel, a ajouté M. Guirassy.

    Il a rappelé que le président sénégalais avait été invité à Benghazi (est de la Libye) par le président du Conseil national de transition (CNT, instance dirigeante de la rébellion libyenne) Moustapha Abdeljalil.

    M. Wade a reçu à deux reprises en mai, à Dakar puis à Paris, des émissaires de M. Abdeljalil avant de décider de reconnaître le CNT comme représentant légitime du peuple libyen et de lui accorder l'autorisation d'ouvrir un bureau de représentation à Dakar.

    Cette décision, officiellement prise après consultation du président du Sénat et du président de l'Assemblée nationale, était critiquée dans certains milieux dans son pays, ayant enregistré ces derniers mois des manifestations en faveur de Mouammar Kadhafi et contre les frappes internationales visant ses forces.

    Plusieurs Sénégalais ont notamment rappelé que le dirigeant libyen avait été accueilli chez eux plus d'une fois en grandes pompes, comme en décembre 2010 à l'occasion du Festival mondial des arts nègres. M. Wade avait alors félicité M. Kadhafi, le présentant comme son compagnon de lutte pour l'édification des Etats-Unis d'Afrique.

    Dans une lettre ouverte à M. Wade publiée par la presse locale le 6 juin, l'opposant Ely Madiodio Fall qualifie son soutien à la rébellion libyenne de surprise désagréable pour des millions de Sénégalais, estimant que cette décision baisse la garde de l'Union africaine (UA).

    L'UA, qui prône une solution diplomatique au conflit, a tenté une médiation, sans résultats sur le terrain.

    Le président sénégalais a attendu que Kadhafi soit à terre pour lui donner un coup de pied, écrit de son côté le journaliste bloggeur Souleymane Jules Diop, critique envers le régime, qui parle d'un revirement spectaculaire d'Abdoulaye Wade dans une chronique en ligne intitulée Le cas Waddafi - mot-valise pour Wade et Kadhafi.

    Dans une déclaration devant la presse lors de sa visite jeudi à Benghazi, Abdoulaye Wade s'est adressé directement à Kadhafi, avec des mots durs.

    Tu es arrivé au pouvoir par un coup d'Etat, il y a plus de 40 ans. Tu n'as jamais fait d'élections, tu as prétendu parler au nom du peuple. Tout le monde sait que c'est une dictature que tu as établie, a-t-il dit, ajoutant: Dans l'intérêt du peuple libyen, il faut te retirer de la politique, ne pas rêver de revenir. (...) Plus tôt tu partiras, mieux ça vaudra.

     

    Vendredi 10 Juin 2011 - 09:44

     


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  • Les attaques contre sa personne par l’ancien ministre des Affaires étrangères ont fait sortir Karim Wade de son mutisme. Pour s’en prendre à Cheikh Tidiane Gadio dont il révèle les accointances avec Kadhafi.

    Karim Wade : "Gadio recevait de l'argent de la Libye"

    A en croire le fils du chef de l’Etat qui a donné un entretien aux journalistes lors du vol devant relier Paris à Tripoli, Cheikh Tidiane Gadio recevait de l’argent du guide libyen. « Gadio touchait de l’argent de Kadhafi. C’est pourquoi, quand il parle de bonne gouvernance, je rigole », révèle Karim Wade. Qui ajoute : « Béchir Saleh, le directeur de cabinet de Kadhafi peut confirmer le montant des enveloppes qu’il a reçus ».

    Karim Wade qui solde ses comptes avec l’ancien chef de la diplomatie sénégalaise qui ne rate aucune occasion pour le descendre de faire savoir que ce dernier avait pour destination favorite la Libye et les Etats-Unis.

    Cheikh Tidiane Gadio avait fait état de son indignation suite à la poignée de main entre Karim Wade et Obama à Deauville en France. Il avait invité le ministre de l’Energie à rétablir l’électricité qui cause d’énormes difficultés aux sénégalais. 


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  • Blanchiment : Le Doyen des juges blanchit Samuel Sarr

    Par ordonnance en date du 8 juin 2011, le Doyen des juges d’instruction, Mahawa Sémou Diouf, a accordé le non-lieu au cambiste Demba Hamel Sy, ses deux enfants Cheikh Ahmeth Tidiane Sy et Samba Sy, et à l’ex-ministre de l’Energie, Samuel Sarr. 

