• 2012 : Lamine Diack n'a pas encore renoncé


    Même s'il est candidat à sa propre succession à la tête de l'athlétisme mondial, Diack n'a pas encore dit son dernier mot concernant l'élection présidentielle de 2012. Le Sénégalais Lamine Diack, président de la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF) depuis 1999, sera le seul candidat à sa succession lors de l'assemblée élective le 24 août à Daegu, trois jours avant le début des Mondiaux en Corée du Sud. Parmi ses priorités, il y a l'athlétisme à l'école, la décentralisation au niveau des continents, et les droits télévisés. "On doit universaliser notre sport dans chaque coin du monde tout en conservant son niveau en Europe", souligne le président de l'IAAF, 77 ans. Candidat probable à l'élection présidentielle du 26 février 2012 au Sénégal, il laisse entendre qu'il mettra un terme à son probable nouveau mandat à l'IAAF s'il était élu à la plus haute charge de l'Etat.

     

    Vendredi 27 Mai 2011 - 02:11

     


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  • Les cadavres avaient indoné Abidjan durant la période de Gbagbo au pouvoir...


    Photo : Des victimes du couple Simone et Laurent Gbagbo

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    Ils sont au total 8 comités de liaisons fédérales (CLF) de  l’union des jeunesses travaillistes libérale (UJTL), à savoir, celui des départements de  Dakar dirigé par le secrétaire général  Mouhamed Diallo, de Tambacounda, de Bargny,  Thiès, Dagana,  Guinguinéo, et de Linguère à se retrouver au sein d’un collectif.

     

    Ces jeunes libéraux étaient en point de presse ce mardi 24 mai 2011, dans la capitale du rail pour discuter des renouvellements effectués dans ladite instance. D’après eux,  bien qu’étant  candidats pour le secrétariat national de l’UJTL ils ne sont pas des ennemis, mais par contre évoluent tous dans la dynamique de défendre les intérêts du parti démocratique sénégalais d’où la raison de la formation de ce collectif.  Pointant  du doigt le candidat de la génération du concret  ces jeunes avouent qu’un lobbying est effectué par certains grands responsables du parti qui, selon eux, veulent leur imposer un candidat qui n’a pas d’expérience.

     

    D’où leur conclusion que cette manœuvre personnelle n’a pour finalité que de  nuire aux jeunes responsables légitimement élus. Et les secrétaires généraux d’exhorter la commission nationale de prendre ses responsabilités pour remédier à ce problème.  De leur avis cette controverse pourrait entraver le déroulement de l’élection du secrétariat national.  A signaler que cette rencontre a tourné dans la confusion et un chaos total. Le camp adverse, à celui de Ablaye Tine secrétaire général de l’union des jeunesses travaillistes du département de Thiès, des jeunes appartenant à la génération du concret accompagnés d’une bande de nervis est venu interrompre cette réunion.

    DOKINA DIA


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  • Plainte contre Baila Wane à la Lonase
    Le Directeur général de la Loterie nationale Sénégalaise, Amadou Samba Kane, passe à la phase judiciaire. Par l’intermédiaire de son avocat, Me Ciré Clédor Ly, il a déposé, la semaine dernière, une plainte devant le Procureur de la République pour faux et usage de faux contre son prédécesseur Baïla Wane, révèle le journal L’Observateur. La Lonase reproche à Baïla Wane d’avoir cédé la partie jeux de la Loterie nationale sénégalaise (Lonase), à la Panafricaine des jeux, à l’insu du Conseil d’administration et des travailleurs.Depuis que l’affaire a été rendue publique, M. Wane ne cesse de clamer son innocence estimant, dans une interview, que le Conseil d’administration lui a donné l’autorisation de le faire et un procès-verbal de délibération signé par le Président de ce conseil, Condetto Niang, l’atteste. Ce que ce dernier avait contesté. Ce sont tous ces documents brandis par le mis en cause qui ont été attaqués pour faux.
    Jeudi 26 Mai 2011 - 13:56

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  • Confondue avec la victime présumée de DSK, une jeune Sénégalaise porte plainte
    Une Sénégalaise de 23 ans va porter plainte contre des médias et sites internet ayant publié sa photo, la présentant comme étant celle de la femme qui accuse Dominique Strauss-Kahn (DSK) d'agression sexuelle à New York, a indiqué jeudi à l'AFP un de ses avocats à Dakar.
    Cette étudiante de 23 ans, a fait appel à trois avocats sénégalais pour préparer des poursuites et réclamer des dommages, s'estimant être une «victime collatérale» de l'affaire DSK, a affirmé Me Samba Ametti. 
     

    «Rien n'est encore arrêté mais nous envisageons une procédure pour atteinte à la vie privée», non-respect du «droit à l'image, diffamation ou faux intellectuel», a ajouté Me Ametti.
    Selon lui, la photo de la jeune femme a été récupérée sur un site de réseau social sans son autorisation et elle a été désignée comme étant la supposée victime de Dominique Strauss-Kahn, ex-directeur général du Fonds monétaire international (FMI). Elle a commencé à recevoir des appels «le 18 mai de gens lui disant que sa photo était partout sur le net. Ca s'est amplifié (au Sénégal) parce qu'une télévision privée sénégalaise a utilisé la même image pour une émission humoristique sur l'affaire», «il y a des commentaires désobligeants associés à son image», a indiqué Me Ametti.
    Selon des quotidiens locaux, l'étudiante a indiqué avoir été perturbée par son implication malgré elle dans l'affaire. Elle a été «choquée, traumatisée» et a recouru à un psychologue avant de s'adresser aux avocats. «Elle a décidé de s'exprimer pour que tout cela s'arrête» et éviter que d'autres médias ne s'engagent dans la même voie, a précisé Me Samba Ametti.

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  • Yaya Jammeh avec Obama et sa femme

     

    Le président Obama et sa femme pose fièrement avec Yaya Jammeh. Un honneur...


    Photo : Yaya Jammeh avec Obama et sa femme

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  • L’affaire DSK est une nouvelle illustration du rôle des média et des réseaux de communication dans la fabrique de l’opinion. Le déferlement médiatique prévisible dans ce genre d’affaires est accentué ici par l’absence de traçabilité réelle de l’incident qui a eu lieu dans la chambre 2806 du Sofitel le 14 mai.

    Par la rédaction De leral.net

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  • L’Inde va donc casser sa tire lire et affole déjà les compteurs avec une annonce de prêts de 2400 milliards CFA (5 milliards de dollars) en faveur du continent africain, sur les trois prochaines années. Par ailleurs, son Premier ministre, Manmohan Singh, qui partage la même vision que le continent, entend accorder une subvention de 336 milliards de francs Cfa (700 millions de dollars) sous forme de dons en faveur de l’Afrique.

    C’est décidément le printemps des relations indo-africaines avec cette pluie de milliards annoncée en faveur du continent dans les trois années à venir. Le Premier ministre indien et le Président de la commission de l’Union africaine, Jean Ping, entendent partager la vision sur le renforcement du partenariat entre les deux grandes entités qui représentent près de la moitié de la population mondiale. L’Inde, par la voix de son Premier ministre, est heureuse de  poursuivre les efforts entamés dans les domaines du développement infrastructurel, de l’intégration africaine régionale et de la promotion des ressources humaines, depuis le  premier sommet du genre, tenu en 2008 dans la capitale indienne. A la suite de l’opérationnalité effective du projet dit Pan-african E-Network sur la télémédecine et le téléenseignement, New-Delhi propose mieux: le lancement d’une université indo-africaine virtuelle.

    Une aubaine pour les milliers d’étudiants africains très intéressés par les programmes de bourses annuelles offertes par l’Inde pour des études post- universitaires dans des universités indiennes. Le Premier ministre Manmohan Singh annonce, à ce propos, que 10 000 nouvelles bourses seront accordées aux étudiants africains dès  le début des activités de cette université virtuelle. C’est parce que dit-il, lors du premier sommet, l’Inde avait promis de miser davantage sur la promotion des ressources humaines africaines  par le biais d’une offre de qualité en matière d’éducation et de formation. Au total, l’Inde ne compte pas accorder moins de 22000 bourses en direction des étudiants africains dans les trois prochaines années.

     

    Un conseil indo-africain des affaires

     

    Le géant asiatique ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et entend installer avec l’Afrique des  plateformes de base pour la promotion de la sécurité alimentaire. L’industrie cotonnière africaine en pleine crise, sera aussi promue avec des process de produits à haute valeur ajoutée. De même, l’installation prochaine d’un institut indo-africain pour l’agriculture et le développement rural est annoncée par l’autorité indienne. De même qu’une Université indo-africaine pour les sciences de la vie et de la terre. La coopération avec les institutions régionales et sous-régionales africaines sera aussi renforcée. Par ailleurs, Manmohan Singh propose l’établissement d’un conseil indo-africain des affaires qui sera un cadre de réflexion et d’échanges commerciaux  fructueux entre les hommes d’affaires des deux entités géographiques.