    Ils avaient été épinglés par la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif) pour recyclage de fonds» portant sur plus de 50 millions de francs. Samuel Sarr avait été mêlé à cette procédure parce que les enquêteurs s’étaient rendu compte qu’en trois ans, il s’est attaché les services du cambiste Demba Hamel Sy, pour des opérations de change d’un montant total de 108 millions de francs.

     Le 13 septembre 2010, le président de la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif) a transmis au Procureur de la République un rapport relatif à des soupçons de blanchiment de capitaux portant sur 52 millions de francs reprochés à Demba Hamel Sy. Le dossier avait ensuite été confié au Doyen des juges qui vient de boucler son enquête. Le juge d’instruction a estimé qu’aussi bien Samuel Sarr que les trois cambistes n’ont rien fait de condamnable.

    By seneweb

    Vendredi 10 Juin 2011 - 13:55

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  • Pendant longtemps, ils étaient les meilleurs amis sur terre. Aujourd'hui l'un à lâché l'autre...


    Photos : Quand Wade et Kadhafi étaient les meilleurs amis au monde
     

     

    Photos : Quand Wade et Kadhafi étaient les meilleurs amis au monde
     
    Vendredi 10 Juin 2011 - 13:15

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  • « Personne ne peut dire qu’il n’a pas vu Wade utiliser les fonds politiques. Même les gens de l’opposition ne peuvent pas le dire », a déclaré le président du groupe parlementaire libéral.

     Affaire du terrain acheté par le président de la République: Doudou Wade défend Wade

    Par la rédaction De leral.net

     Tous les Sénégalais savent comment Wade utilise les fonds politiques. C’est du moins la conviction de Doudou Wade, qui réagit ainsi à propos de l’achat d’un terrain à plus d’un milliard de francs Cfa par le chef de l’Etat. Selon Doudou Wade « personne ne peut dire qu’il n’a pas vu Wade utiliser les fonds politiques. Même les leaders de l’opposition ne peuvent pas le dire ».

    Saluant les largesses du président de la république, le député libéral et non moins neveu de Me Wade lance : « Tous les citoyens se disent aujourd’hui que celui qui rencontre le chef de l’Etat, son problème est réglé ». Sur de son fait, Doudou Wade défie tout ceux qui soutiennent le contraire. Selon lui dans l’imaginaire des Sénégalais, Wade est « la solution des problèmes ». Cette conviction l’amène à développer l’argument selon lequel, les fonds politiques, légalement attribués au chef de l’Etat, sont utilisés à bon escient.

     


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  • LERAL.NET - Avant-hier, c’est Aliou Sow qui parlait de sa femme, hier, c’est autour de Karim Wade de parler de son père. Cela s'est passé lors du vol reliant Paris à Tripoli.

     

    Par la rédaction De leral.net
    La république du père et du fils
     
    Interpellé sur l’importance de sa présence à Benghazi, fief des rebelles libyens, la seule réponse que le ministre de l’énergie a pu donner aux journalistes c’est : « Vous voulez que je laisse mon père aller à Benghazi seul ? » Donc pour le ministre de la Coopération internationale, il s’agit d’accompagner un pater que de s’occuper des questions essentielles qui hantent le sommeil du commun des mortels sénégalais. Mais à y voir clair, il ne fait que réciter la leçon qu’on lui a apprise. Qui disait : « Je dirai à ta maman que tu as bien travaillé » ? Si ce n’est son père de président qui a installé le népotisme au sommet de l’Etat, qui d’autre celui-là pourrait être ?

     


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  •  L’ancien ministre des Affaires étrangères Ibrahima Fall a confirmé jeudi à Dakar qu’il est candidat à l’élection présidentielle de février 2012.

    Par la rédaction De leral.net

    Présidentielle 2012 : l’ancien ministre Ibrahima Fall confirme sa candidature

     
     
    Lors d’une conférence de presse, M. Fall s’est présenté comme ‘’un candidat indépendant, libre et de large consensus’’. Depuis plusieurs mois, la rumeur le donnait candidat à cette élection.

    Ibrahima Fall, 69 ans, a été ministre de l’Enseignement supérieur, puis des Affaires étrangères du Sénégal. De 1992 à 1997, il était sous-secrétaire général des Nations unies, chargé des droits de l’homme.

    Professeur de droit constitutionnel et de droit international public, il a enseigné pendant plusieurs années à l’Université de Dakar, devenue Université Cheikh Anta Diop (UCAD). Il a aussi participé à la rédaction de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples.       