     

    960 millions de francs Cfa à l’UA

     

    L’Inde, par ailleurs grande puissance militaire a toujours soutenu les efforts du continent en matière de renforcement des capacités militaires et de maintien de la paix. C’est dans cette dynamique que son Premier ministre a eu le plaisir d’annoncer aux Chefs d’Etat du continent la contribution de son pays à hauteur de 960 millions de francs Cfa (2 millions de dollars) pour venir en appoint aux efforts déployés par la mission de l’union africaine en Somalie. Ce sommet “historique” Afrique-Inde a enregistré la participation de plusieurs chefs d’Etat  dont Meles Zenawi de l’Ethiopie, le pays hôte, le Président Equato-guinéen, Président en exercice de l’Union africaine Théodoro Obiang Nguema, le Président Abdoulaye Wade du Sénégal, le Président Mohamed Ould Abdel Aziz de la Mauritanie, le Président Mwai Kibaki du Kenya, le Président Idriss Deby du Tchad, le Président François Bozize de la République centrafricaine, les Présidents du Malawi, de la Namibie…de même que le Vice -Président Mohamed Namadi Sambo.


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  • LERAL.NET - Accusée de vol de numéraires d’une valeur de 5000 euros et 700 mille francs Cfa, la femme de ménage de Daour Ndiaye est placée en garde à vue pour être déférée au parquet ce mercredi.

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  • LERAL.NET - Une casquette qu’on ne lui connaissait jusque-là, c’est celle d’un politicien. Mbaye Guèye Ndiaye Petit-là, le tambour major du groupe Faralamb et ancien percussionniste de l’orchestre Sope Noreyni puisqu’il s’agit de lui exhibe son manteau de politicien dans les colonnes de Walf Grand’Place survolé par Leral.net. Et c’est pour dire haut ce que les autres pensent bien bas.

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  • En tournant le bouton de mon téléviseur, la semaine dernière, je suis tombé sur cette déclaration du président de la fameuse UMS (Union des Magistrats du Sénégal) dans laquelle, me semblait-il, il assimilait son association à un pouvoir : Nous sommes un pouvoir s’insurgeait-il ulcéré !

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  • Les dix hommes les plus riches d'Afrique
    Comme chaque année, le magazine américain Forbes  a publié son classement des milliardaires (en dollars) dans le monde, parmi lesquels on compte 14 Africains.
    Des hommes d’affaires qui, en un peu plus de dix ans, sont parvenus à s’introduire dans le cercle très fermé des grandes fortunes mondiales, et ce malgré l’appauvrissement croissant des populations du continent noir.
    Au cours de cette décennie, un grand nombre de méga-entreprises ont vu le jour en Afrique. Mais une poignée d’Africains, issus de familles de haut rang, ont su s’imposer sur les marchés de l’immobilier, des mines de diamants, du pétrole ou des télécommunications, assurant leur avenir économique et, de fait, celui de l’Afrique. 

    Il faut noter le particularisme africain: l’absence de statistiques ou d’équivalent au classement du magazine Forbes. Il y a les fortunes certifiées, celles que l’on peut établir sur des comptabilités précises et transparentes. Et les autres, celles que l’on nomme les «richesses informelles». Des personnalités comme Abba Abacha  au Nigeria et autres chefs d'Etat échappent à tous les radars et fuient toute visibilité.  
    Dans le top 20 des milliardaires, on compte huit Américains, deux Français, un Suédois, deux Indiens, un Espagnol, un Brésilien, un Canadien, un Mexicain, un Allemand, un Chinois, un Russe.
    Les 1.210 personnalités présentes sur cette liste représentent 4.500 milliards de dollars (3.180 milliards d'euros), le record de cette année 2011.
    Classement des 10 Africains les plus riches:

    10. Yasseen et Youssef Mansour, Egypte

    A 49 ans (Yasseen) et 65 ans (Youssef), les deux frères Mansour rentrent pour la première fois dans la liste de Forbes. Ils arrivent ex aequo à la 692e place avec une fortune estimée pour chacun à 1,8 milliard de dollars (1,27 milliards d'euros).
    Connu sous le nom de «Baba Mansour», Youssef Mansour, le plus âgé des trois frères, est à la tête de Métro, la plus grande chaîne de supermarchés égyptiens, l'une des seules à perdurer depuis les émeutes. Il consacre une partie de son temps à lutter contre l'analphabétisme et à promouvoir l'éducation, et reste pour sa famille la pierre angulaire. 
    Comme Youssef Mansour, Yasseen Mansour, le plus jeune des frères, est diplômé de l'université de Washington. Il dirige la Palm Hills Developments (PHD), le deuxième plus grand promoteur immobilier d'Egypte, spécialisé notamment dans la construction de villas de luxe et de centres commerciaux.

    9. Nike Adenuga, Nigeria

    Bien loin derrière son compatriote nigérian Aliko Dangote, Nike Adenuga, à 58 ans, culmine à la 595e place du classement Forbes, avec 2 milliards de dollars (1,4 milliard d'euros) provenant de la banque, du pétrole ou de ses actions dans des entreprises de télécoms. Il fait ses études aux Etats-Unis avant de se lancer dans les transactions immobilières.
    A 26 ans, il est déjà millionnaire en distribuant la marque Coca-Cola en Afrique. Il forme Globacom, un groupe de télécoms qui rassemble 13 millions d’abonnés et qui récemment a investi dans la construction de câbles internet sous-marins pour joindre le Nigeria au reste du monde. Il préside également Conoil, une compagnie pétrolière du Niger, et détient des parts dans l’Equatorial Trust Bank.

    8. Mohammed Mansour, Egypte

    A 63 ans, Mohammed Mansour rentre avec ses trois frères Mansour (Youssef et Yassen Mansour) dans le classement Forbes: il apparaît à la 595e place (ex aequo avec le Nigerian Nike Adenuga). Sa fortune est estimée à 2 milliards de dollars (1,41 milliard d'euros).
    Après des études d’ingénieur et de commerce aux Etats-Unis, il profite des liens qu’il a tissés pour introduire des marques américaines sur le marché égyptien telles que Caterpillar, Chevrolet ou encore Marlboro. Les Mansour ont diversifié leurs activités en se lançant par exemple dans la grande distribution et en créant leur propre chaîne de supermarché: Métro. Il a par ailleurs été ministre des Transports en Egypte entre 2005 et 2009.

    7. Onsi Sawiris, Egypte

    Le chef patriarcal de la famille égyptienne Sawiris n’est plus le plus riche d’entre eux. A 81 ans, sa fortune culmine à 2,9 milliards de dollars (2,05 milliards d'euros), faisant de lui le 393e homme le plus riche de la planète. Il reste le Fondateur du conglomérat Orascom, dont ses trois fils gèrent les différents domaines de construction, de télécommunications, de tourisme, de science et technologie et de l’industrie.

    6. Patrice Motsepe, Afrique du Sud

    A 50 ans, l’ancien avocat en droit minier Patrice Motsepe est devenu le premier noir milliardaire d’Afrique du Sud. Avec 3,3 milliards de dollars (2,33 milliards d'euros), il devient le 336e homme le plus riche de la planète.
    Patrice Motsepe a su profiter des cours avantageux des matières premières dans les années 2000. Parvenu à la tête du conglomérat African Rainbow Minerals, il s’est spécialisé dans le droit minier et il est devenu le premier associé noir au sein du cabinet Bowman Gilfillan à Johannesburg. Patrice Motsepe est reconnu pour avoir progressivement racheté des puits de mines d’or boudées par les grands groupes d’exploitation, pour en augmenter la productivité en utilisant un style de gestion à rentabilité faible.

    5. Naguib Sawiris, Egypte

    Le fils d’Onsi Sawiris et frère ainé de Samih Sawiris et Nassef Sawiris, est à 56 ans, la 310e fortune du monde selon Forbes. Né en Egypte au Caire, il a fait ses études en Suisse et a rejoint le groupe Orascom fondé par son père en 1979.
    Sa fortune, aujourd’hui évaluée à 3,5 milliards de dollars (2,47 milliards d'euros), est le résultat du développement de la branche télécommunications du groupe Orascom et d’Orascom Telecom Holding dont il est l’actuel président et qui contient des opérateurs égyptien, algérien, italien et tunisien.

    4. Johann Rupert, Afrique du Sud

    A la 219e place du classement de Forbes, Johann Rupert, 60 ans, est la deuxième plus grande fortune d’Afrique du Sud, évaluée à 4,8 milliards de dollars (3,39 milliards d'euros). Il est d’abord banquier puis incite l’entreprise Rembrandt, appartenant à son père et jusqu’à lors spécialisée dans les vins et le tabac, à s’intéresser au domaine du luxe. Il devient actionnaire principal et prend la tête du groupe suisse Richemont en 1988, qui comprend les marques Cartier, Dunhill, Montblanc et Chloé. Il possède par ailleurs deux des vignobles les plus connus d’Afrique du Sud: Rupert & Rothschild et L’Ormarins. Dernièrement, il s’est intéressé à la multinationale Shell, la compagnie pétrolière.