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       lERAL.NET - Absent du territoire depuis un bon bout de temps, Idrissa Seck est entrain de préparer sa campagne électorale pour les échéances de 2012. Son retour dans le pays est annoncé dans les plus brefs délais.

    L'équipe de rédaction de la journée

     

    Idy prépare sa campagne depuis l'extérieur
     
    Plus question de parler de réconciliation entre Wade et Idy dans la mesure où Idrissa Seck qui se trouve actuellement hors du pays est entrain de préparer activement sa campagne électorale consistant a être le quatrième président du Sénégal comme il l’avait dit en 2004 : « En ce quatrième jour de l’année 2004 où la nation s’apprête à choisir son quatrième président, je déclare solennellement ma candidature ». La candidature du Maire de Thiès n’est plus à douter car dans la toute dernière déclaration de Idy , il affirmait : « c’est fini entre Abdoulaye Wade et moi d’ailleurs je travaille fermement pour son départ. »
     

     

    Idy prépare sa campagne depuis l'extérieur
    La nouvelle stratégie de communication d’Idy

    D’après une source proche d’Idrissa Seck qui s’est confiée à Leral.net, le Maire de Thiès est est entrain de travailler avec des imprimeries de la place pour son image et des slogans qui vont l’accompagner tout au long de sa campagne électorale.

    Omar Gueye pourrait être le directeur de campagne d’Idy.

    Selon toujours cette même source Omar Guèye ex Pcr de Sangalkam pourrait bien être le directeur de campagne de l’ex premier Ministre, toutefois l’information n’est pas encore confirmée mais attendons la suite des événements.


    Sur Quoi repose la confiance d’Idy ?


    Selon notre source Idrissa Seck est bien convaincu que le Conseil constitutionnel ne validera pas la candidature de Wade et dans ce cas il sera le recours pour ne pas dire refuge de certains membres du PDS. Ceci est aussi possible du coté de l’opposition oû un problème de leadership risque de disloquer leur coalition.

    Moussfa       
     

     


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  • Clarifications : Lettre ouverte de M. Elhadj Masse NGOM à Maître WADE

     

    Monsieur NGOM, en répondeur automatique de ton maître, vous avez réagi à l’appel que madame Aïda MBODJ, Maire de Bambey, Ministre de la Famille et des Organisations Féminines a lancé à Pape DIOUF.
    Malheureusement, vous êtes totalement passé à coté en ignorant le sens de l’appel.

     

    (Plus d'informations demain sur leral .net)
    Clarifications : Lettre ouverte de M. Elhadj Masse NGOM à Maître WADE

     

     

    Cliquez ici pour voir la lettre ouverte de Elhadji Masse Ngom

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  • 08/06/2011 à 15h:50 Par Jeune Afrique
     
    Le président sénégalais, Abdoulaye Wade, le 27 mai 2011 à Deauville.
    Le président sénégalais, Abdoulaye Wade, le 27 mai 2011 à Deauville.© AFP

    Le président sénégalais Abdoulaye Wade est arrivé à Paris mercredi pour une visite qui n’avait pas été annoncée. Il devait rencontrer le ministre français des Affaires étrangères Alain Juppé et évoquer la Libye.

    Est-ce la situation en Libye qui a amené Abdoulaye Wade à Paris ? Mercredi, en fin d’après-midi, le ministère français des Affaires étrangères a confirmé l’arrivée du président sénégalais en France.

    « Le président Wade est à Paris et il aura un entretien avec Alain Juppé à la résidence de l'ambassadeur du Sénégal », a simplement indiqué le porte-parole du ministère Bernard Valero.

    Cette visite n’avait pas été annoncée, et Bernard Valero n’en a pas précisé la durée ou les éventuels autres rendez-vous du président sénégalais.

    Dakar proche des positions des Occidentaux sur la Libye

    Son entretien avec Alain Juppé devait se tenir à la mi-journée en lieu et place d’un entretien prévu avec le ministre sénégalais des Affaires étrangères, Madické Niang. La discussion devait porter sur les grandes questions internationales du moment ainsi que sur la situation en Libye.

    Fin mai, le Sénégal avait reconnu le Conseil national de transition (CNT), instance dirigeante de la rébellion en Libye, « comme représentant légitime du peuple libyen ». À ce jour, le Sénégal est le seul pays africain à avoir fait cette démarche avec la Gambie.

    Le soutien au « Guide » en Afrique semble s’effriter. « Kaddafi ne peut plus diriger la Libye », a ainsi déclaré le président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz, qui préside le comité de chefs d'État de l'UA chargé de trouver une solution politique négociée au conflit libyen. (avec AFP)


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  • Après les Pcr, le commandement territorial… : Wade poursuit son opération séduction chez les chefs de village

     

    Après les Pcr, le commandement territorial… : Wade poursuit son opération séduction chez les chefs de village

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  • Le Fmi s'inquiète du Plan Takkal, la femme de Aliou Sow épinglée par un audit

    Le Fmi s'inquiète du Plan Takkal, la femme de Aliou Sow épinglée par un audit
     La gestion des finances publiques, la politique et les éliminatoires de la CAN 2012 intéressent plus que les autres sujets la plupart des journaux, mercredi. ‘’Les vérités du FMI au Sénégal’’, titre Kotch à sa une pour relever ‘’les préoccupations’’ de l’institution financière à l’endroit des autorités sénégalaises. Le FMI est préoccupé par ‘’la tendance inquiétante du gouvernement (sénégalais) à entreprendre des méthodes inopportunes et très risquées de mobilisations de fonds uniquement pour sécuriser les investissements du plan’’ de relance du secteur énergétique et de l’autoroute à péage, en chantier à Dakar. Lors d’une réunion sur les finances publiques sénégalaises, le FMI s’est montré ‘’satisfait des résultats obtenus par le Sénégal’’, souligne pour sa part Le Soleil, qui s’intéresse à la récente revue de l’accord triennal conclu entre l’institution financière et le Sénégal, pour 2010-2013. D’autres gestions financières, celle de l’Agence nationale de la case des tout-petits (ANCTP) et de la Loterie nationale sénégalaise (LONASE) font la une de L’Observateur, qui titre : ‘’Ami Sow Samaké et Baila Wane jouent avec nos milliards’’. ‘’Les rapports finaux produits par les cabinets GMS et BSC suffisent pour mesurer l’ampleur des manquements commis par M. Wane et Mme Sow (épouse du ministre Aliou Sow), dans leur gestion de la LONASE et de l’ANCTP’’, rapporte le journal.

    Extrait revue de presse APS
    Mercredi 8 Juin 2011 - 13:06

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  • Le président Obama fait du sport et adore particulièrement le basketball.


     

     

    Photo : Obama joue au basketball

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  • Ousmane Tanor Dieng annonce un dispositif anti-fraude en 2012
     

     

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  • ''Fuis les honneurs et l'honneur te suivra’’
     
    Youssou Ndour honoré  par les élus locaux
    ''A tous rois tous honneurs’’. Youssou Ndour ne peut s'empêcher de recevoir des considérations qui fusent des quatre coins du monde. Le roi du Mbalax a été honoré hier par les élus locaux de la ville de Dakar en qualité d’un fils digne qui honore le Sénégal. Fierté de plus pour le leader de Super étoile qui affirme ne pas convoiter la gloire.

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  • Le Msu pour une impunité suite aux violences de Sangalkam occasionnant la mort de Malick Ba.

    Mouvement pour le Socialisme et l'Unité exige une poursuite du commandant de la gendarmerie de Sangalkam

    Mouvement pour le Socialisme et l'Unité exige une poursuite du commandant de la gendarmerie de Sangalkam

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  • Le combustible nucléaire de trois réacteurs de la centrale de Fukushima (nord-est du Japon) pourrait avoir percé les cuves sous pression après avoir fondu dans les jours qui ont suivi le tsunami du 11 mars, indique un rapport du gouvernement japonais rendu public mardi.

     

    Ce document de 750 pages est destiné à l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) qui organisera une conférence ministérielle sur la sûreté nucléaire du 20 au 24 juin à Vienne, siège de l'organisme.

     

    Lors d'une conférence de presse, Goshi Hosono, conseiller spécial du Premier ministre Naoto Kan sur la crise nucléaire, a déclaré qu'en rédigeant ce rapport, le Japon avait voulu "partager cette leçon avec le monde".

     

    "Nous ne devons pas répéter les mêmes erreurs", a-t-il dit. "Il faudra du temps pour passer en revue tous les faits d'un accident de cette ampleur. Mais nous avons décidé de faire savoir à la communauté internationale tout ce que nous savons jusqu'ici."