    3. Nassef Sawiris, Egypte

    A 50 ans, le fils d’Onsi Sawiris et frère cadet de Naguib Sawiris devient le plus riche de la famille. Né au Caire en Egypte, il a fait ses études à l’université de Chicago aux Etats-Unis où il a reçu son diplôme d’économie. Sa fortune estimée à 5,6 milliards de dollars (3,96 milliards d'euros) provient pour l’essentiel du groupe Orascom Construction Industries (OCI Group), spécialisé dans le fabrication de ciment et les constructions immobilières. En décembre 2007, Orascom a cédé son activité au français Lafarge, leader mondial du secteur. Cette transaction valorisée à 8,8 milliards d’euros a fait de Nassef Sawiris le deuxième actionnaire du groupe français et le 182e homme le plus riche de la planète.

    2. Nicky Oppenheimer, Afrique du Sud

    Diplômé d’Oxford, à 65 ans, l’homme le plus riche d’Afrique du Sud avec 7 milliards de dollars (4,95 milliards d'euros) a constitué sa fortune essentiellement dans l’exploitation de mines de diamants. Il est aujourd’hui à la 136e place dans le classement mondial de Forbes.
    Après ses études, il rejoint la société minière de son père, la Anglo American Corporation implantée à Londres. Il revient à Johannesburg en 1975, et intègre De Beers, une entreprise spécialisée dans l’extraction de diamants. Il en prend la direction en 1978, et ouvre plusieurs joailleries dans le monde, dont une aux Galeries Lafayette à Paris.

    1. Aliko Dangote, Nigeria

    And the winner is… Nigérian de 53 ans, on estime qu’Aliko Dangote s’est constitué une fortune de 13,8 milliards de dollars (9,75 milliards d'euros). Sa compagnie, Dangote Cement, le plus grand fabricant de ciment du continent, possède des usines en Zambie, en Tanzanie, au Congo et en Ethiopie, et des terminaux de ciment en Sierra Leone, en Côte d’Ivoire et au Liberia.
    Classé 51e dans la liste de Forbes, Aliko Dangote est tout simplement l’homme le plus riche d’Afrique. Spécialisé dans la production et l’exportation de ciment, le groupe Dangote a des intérêts dans le sucre, la farine, le textile, l’immobilier, le pétrole et le gaz. Par rapport à 2010, Aliko Dangote aurait augmenté sa fortune de plus de 500%.
     
    Mercredi 25 Mai 2011 - 04:48

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  • 20 personnes veulent le poste de secrétaire général de l'UJTL
    La Commission nationale des renouvellements de l’Union des jeunesses travaillistes et libérales (UJTL) a reçu 16 candidatures pour le poste de secrétaire général de cette instance du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir), a indiqué Mamadou Seck, coordonnateur du processus de renouvellement des structures de l’UJTL. La date limite de dépôt des dossiers de candidature était fixée au 20 mai, a rappelé M. Seck qui faisait à la presse, précisant qu’à ce jour, 16 candidatures ont été enregistrées. Il a annoncé que les candidats seront auditionnés par les membres de la commission nationale. Ces journées d’audition, a-t-il précisé, ‘’sont prévues les 28 et 29 mai prochains, date précédemment retenue pour la conférence nationale’’. ‘’Chacun des candidats viendra devant un auditoire, devant tous les superviseurs aux fins d’un choix définitifs pour le poste de secrétaire général. C’est ce qui se fait dans tous les grands partis’’, a notamment expliqué le chargé des renouvellements des structures de l’UJTL. Mamadou Seck ajoute que la préoccupation centrale est de trouver des solutions consensuelles aux recours. ‘’Une appréciation objective de tous les dossiers de candidatures sera faite. Nous sommes en train de traiter tous les recours dans l’espoir de trouver des solutions consensuelles’’, a-t-il déclaré. Initialement prévue pour le week-end du 28 au 29 mai, la conférence nationale de l’UJTL est reportée aux 11 et 12 juin prochains pour des raisons liées au calendrier du secrétaire général national du PDS qui doit présider la cérémonie d’ouverture de la dite conférence. Voici la liste des 16 candidats au poste de secrétaire général de l’UJTL : Toussaint Manga (CLF Oussouye), Mohamed Diallo (CLF Dakar Plateau), Ameth Nasser (CLF Kaolack), Coumba Gaye (CLF Rufisque), Cheikh Gaye (CLF Saint-Louis), Bara Gaye (CLF Niayes), Alioune Sow (CLF Dagana), Abdoulaye Tine (CFL Thiès), Moussa Diakhaté (CLF Dakar Plateau), Adama Fall (CLF Linguère), Mamadou Bâ (CLF Tambacounda), Mansour Ndiaye (CLF Guinguinéo), Sekou Soussoukho (CLF Tambacounda), Mame Oumar Mbengue, Mame Warkhokh Guèye et Fabouly Gaye (CLF Kolda).
    Mercredi 25 Mai 2011 - 04:22

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  • Le président de la Cour sur le crime d’infanticide : ‘Pourquoi pas en cas de suspicion d’infanticide la victime est présumée être née vivante’
     
    ncore une fois, le rôle est paré du crime d’infanticide. L’infanticide bat le record des infractions à juger dans cette présente session. Pour le président de la Cour, ce crime est l’un des plus cruels. L’infanticide est une infraction qui présente certains paradoxes, soutient Madiéna Bakhoum Diallo. C’est une infraction dont le législateur a décidé qu’elle était un crime, et que le juge condamne souvent à des peines correctionnelles. ‘On a souvent beaucoup plus en vue la personnalité du criminel que la gravité de son acte’, souligne-t-il.

    ‘Dans certains pays, on considère plutôt le caractère extrêmement vulnérable de la victime et cela devient une circonstance aggravante du meurtre’. Mais, pour le juge, on a un peu l’impression que c’est plutôt des circonstances atténuantes, car les peines n’étant pas très sévères. Tout cela doit faire l’objet d’une réflexion globale, indique M. Diallo. Pour lui, cette réflexion doit se mener non seulement à leur niveau, mais également du côté du législateur.

    Cependant, à en croire le président de la Cour, le système de preuve de l’infanticide n’encourage pas la répression. ‘Il y a des dames qui peuvent, dès le début de leur grossesse, planifier l’infanticide. Elles cachent leur état jusqu’à l’accouchement’, dit-il. En cas d’infanticide, la loi demande au ministère public d’avoir à établir que l‘enfant a été tué. C’est cela l’infanticide. Or, pour prouver que l’enfant a été tué il faut d’abord prouver qu’il est né vivant, soutient Bakhoum Diallo. ‘C’est l’une des grandes difficultés auxquelles l’avocat général se heurte tout le temps’.

    D’après lui, cela interpelle aussi le législateur pour réfléchir par rapport à ce mode de preuve. ‘Pourquoi on ne mettrait pas dans la loi qu’en cas de suspicion d’infanticide la victime est présumée être née vivante ?’, s’interroge le président. Il appartiendra dans ce cas, selon lui, à l’auteur présumé des faits ou ses témoins de prouver que l’enfant n’est pas né vivant. Mais, la tâche n’est pas facile, pense-t-il, quand on demande au ministère public, qui est totalement en amont de toute cette procédure, de prouver que l’enfant est né vivant ou non. ‘C’est ce qui amène les cas de relaxe ou de requalification en cas d’infanticide’.

    A. C. DIOP
    source Walfadjri

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  • Après l'inculpation pour viol de Dominique Strauss-Kahn vendredi 20 mai 2011, les grandes manœuvres de déstabilisation sont lancées dans les deux camps. Un jeu d'influence relayé et alimenté par les médias : On a appris lundi soir par les chaines de télévisions américaines ABC et NBC que l'ADN de DSK a été retrouvé sur les vêtements de la plaignante. Généralement les fuites comme on les appelle sont le crédo de l'accusation. Celle-ci distille au compte gouttes des éléments à charge envers l'ancien dirigeant du Fonds monétaire international. Mais du côté de la défense aussi, tous les coups sont permis, jusqu'à tenter de salir l'image de la plaignante

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  • Lamine Thior, Dg de La Poste, limogé
    Lu dans Walfadjri : Depuis hier, Mamadou Lamine Thior n’est plus le directeur général du groupe La Poste. En effet, le Président du conseil d’administration a suspendu le contrat de ce dernier ‘par mesure conservatoire pour préserver l’intérêt de la société nationale La Poste’. 

    Nommé directeur général de La Poste le 24 août 2004, Mamadou Lamine Thior était admis à valoir ses droits à la retraite depuis décembre 2010. Mais, en raison d’un ‘contrat spécial’ que le Président du conseil d’administration, Ibrahima Diallo, lui avait accordé, contre la volonté d’une frange importante des travailleurs il avait été maintenu à son poste de directeur général. Le Syndicat national des travailleurs des postes et télécommunications (Sntpt), majoritaire dans l’entreprise et que dirige Mamadou Diallo, avait alors fait du départ de Mamadou Lamine Thior une exigence. Depuis ce lundi 23 mai, le successeur de Ibra Joseph Basse n’est plus directeur général. A l’issue de sa réunion tenue, hier matin, à la direction générale du groupe, le Conseil d’administration a décidé de suspendre le contrat spécial liant Mamadou L. Thior et La Poste. Dans le document, signé par le Pca, il est écrit qu’il s’agit d’une ‘mesure conservatoire pour préserver l’intérêt de la Sn La Poste et compte tenu des manquements graves tant au point de vue du droit que sur le plan social’. On précise dans le document que le Premier ministre et le président de la République qu’on soupçonnait à tort ou à raison de vouloir garder ‘illégalement’ Thior qui est, du reste, responsable libérale dans le département de Foundiougne ont été informés de la mesure de limogeage de Thior.
    La note de service du Pca ne s’est pas contentée de notifier le destitution de Mamadou Lamine Thior de son poste de Dg de La Poste. Chose rare, le Conseil d’administration motive le limogeage de cet expert comptable qui a passé plus de 40 ans à La Poste par un chapelet de griefs sérieux portant sur sa gestion depuis six ans. Ces reproches sont de deux ordres. Il y a ceux qui relèvent des manquements par raport au droit et les autres ont trait au social.
    Aliénation de plus de deux milliards
    S’agissant des manquements par rapport au droit, le Conseil d’administration de La Poste composé de représentants de la Présidence, de la Primature, de divers ministères comme les Finances, l’Intérieur, les associations de consommateurs et des délégués du personnel pour ne citer que ceux-là, reproche à Thior : ‘le non-respect des articles 41, 42 et 43 du code de l’Ohada relatif à la libération des actions en numéraires dans le cas de Postefinances et Ems’, respectivement une filiale bancaire et de distribution du courrier de La Poste. A cela s’ajoutent : le non-respect de l’article 421 et suivants de l’Ohada relatif à la désignation du représentant d’une personne morale administrateur, ‘le non-respect des articles 564 et 570 de l’Ohada relatif à l’augmentation de capital dans le cas des filiales’.
    Pis, le Conseil d’administration reproche formellement à Mamadou Thior ‘l’aliénation de 2 milliards 300 millions de la Sn La Poste et le transfert d’actifs non seulement non autorisés par le Conseil d’administration et l’assemblée générale mais réalisés pour contourner une délibération non favorable à sa proposition de créer une troisième filiale courrier hybride ; ce qui est une forfaiture’. A ce chapitre des manquements par rapport au droit toujours, le Conseil d’administration signale la ‘non observation des articles 435 et 480 de l’Ohada relatifs aux compétences du Conseil d’administration et du Président du conseil d’administration’. Et aussi ‘le non-respect de la législation en vigueur pour l’offre d’emploi’, ainsi que ‘le non-respect des statuts de la Poste article 16, article 20 portant sur le programme de recrutement’.
    Au chapitre social, également le Conseil d’administration n’y va pas du dos de la cuillère. En effet, l’instance que dirige le libéral Ibrahima Diallo de Kaolack décèle de nombreux manquements graves sur le plan social. Parmi ceux-ci figure en bonne place ‘l’incitation à la confrontation entre les travailleurs’. Le Conseil d’administration accuse directement Thior d’utiliser ‘son poste de directeur général pour promouvoir ou saquer des travailleurs du seul fait de leur appartenance syndicale’. Et aussi de ‘représailles à l’endroit du Président du conseil d’administration pour ne pas avoir satisfait des prétentions financières’.
    Autant de récriminations qui justifient la mesure ‘conservatoire’ de limogeage de Mamadou Lamine Thior du poste de directeur général de La Poste. Contactés par téléphone, les responsables du Sntpt se félicitent de cette décision, mais disent attendre avec impatience la nomination d’un nouveau directeur capable de ‘redresser’ La Poste dans les meilleurs délais. Pour le moment, La Poste attend son nouveau directeur général. Selon des sources, les personnes pressenties pour assurer l’intérim de Thior ont décliné l’offre.
     
    Mardi 24 Mai 2011 - 08:40

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  • Landing Savané reconnait avoir touché 30 millions par mois au Palais
    Landing Savané ne nie pas avoir reçu 30 millions par mois et cela pendant 10 ans. Mais cet argent était destiné à son parti. Mais, comme pour se dédouaner, le patron d’Aj soutient que tous les partis membres de la Cap 21 ont encaissé.

    Landing Savané reconnaît avoir ‘touché’ aux 30 millions que l’ex-directeur de cabinet et aujourd’hui Premier ministre du gouvernement de Wade lui remettait tous les mois. Il l’a confié hier à nos confrères de la Tfm. Seulement, le secrétaire général d’Aj a confié à notre confrère que l’argent n’était pas de Wade mais de tous les partis alliés membres de la Cap 21. ‘Oui j’ai bénéficié de cet argent, au même titre que les autres responsables des partis alliés du Pds. C’est juste quelques dizaines de millions et non pas des milliards comme le prétendent certains. Moi, je n’ai jamais vu un milliard de mes yeux’, a dit Landing Savané. Pour le ‘folliste’ en chef, l’argent ainsi encaissé est destiné à son parti et non à lui. ’Nous avons bien mérité ce traitement. C’est nous qui avions contribué à l’élection du président Wade. Donc il est normal que nous soyons servis’, justifie-t-il. Selon Landing Savané qui se targue d’avoir eu une bonne santé financière avant 2000, l’alliance avec Wade l’a plutôt appauvri. ‘J’ai plutôt beaucoup perdu en étant dans le gouvernement. L’argent n’a jamais était un problème pour moi’, clame Landing Savané. Qui ajoute que son parti s’est plutôt battu contre un des leurs qui avaient voulu vendre Aj à Wade.
    Pour rappel, lors du meeting de la Majorité tenu dimanche dernier à Ziguinchor, Souleymane Ndéné Ndiaye avait jeté un gros pavé dans la mare.‘Pendant dix ans, Landing Savané a reçu comme soutien de Me Wade, pour le compte de son parti, 10 millions de francs qu’il n’a jamais signalés à ses camarades’, avait dit le directeur de campagne de Me Wade.Et le maire de Guinguinéo de s’interroger sur la moralité de Landing Savané et, au-delà, des leaders de Bennoo Siggil Senagaal.


    In Walfadjri
    Mardi 24 Mai 2011 - 08:48

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    Les 30 millions de Landing polluent l'atmosphère
    Les réactions suscitées par la révélation du Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye selon laquelle le leader de And Jëf Landing Savané recevait du chef de l’Etat 30 millions de francs par mois pendant 10 ans sont largement relayées par les quotidiens parvenus mardi à la rédaction de l’APS. Walfadjri donne la parole à Landing Savané qui avoue : ‘’Je prenais 30 millions, mais je n’étais pas le seul’’. Le journal souligne en outre que ‘’Landing Savané ne nie pas avoir reçu 30 millions par mois et pendant 10 ans. Mais cet argent était destiné à son parti’’. ‘’Mais comme pour se dédouaner, explique-t-il, le patron d’AJ soutient que tous les partis membres de la CAP21 ont encaissé’’. Walf estilme par ailleurs que ‘’Souleymane Ndéné Ndiaye enfonce Wade’’. Le directeur de campagne de du candidat Wade qui a fait cette révélation dimanche dernier lors d’un meeting à Ziguinchor, ‘’confirme ainsi la gabegie et les pratiques peu orthodoxes au sommet de l’Etat du Sénégal’’, estime le même journal. Cette analyse semble partagée par L’Office qui écrit : ‘’en voulant ridiculiser Landing Savané, Souleymane Ndéné plombe la précampagne de Me Wade’’. Il a révélé l’image de ‘’Wade, un président généreux avec l’argent d’autrui’’, estime L’Office. Pour sa part, Le Quotidien publie la réaction de la président des femmes de AJ, Awa Fall Diop, qui dit : ‘’on n’écarte pas de traduite le PM en justice’’. Ouvrant sur le même sujet, Le Point du Jour affiche : 30 millions par mois de 2000 à 2010 : comment Landing a bouffé 3 milliards de Wade’’. Ce journal annonce que ‘’le malaise s’installe dans son camp, Bassirou Sarr réclame des preuves, Landing répond’’. Il relaye en même temps la proposition du porte-parole du Parti socialiste, Abdoulaye Wilane pour qui, ‘’ce débat doit être poursuivi et élucidé’’. Walf Grand-Place constate que ‘’les poubelles sortent’’, en faisant allusion à la réaction de And Jëf sur la sortie du Premier ministre, directeur de campagne de Wade. Plus explicite, Le Matin renseigne que ‘’les partisans de Landing dénoncent un +mensonge+’’, dans une déclaration rendue publique lundi. Malgré ce démenti, Thiey indique que ‘’le camp de Decroix enfonce le clou…’’, à propos des 3 milliards 600 millions de francs remis à Landing Savané par Wade. La même information barre le une de Rewmi, qui relève que le leader de l’autre camp du même parti, Mamadou Diop ‘’Decroix enfonce Landing’’. Le journal explique que ce camp, ‘’par le biais de son porte-parole, Mouhamadou Daff, confirme les révélations du Premier ministre’’. De son côté, L’Observateur note que ‘’And Jëf ravale l’aveu de Landing’’. Ses proches ‘’démentent sans convaincre’’, selon L’Observateur. APS
    Mardi 24 Mai 2011 - 14:41

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    Seneweb NewsLetter
    source: Webnews

     

    La France et le Royaume-Uni envoient des hélicoptères de combat pour tenter de débloquer la situation militaire en Libye.