     

    Dans son rapport, le gouvernement reconnaît que les instances de contrôle des centrales nucléaires n'ont pas été capables de répondre correctement à la crise survenue à Fukushima Daiichi (N°1) après le méga-séisme et le tsunami géant du 11 mars qui ont endommagé quatre des six réacteurs.

     

    Une vague de 14 mètres de haut a interrompu l'alimentation électrique du complexe atomique et stoppé les pompes à eau de refroidissement des barres de combustible nucléaire, qui ont commencé à chauffer.

     

    (Cliquez ici pour voir l'infographie)

     

    Le document explique que le combustible est entré en fusion dans les réacteurs 1, 2 et 3 et qu'il est "possible" qu'il ait percé la cuve sous pression de chacun des réacteurs. Le combustible se serait accumulé au fond des enceintes de confinement qui entourent les cuves.

    L'opérateur de la centrale, Tokyo Electric Power (Tepco), avait reconnu le mois dernier que le combustible avait (.


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  • Un diplômé de l'université de Princeton remplace Marcia Bernicat à l'ambassade des Etats Unis à Daka

    Un diplômé de l'université de Princeton remplace Marcia Bernicat à l'ambassade des Etats Unis à Dakar

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  • LERAL.NET - Les populations de Sangalkam pleurent toujours et ne cessent de crier leur ras le bol à l’endroit des autorités Etatiques particulièrement à Aliou Sow que l’ingénieur Matar Fofana Niang surnomme « Malaw ».

     

    L'équipe de rédaction de la journée
    Le drame de Sangalkam loin d’être oublié

     

     

     

    Selon M. Fofana ingénieur de son état, les motivations profondes du pouvoir sont clairement établies et bien connues par nous tous. Il s’agit essentiellement d’assouvir leur boulimie foncière, de fausser les élections en changeant les cartes électorales par les saucissonnages des collectivités locales et cela de façon récurrente. Depuis l’avènement du pouvoir libéral dit de l’alternance martèle Makhtar Fofana.

    Mieux, il soutient que « Garder le pouvoir durant 50ans est aujourd’hui une question de vie ou de mort pour Wade et ses subalternes qui ont plongé le pays dans une salle m... Dans la mesure où ils savent que s’ils perdent les élections ils iront tous en prison », renseigne-t-il

    Moussfa

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  • LERAL.NET - C’est sa fierté qui est mise en pâtures. Et Tamba ne compte pas rester les bras croisés face à l’attitude déshonorante de sa sœur qui s’adonne à l’adultère. Elle raconte sa honte au quotidien Walf Grand’Place.

     

    Par la rédaction De leral.net


    Sa sœur commet l’adultère, Landing Tamba lui sert une plainte

     

     

    A en croire cet habitant de Yeumbeul originaire de la Casamance, âgé seulement de 25 ans, sa sœur qui est marié à un diabétique est en train de jeter l’opprobre sur sa famille. En quoi faisant ? En roucoulant avec d’autres hommes alors qu’elle est encore mariée. De ces relations adultérines, sa sœur a contracté une grossesse de 5 mois.

    Landing Tamba, révulsé par le comportement de sa sœur a déposé une plainte contre cette dernière. Mais sa plainte n’a pas été acceptée par le commissaire du commissariat de Police de Yeumbeul qui lui a fait savoir que seul le mari est habilité à faire une telle démarche.

    Ne sachant plus à quel saint se vouer, le frère déshonoré dit qu’il fera appel à ses biceps d’autant plus que sa frangine veut pousser l’outrecuidance pour se rendre au village. « Je ferai de mon mieux pour l’en dissuader. Car, je ne veux pas que notre benjamine suive ses pas », regrette-t-il.


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  • LERAL.NET - Lors de sa visite d’hier à Sangalkam, auprès de la famille de Malick Bâ, tué le lundi 30 mai lors d’une manifestation dans ladite localité, le secrétaire général du Parti Socialiste a fait une déclaration de taille. Fustigeant les délégations spéciales pour remplacer des élus locaux plébiscités par des populations, OTD a relaté le contenu de son entretien téléphonique avec le maire de la ville de Thiès. Que se sont-ils dits ?

     

    Par la rédaction De leral.net
    Idrissa Seck à Tanor Dieng : « Wade, c’est fini ! »

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