    Les Tigres français et les Apaches britanniques sont prêts. Des porte-hélicoptères français et britannique, le Tonnerre et le HMS Ocean, ont été dépêchés au large des côtes libyennes, a annoncé à Bruxelles le ministre français de la Défense Gérard Longuet, en marge d'une réunion avec ses homologues européens à Bruxelles.  

    La France et le Royaume-Uni, confirmant leur rôle moteur depuis le début de l'intervention militaire internationale en Libye, ont décidé d'envoyer leurs hélicoptères de combat sur le terrain, alors que le conflit s'éternise. La situation semble particulièrement critique dans la ville de Misrata, aux mains des rebelles mais toujours pilonnée par les troupes du régime Kadhafi, avec un bilan humain difficile à établir. C'est ce statu quo, aux implications humanitaires désastreuses, que Paris et Londres souhaitent casser en jouant cette nouvelle carte.  

    Les hélicoptères en question, "équipés de vision nocturne et de système de guidage électronique", détaille le Guardian, doivent permettre aux forces de la coalition de "manoeuvrer et d'attaquer des cibles plus précises dans des zones relativement peuplées". Selon les termes employés par le ministre français des Affaires étrangères Alain Juppé, il faut "adapter notre capacité d'attaque au sol en employant des moyens plus précis".  

    Dans le cas français, Le Figaro affirme qu'ils pourront s'appuyer sur les informations préliminaires obtenues par les forces spéciales déployées sur le terrain. "Équipées de visées laser, elles repèrent les cibles et guident les chasseurs de la coalition. Elles pourraient bientôt, confie une source proche du dossier, être renforcées et effectuer le même travail de repérage et de guidage pour les hélicoptères du Tonnerre". 

    Une violation de la résolution de l'ONU?

    Des voix se sont élevées contre cette escalade dans les moyens qui, selon ces détracteurs, dépasserait le cadre fixé par la résolution 1973 votée mi-mars par le Conseil de Sécurité de l'ONU, après une intense bataille diplomatique. La ministre danoise des Affaires étrangères, Lene Espersen, dont le pays est engagé dans les opérations y voit "une claire violation" de ce texte et un facteur potentiel de "désaccords parmi les pays occidentaux" dont la coalition au sein de laquelle les fissures ont souvent affleuré.  

    Mais pour les deux capitales, cette évolution des moyens mis en oeuvre ne dépasse pas le cadre fixé par le cadre onusien. Les hélicoptères de combat viennent compléter les forces déjà engagées par les pays de la coalition placée sous le commandement de l'Otan, après une période de latence, et dont l'objectif reste d'assurer la protection des populations civiles face à l'armée de Mouammar Kadhafi.  

    "Se rapprocher du sol"... sans aller sur le sol!

    "Cette décision revient à reconnaître que bombarder des cibles depuis 15 000 pieds d'altitude ne permet pas de protéger les civils qui restent sous le feu des roquettes et des tirs de mortiers" des pro-Kadhafi, poursuit le quotidien britannique qui voit ainsi "l'Otan se rapprocher du sol, alors que plusieurs pays engagés insistent pour ne pas envoyer de troupes au sol".  

    Les raids menés par les avions de chasse (déployés par la France, le Royaume-Uni, l'Italie, l'Espagne, la Belgique, le Danemark et la Norvège) ont pourtant été intensifiés, en réponse aux demandes répétées des rebelles. La nuit de lundi à mardi a même été, selon la presse étrangère à Tripoli, marquée par les bombardements les plus intenses depuis le début de l'implication internationale. L'Otan a mené "entre 12 et 18 raids contre une caserne de la garde populaire", des unités de volontaires qui épaulent l'armée, faisant trois morts et 150 blessés. Mais ces raids n'ont pas encore permis de faire définitivement basculer la situation libyenne. 

    "Utiliser les hélicoptères du BPC Tonnerre, c'est un moyen de se rapprocher du sol", commente une source proche du dossier interrogée par le Figaro. "Donc d'augmenter les chances d'obtenir rapidement une victoire", ajoute le quotidien français. Une victoire qui ne peut se limiter à l'aspect militaire mais devra comporter un volet politique, a rappelé le ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague, évoquant une "intensification de la pression militaire, économique et diplomatique sur le régime de Kadhafi" qui, pour le moment, résiste dans son bastion de Tripoli.  

     

    [ VIDEO ] Libye: Paris et Londres envoient leurs hélicoptères de combat

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  • Seneweb NewsLetter

    Entre ex-rebelles, militaires légitimistes et fidèles de Gbagbo en fuite, la confusion règne. La création d’un corps de défense unifié est un immense défi.

    En prenant une ordonnance, le 17 mars, pour instituer les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), le président Alassane Ouattara signait l’arrêt de mort des Forces de défense et de sécurité (FDS). Si cette décision offrait également un nouveau « logo » aux ex-Forces nouvelles, elle visait aussi, dans l’immédiat, à faciliter le ralliement d’éléments pro-Gbagbo avant le déclenchement de la grande offensive militaire sur Abidjan. Cela a fonctionné. En partie seulement. Car un mois après la chute de Gbagbo et malgré l’allégeance des galonnés au nouveau chef de l’État devant les caméras de télévision, bon nombre de militaires restés fidèles au président sortant sont toujours aux abonnés absents. Disparus dans la nature avec armes et bagages, ils seraient près de 14?000 hommes – sur un effectif global de 60?000 – à ruminer l’humiliante défaite militaire subie grâce aux appuis des Français de Licorne et des Casques bleus des Nations unies. Les appels répétés des autorités ne semblent pas porter leurs fruits. « Les ex-FDS ont besoin d’être rassurées pour regagner les casernes, et ce n’est toujours pas le cas », confie un officier.

    « Bande armée »

    Tous les sites stratégiques (état-major des armées, ministère de la Défense, casernes…) sont actuellement occupés – et sécurisés – par des ex-rebelles. C’est ainsi que le « comzone » Chérif Ousmane, devenu commandant des FRCI, a pris ses quartiers au camp Gallieni et s’est installé dans les bureaux du général Philippe Mangou, chef d’état-major théoriquement encore en service. Le général Soumaïla Bakayoko, chef d’état-major des ex-Forces armées des Forces nouvelles (FAFN), tente de mettre en place, avec des officiers des ex-FDS, le nouveau commandement d’une armée nationale à refonder intégralement. Les considérations budgétaires entrent dans l’équation?: l’entretien des ex-FDS, particulièrement choyées, coûtait 200 milliards de F CFA (305 millions d’euros) par an.

    En attendant, l’ordre public est assuré par les FRCI, peu professionnelles, décriées, et dont certains éléments relèvent avant tout de la « bande armée ». « C’est un défi immense pour le président Ouattara. Il nous faut dans un premier temps purger les effectifs », explique un proche du chef de l’État.

    État-major

    La matrice de cette restructuration demeure l’accord de Ouagadougou de 2007?: 5?000 membres des ex-Forces nouvelles doivent rejoindre la nouvelle armée, et 4?000 autres la police et la gendarmerie. Quant aux dix anciens « comzones », ils devraient remiser le treillis, faire valoir leurs droits à la retraite avec le grade et les avantages acquis dans la rébellion. À la clé également, de fortes primes et éventuellement de prestigieuses affectations comme attachés de défense dans des ambassades – tout cela est en discussion.

    Une short-list du prochain état-major circule aussi. Le général Mathias Doué, patron de l’armée sous Gbagbo jusqu’en 2004, est revenu d’exil. L’autre « nominé » est le général Michel Gueu, un proche du Premier ministre Guillaume Soro. « Ouattara préférera nommer un homme de l’Ouest pour se réconcilier avec cette partie du pays qui a tant souffert », croit savoir un fin connaisseur du dossier. La France aurait suggéré quelques noms d’officiers généraux, tous saint-cyriens. Mais aucun de ces noms n’a « fuité ».

    Quant à l’appellation de cette nouvelle armée?: secret-défense. Seule certitude?: ce ne sera ni FDS, ni FRCI. Pour chasser les mauvais fantômes. Et conjurer les « chiens de guerre » issus des deux camps.


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    Seneweb NewsLetter
    source: Webnews

     

     

     

    Fox News affirme mardi connaître la teneur de la conversation entre Dominique Strauss-Kahn et la plaignante, la femme de chambre Nafissatou Diallo. DSK aurait dit pendant l'agression sexuelle présumée commise dans la chambre du Sofitel de New York "Baby, tu sais qui je suis? Tu sais qui je suis?". Le média américain indique tenir ces informations de sources proches de l'enquête.

    La femme de ménage guinéenne aurait supplié à plusieurs reprises son agresseur présumé de mettre fin à ses gestes déplacés par des ""Please, please stop. No!". Toujours selon ces mêmes sources, la femme de chambre ignorait bel et bien qui occupait la chambre, facturée à 3000 dollars la nuit.

    Le jour des faits, Diallo serait tombée nez à nez avec un Dominique Strauss-Kahn nu, sortant de la salle de bain. Celui-ci aurait ensuite touché les seins de la plaignante, tentant de la coucher sur le lit, avant qu'elle ne le prie de s'arrêter.

    Selon les sources de Fox News, la femme de chambre de 32 ans étant très croyante, elle aurait immédiatement posé ses mains sur ses yeux afin de ne pas voir DSK dans son plus simple appareil. Il aurait alors couru vers elle dans l'entrée de la suite, touché ses seins et amené celle-ci jusqu'à la chambre proprement dite. Des draps blanc tachés de sang auraient même été emporté par la police, selon Fox News.

    La mère celibataire aurait essayé plusieurs stratagèmes pour se dépêtrer des griffes de son agresseur présumé. "Mon chef est dans le couloir", aurait-elle prétexté, sans que cela n'émeuve DSK. "Arrêtez s'il-vous-plaît. Je ne peux pas perdre mon travail, ne faites pas ça. Je vais perdre mon travail!", se serait-elle écriée.

    Strauss-Kahn aurait ensuite répondu: "Non baby (en anglais dans le texte), tu ne vas pas perdre ton job. S'il-te plaît, baby, ne t'inquiète pas". "Tu ne sais pas qui je suis?", aurait-il répété, en continuant de la harceler, allant même à jusqu'à la traîner sur le sol à l'entrée de la suite.

    Puis, alors qu'elle repoussait son agresseur présumé et courait vers la porte, la jeune femme aurait glissé sur un journal. C'est à ce moment que DSK l'aurait forcé à lui faire une fellation.

    La jeune femme aurait finalement pu fuir en poussant Strauss-Kahn sur le coin d'une armoire. Il porterait d'ailleurs une marque dans le dos à cause du choc. Elle aurait ensuite couru jusqu'à l'escalier de service où des collègues l'auraient retrouvée en état de choc. Tremblante, elle ne pouvait tenir un verre d'eau, selon ces mêmes sources.

    Ni les autorités, ni un avocat de DSK contacté par la chaîne américaine n'ont souhaité commenter ces informations. 

    Des avances à deux autres employées
    Toujours selon Fox News, DSK aurait fait des avances à deux autres femmes pendant son séjour de 24 heures au Sofitel de New York. Alors qu'il s'enregistrait, il aurait pris et massé la main d'une première employée et l'aurait invité dans sa chambre mais elle aurait décliné l'invitation.

    Plus tard, DSK aurait appelé la réception et invité une autre employée à venir le rejoindre dans sa chambre. "Montez, j'ai une superbe suite et un excellent vin", mais elle aussi a refusé l'invitation, selon ces sources.

    Selon des proches de la femme de chambre, Nafissatou Diallo serait une employée modèle. Elle ne boit pas, ne fume pas et rentre directement de son travail pour s'occuper de ses enfants.

    Le 14 mai, plusieurs sources affirment que la femme de chambre a respecté le protocole de l'hôtel, frappant à trois reprises à la porte de la chambre, puis en s'annonçant. N'obtenant pas de réponse, elle a finalement sonné à la porte mais sans succès. Selon Fox, DSK n'a pas requis un check-out plus tardif, les faits se passant après le check-out de midi.

    Un employé du room-service serait passé dans la chambre quelques instants avant les faits, trouvant les lieux vides. Selon les sources de la Fox, DSK aurait pu avoir eu l'idée de se cacher au moment où  l'employé est entré, sachant que la femme de chambre passerait quelques minutes plus tard.

    Une enveloppe pour la famille de Nafissatou Diallo
    Selon le New York Post, l'entourage de Dominique Strauss-Kahn aurait proposé à la famille de la plaignante une somme d'argent pour mettre fin aux ennuis judiciaires de l'ex-directeur du FMI.

    La somme d'argent serait un nombre à sept chiffres selon une femme d'affaires américaines proche de DSK. «Il va s'en sortir. Il retournera en France et n'ira pas en prison. La femme de chambre va avoir beaucoup d'argent», a-t-elle ainsi précisé au New York Post. (mdv)


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  • Seneweb NewsLetter
    source: Le populaire

    Ce n'est pas simplement le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye qui sait faire des révélations, déclarant publiquement que Landing Savané recevait 30 millions par mois de Me Wade. Amath Dansokho, allié de Me Wade, à un moment donné, est monté au créneau, à son tour, pour faire des révélations fracassantes. Il a avancé que Me Wade recevait 5 millions chaque week-end de Abdou Diouf.

     

    Monsieur Dansokho, le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye a fait des révélations sur Landing Savané en déclarant publiquement que Me Wade lui donnait 30 millions par mois pendant 10 ans. Avez-vous bénéficié de cette faveur ? 
    Je vous dit tout de suite que je n'ai jamais demandé de l'argent à Wade, pendant tout le temps que j'étais là-bas. Wade avait accordé une allocation aux ministres à hauteur de 10 millions, à l'époque, pour aller en vacances. J'étais encore en fonction, mais je n'avais rien reçu. Jamais, je ne lui ai demandé un sou. Je vais faire une révélation. Le jour où le gouvernement de l'Alternance a été formé et qu'on a fait la répartition des fonctions, Me Wade disait : «Ca, c'est pour moi et pour mon parti». À un certain moment, je lui ai dit : «Alors, nous, qu'est-ce que nous faisons ici ?». 

    Qu'est-ce qu'il voulait au juste, vous donner de l'argent ? 
    Non. Il a dit : «Si je vois un seul d'entre-vous prendre des commissions, je le dénoncerais à la radio et à la télévision. Si vous voulez de l'argent, si vos partis ont besoin d'argent, demandez au Premier ministre». Alors que ce dernier n'avait pas un sou. C'est-à-dire qu'il prévoyait une enveloppe, tout en disant qu'il est interdit de prendre des enveloppes. De toute façon, le journal Sud Quotidien avait révélé, en 2003, qu'il donnait de l'argent à ses alliés. Il avait même dit que c'était Landing, Bathily, Bassirou Sarr. 

    Ne pensez-vous pas que c'est l'argent du contribuable qui est en train d'être distribué comme ça ? 
    Mais c'est ça. 

    C'est dommage alors. 
    Mais oui, tout à fait. 

    Est-ce que vous ne pensez pas qu'il y a un problème de gestion de la clientèle politique ? 
    Ah oui ! De toute façon, c'est la philosophie de Abdoulaye Wade. Pour lui, l'argent public est celui de sa poche, il peut en disposer comme il veut. 

    Si Wade donne autant d'argent à des alliés, on peut à juste raison imaginer que ceux qui sont avec lui doivent être gâtés. 
    C'est un défaut qu'il avait avant même d'arriver au pouvoir. On dirait qu'il a une machine qui fabrique de l'argent dans ses poches. C'est le seul chef d'État qui fonctionne comme ça. Et d'ailleurs, il y a eu des scandales à Paris au tout début, entre lui et Pape Samba Mboup. Il disait : «Je t'ai donné de l'argent», l'autre répondait : «Tu ne m'as pas donné». C'était devant des gens du protocole français. 

    Vous avez été un compagnon de Wade du temps de l'opposition. Est-ce qu'il bénéficiait de faveurs de la part du président Diouf ? 
    Mais, Diouf lui a donné beaucoup d'argent, il n'y a pas de doute. Tous les week-end, il avait de l'argent. En ce moment, il était dans le gouvernement, il y avait des fonds politiques qui lui avaient été alloués. C'était la somme de 5 millions chaque week-end. Il ne l'a jamais dit, et il ne le dira pas. S'il veut, il me met en prison. Mais, c'est la réalité. Je n'invente rien contre lui. Dans son affaire avec la Sgbs, son endettement était de 300 et quelques millions. La Sgbs l'a exaspéré à cause de cette dette. Son acharnement contre la banque à son arrivée au pouvoir, c'était parce qu'il voulait se venger. 

    Peut-on savoir celui qui a aidé Me Wade à rembourser à l'époque cette dette ? 
    Diouf lui a donné un coup de pouce. Il avait même reçu l'argent pour payer, il n'a pas payé. Plusieurs fois, sa maison a failli être saisie. C'est Diouf qui l'a sauvé. Diouf avait l'élégance de ne pas faire de méchanceté, quoique l'autre se soit opposé à lui. Il l'a aidé. 


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    Six nouveaux joueurs ont été appelés par le sélectionneur de l’équipe nationale Olympique, Abdoulaye Sarr pour le match du deuxième tour des éliminatoires zone Afrique des Jeux Olympiques de Londres en 2012.

     

    Les Lions convoqués sont Alpha Bâ, Zarco Touré, Oumar Pouye, Mbaye Niang, Ibrahima Baldé et Kalidou Coulibaly.

     

    Les Lions Olympiques doivent rencontrer le 4 juin la Tunisie à Tunis. Sur les six nouveaux, quatre (Oumar Pouye, Mbaye Niang, Ibrahima Baldé et Kalidou Coulibaly) n’ont jamais été appelés dans une sélection de petites catégories. Les deux autres (Alpha Bâ et Zarco Touré) sont familiers des équipes nationales.

     

    Abdoulaye Sarr n’a pas convoqué les joueurs du Casa Sports qui ont récemment fait le déplacement en Algérie où les Olympiques ont disputé deux matchs amicaux.

     

    L’équipe nationale Olympique entame dimanche à 12 heures à l’hôtel Océan son stage de préparation.

     

     

     

    Voici la liste des 24 convoqués :

     

     Gardiens : Issa Ndiaye (Douanes), Ousmane Mané (Diambars), Cheikh Ahmadou Bamba Thioub (Niary Tally)

     

    Défenseurs : Alpha Bâ (Gantoise, Belgique), Saliou Ciss (Tromso IL, Norvège), El Had Sady Guèye (Diambars), Abdoulaye Bâ (Covilhna, Portugal), Zarco Touré (Boulogne, France), Mame Balla Diop (Pikine), Pape Ndiaye Souaré (Lille, France), Khassim Soumaré (Diambars)

     

     Milieux : Thierno Moukhtar Thioune (Touré Kunda), Pape Alioune Ndiaye(Diambars), Pape Macou Sarr (Jaraaf), Idrissa Gana Guèye (Lille, France), Fallou Diagne (Metz, France), Baye Oumar Niass (Ouakam), Oumar Pouye(Evian, France)

     

    Attaquants : Mbaye Niang (Caen,France), Dieylani Fall (Auxerre, France), Ibrahima Bâ (Numacia, Espagne), Moussa konaté (Touré Kunda), Kalidou Coulibaly (Metz, France) , Mamadou Touré (Touré Kunda).


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    BAOLTV EN LIVE

     

    Déclamation de Poemes ( wolof  ) par Abdou Lahad NDong à l'institut AL AZHAR  DE TOUBA NDAME  dimanche le 2205 2011 en presence des plusieurs personalites . Abdou Lahad NDong le grand poete Wolof du Baol a présenté plusieurs poemes . la ceremonie a été retransmis en directe sur BAOL-MEDIAS-CULTURE 
     

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     Source   MODOU DIOP THIAT

     


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  • Seneweb NewsLetter
    source: Wal Fadjri

     

    C’est dans une maison sobre située dans la banlieue ouest de Ziguinchor que nous avons rencontré hier la mère de Nafissatou Diallo. Encore sous le choc, les quelques mots qu’Adja Aïssatou Diallo a sortis, c’était pour manifester sa surprise de voir sa fille qu’elle qualifie de pieuse, respectueuse et de bonne mœurs citée dans une affaire de sexe.

     

    (Correspondance) - Depuis l’éclatement de cette affaire de viol qui a eu raison du désormais ex-directeur général du Fonds monétaire international, des tentatives se multiplient pour lever le voile sur l’identité de la victime présumée de Dominique Strauss Khan. Un exercice qui mobilise depuis lors de grands médias internationaux, mais pas seulement. Mais, si la Guinée Conakry, pays d’origine de Nafissatou Diallo, a attiré l’opinion dans cette recherche des proches et autres parents de la victime présumée de Dominique Strauss-Kahn, c’est au Sénégal que les traces de la mère de Nafissatou Diallo ont été retrouvées. Et c’est dans une sobre maison sise au quartier Soucoupapaye, situé dans la banlieue ouest de Ziguinchor que nous avons rencontré, pour la première fois, Adja Aïssatou Diallo. Il faisait 20 heures ce samedi 20 mai 2011. La soixantaine largement dépassée, la dame semblait disposée à répondre à nos questions, à nous parler de sa fille, Nafissatou. Seulement, la fatigue du voyage qu’elle venait de faire l’en dissuada. Il fallait donc revenir le lendemain. Nous avons compris qu’elle voulait prendre l’avis de ses enfants, dont certains vivent aux Etats-Unis avant de se prêter à nos questions.

     

    Le dimanche, à neuf heures, nous étions dans la cour de la maison. Mais, nous n’avons pas mis du temps à comprendre que quelque chose a changé entre temps. Il fallait toujours essayer d’arracher quelques informations. Une volonté qui nous a coûté un long moment d’exercice pour prouver la pertinence de notre démarche et convaincre du coup la vieille dame de nous parler de sa fille. Dans cette difficile tentative de ‘séduction verbale’, nous avons bénéficié d’un soutien de taille : celui de la petite sœur et non moins logeuse de Adja Aïssatou Diallo. Finalement, cette dernière finira pour accepter notre demande. Le visage bridé par le poids de l’âge, le cœur meurtri par cette histoire qui a mis sa fille sous les projecteurs du monde entier, celle que ses neveux appellent affectueusement Néné Aïssatou (tante Aiïssatou en langue Pulaar) finit par sortir quelques mots : ‘Je suis la propre mère de Nafissatou Diallo.’ L’information est lâchée. Mais, grande est la surprise de la dame de voir sa fille au cœur de ce scandale sexuel. ‘Je n’ai pas mis au monde une mauvaise femme’, s’est-elle empressée de préciser. A en croire la vieille, Nafissatou qui a habité un moment à Ziguinchor a eu une enfance calme, sans problème. Très jeune, elle a été donnée en mariage à un de ses cousins. De ce mariage naîtra une fillette qui vit en ce moment avec elle aux Etats-Unis. Mais, son mari décédera. Et c’est après son veuvage qu’elle rejoint sa grande sœur au pays de l’oncle Sam. Ce n’est que l’année dernière seulement que Nafissatou s’est remariée avec un Gambien. Le mariage a été célébré à Ziguinchor, dans la maison où se trouve en ce moment Adja Aïssatou Diallo.

    Depuis qu’elle a reçu l’information, la dame a perdu le sommeil. Et ses pensées sont allées vers le père de la présumée victime, mais aussi vers ses grands-parents que la vieille considère comme des savants. Aujourd’hui, Adja Aïssatou Diallo a l’impression que le sol se dérobe sous ses pieds. C’est pourquoi elle est pressée de rentrer dans son Thia Koullé natal en Guinée Conakry pour bénéficier du soutien de ses proches. Mais pour le moment, elle affronte le temps dans cette maison qui avait accueilli Nafissatou Diallo pendant un bon bout de temps en espérant que le problème aura bientôt un dénouement heureux


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  • Une semaine après un grand meeting des leaders de la Coalition Bennoo Siggil Senegaal à Ziguinchor, le directeur de campagne du candidat, Abdoulaye Wade et Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye a été sur leurs traces ce week-end. Très corrosifs, il a fait des révélations graves sur Landing Savané qui recevait tous les mois 30 millions de francs sans le partager avec aucun membre de son parti, sans le dire à personne.

     

     

     

     

    Le temps des grands déballages semble avoir sonné. Après Amath Dansokho sur une dette de 600 millions d’Abdoulaye Wade opposant d’alors, c’est Souleymane Ndéné Ndiaye qui monte au créneau pour «descendre en flamme» Landing Savané. Le directeur de campagne du candidat du pouvoir à la présidentielle de février 2012 a tenu meeting à Ziguinchor là où l’opposition réunie sous la bannière de Bennoo Siggil Senegaal s’était rassemblé pour contre attaquer avec véhémence. «Il y a quelques jours nous avons entendus tous ces petits plaisantins. Si le ridicule tuait, jamais Robert Sagna ne serait revenu ici avec ces petits plaisantins pour raconter les histoires», a clamé le Premier ministre.    S’attaquant directement et nommément à Landing Savané, il a martelé avec aussi la mort dans l’âme, a-t-il précisé, « Monsieur Landing Savané, voila quelqu’un qui incarne parfaitement l’ingratitude. Je vais vous raconter comme vous le savez, j’ai été directeur de cabinet du président de la République, pendant presque 10 ans, Landing Savané a reçu de mes mains ou des autres collaborateurs du président de la République 30 millions de francs tous les mois et jamais il n’a partagé cet argent avec ses camarades de And-Jëf. Personne ne le savait», a révélé Souleymane Ndéné Ndiaye galvanisé par une foule de militants avec à ses côtés Abdoulaye Baldé, Christian Sina Diatta, Georges Tendeng et autres responsables libéraux de la région de Ziguinchor. Jamais, a-t-il ajouté sur les ondes de la radio privée Sud FM, «c’est parce qu’il était collaborateur du président. Et dans sa générosité, le président avait estimé qu’il pouvait aider ce parti allié et non pas un homme mais jamais n’a révélé cela à ces camarades de And-Jëf».    Le directeur de campagne du président de la République de déplorer : «donc si aujourd’hui abandonné, laissé par Me Abdoulaye Wade et par ses militants, il vient rejoindre le camp des plaisantins et venir dire que c’est ici à Ziguinchor que nous perdrons les élections, je pense que lui aussi est en train de devenir un gros plaisantin. Mais je sais que vous autres qui êtes là depuis ce matin, depuis l’après midi et qui êtes restés encore là, vous ne croirez en rien dans ce que raconte ces plaisantins».


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    Les jeunes libéraux membres du Comité de liaison communale (CIC), de Ziguinchor, ont empêché Mamadou Lamine Massaly président du mouvement des jeunesses wadistes de tenir une conférence de presse qu’il a convoquée dès son arrivée samedi dernier dans la région méridionale. Les libéraux opposés à Massaly étaient sous la conduite de leur nouveau patron Lamine Bodian. Ils ont attendu la fin de la distribution du texte liminaire pour surgir et s’opposer fermement à toute intervention de l’organisateur. 

    Il s’en est suivi un tohu-bohu indescriptible, opposant les jeunes wadistes proches de Mamadou Massaly à ceux de l’UJTL conduits par leur secrétaire général Lamine Bodian. N’eut été l’intervention de certaines bonnes volontés, le pire allait se produire. Selon le journal l'Office, les jeunes libéraux de Ziguinchor déplorent le fait que Massaly soit venu dans leur région et dans leur ville pour tenir ses activités politiques sans prévenir. Pour la mise en cause il a laissé entendre qu’il a dépassé le temps de la polémique. Cela ne m’intéresse pas. S’ils ne travaillent pas moi je travaille, je n’ai pas besoin d’aviser qui que ce soit dans le Parti Démocratique Sénégalais », s’est exprimé M. Ma


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  • Maintenant qu’elle a été lancée sous les projecteurs de l’actualité, les détectives engagés par les avocats de Dominique Strauss-Kahn cherchent à découvrir des failles dans la vie de ND, la victime guinéenne de l’attaque sexuelle présumée de Strauss Kahn dans un hôtel de New York. L’ancien directeur général du FMI a été inculpé de viol et se retrouve en résidence surveillée dans un appartement de Broadway à New York et ses avocats préparent sa défense en cherchant entre autre à mettre en doute la crédibilité de la guinéenne. Selon les proches de la femme intérrogés par Guinéenews©, la tâche sera très dure pour les avocats et les admirateurs de DSK s’ils cherchent à « salir la réputation de la victime » afin de sauver leur héros. En effet, née dans une famille très pieuse de Lélouma et notable de la contrée, Mme ND a suivi un parcours très classique pour une jeune guinéenne : école coranique et école française. Mariée jeune, elle a eu un enfant avant de perdre son mari en 1997.

     Devenue veuve, Mme ND serait venue aux Etats-Unis seule vers 2004. Puis sa fille - qui vivait avec ses grand parents paternels - est venue la rejoindre en 2009. Initialement ND est restée chez sa soeur «de lait», Mme HD, au Bronx avant de voler par ses propres ailes pour se trouver son propre appartement qu'elle a obtenu par l'intermédiaire de Ghanaéns. ND a aussi un frère dans un autre État des Etats-Unis. Quoique son frère et sa soeur soient tous des universitaires, ND n’a pas poussé les études, mais parle et écrit le français et l’anglais affirment ceux qui la connaissent. Certes elle porte les foulards, mais « à la guinéenne » et non le burka ou le hijab comme certains journalistes ont écrit, précise-t-on. ND est pieuse et ne manque jamais ses prières car dit-elle, elle vient d’une famille «respectable» et ne veut pas attirer la honte envers ses parents, notamment sa mère (son père étant décédé), qu’elle vient d’envoyer dans un état voisin de la Guinée pour se reposer. Les deux d’ailleurs communiquaient et se voyaient via Skype. 

    « ND ne sortait pas et menait une vie exemplaire parce qu’elle tenait beaucoup à donner à sa fille une bonne éducation » explique MD à Guinéenews©. MD - elle aussi guinéenne - vit à quelques blocs de ND dans le quartier de Bronx. Comme ND, MD travaille dans un hôtel de Manhattan et est l’une des rares amies de la victime présumée de DSK. Les deux femmes partagent d’ailleurs le même forfait téléphonique cellulaire. Après avoir travaillé dans divers restaurants africains de Bronx et Harlem où elle a refusé plusieurs propositions de mariage, ND a trouvé un emploi comme aide de chambre dans le fameux Sofitel de Manhattan il y a 3 ans. « Elle y est allée parce que ça payait mieux et ND nous avait montrés le certificat d’employé modèle que l’hôtel lui a délivré il y a quelqiues semaines et dont elle était très fière. Ce certificat était même accroché dans son salon !

     C’ést une travailleuse exemplaire. Elle priait régulièrement et ne fréquentait pas le milieu social guinéen de New York c’est pourquoi peu de personnes la connaissent. Son horaire quotidienne était le travail, puis aller chercher sa fille - qu’elle a confié à une autre femme peuhle du quartier avant de rentrer chez elle. De temps en temps, elle venait à la maison où nous discutions pendant des heures sur la vie en général. Elle habitait dans un immeuble voisin et avait très peu d’amis sinon je l’aurais su. On ne se cachait rien. » « Quand mon mari m’a appelé le dimanche pour me dire qu’il y a eu un scandale sexuel à l’hôtel où travaillait ND, je ne pouvais jamais penser qu’il s’agirait d’elle. Le soir je l’ai appellé sur son téléphone et sans réponse, je suis allée à son domicile à Bronx et c’est là-bas que j’ai vu la meute de journalistes devant sa porte », explique MD à Guinéenews. Pour cette amie qui continue à communiquer avec ND via SMS, « ils pourront chercher jusqu’à se fatiguer mais ils ne pourront trouver aucun scandale sexuel ou autre sur cette femme. Ce qu’elle a dû dire aux policiers c’est la vérité absolue ! ».

     MD dit qu’elle a été indignée des propositions de plusieurs personnes qui connaissaient leurs relations de leur passer les photos de ND afin qu’ils puissent les vendre à la presse. Les photos qui sont sorties sur Internet ne sont pas celles de ND qui est élancée, teint clair et très belle. « Dire qu’un peul gambien venait de déposer des colas à sa famille pour l’épouser et avant ça, elle avait repoussé tellement de prétendants car c’est une femme très belle, élancée typiquement guinéenne. Je suis catégorique, ce n’est pas une femme qui peut utiliser son charme pour piéger quelqu’un. Si elle dit qu’on l’a violé, c’est que vraiment elle a été attaquée », conclut MD. ND a envoyé un SMS ce matin dans lequel elle dit en anglais : « J’ai la conscience tranquille et malgré ce que tu lis sur moi dans la presse, quand la vérité se saura, tu seras fière de moi. »


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  • Seneweb NewsLetter
    source: AFP

    Le président ivoirien Alassane Ouattara a annoncé dimanche que Guillaume Soro serait reconduit comme Premier ministre et formerait un gouvernement d`union nationale dans les prochains jours, lors d`un entretien sur France 24 et Radio France Internationale (RFI).

    Entre les deux tours de la présidentielle, Alassane Ouattara avait promis que le poste de Premier ministre reviendrait au Parti démocratique de Côte d`Ivoire (PDCI) d`Henri Konan Bédié.

    "Avec le président Bédié, nous considérons que Guillaume Soro fait du bon travail, que la situation est encore fragile, que nous avons besoin de lui, nous souhaitons qu`il continue et il a accepté de continuer. C`est lui qui formera le prochain gouvernement", a expliqué M. Ouattara.

    "Je tiendrai mes engagements (envers le PDCI, ndlr) le moment venu, mais ce n`est pas le moment", a-t-il ajouté. Le PDCI d`Henri Konan Bédié, arrivé troisième lors du premier tour du scrutin présidentiel, avait apporté dans l`entre-deux-tour un soutien décisif à Alassane Ouattara.

    Guillaume Soro conservera également le portefeuille de la Défense, a précisé M. Ouattara.

    Leader des Forces nouvelles qui avaient échoué à renverser Laurent Gbagbo en 2002 mais occupaient depuis lors le nord du pays, Guillaume Soro, 38 ans, était devenu Premier ministre de Gbagbo à la faveur de l`accord de paix de 2007.

    Il avait dès le début de la crise politique née du refus de Laurent Gbagbo de reconnaître sa défaite à la présidentielle de novembre 2010 choisi Ouattara, qui l`a maintenu à la Primature (poste de Premier ministre).

    Alassane Ouattara a aussi émis le souhait que des membres du parti de Laurent Gbagbo entrent dans son futur gouvernement d`union nationale.

    "Je suis en discussion avec des éléments modérés du Front populaire ivoirien, je souhaite qu`ils fassent partie de mon gouvernement", a-t-il indiqué.


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