• Rama Yade est mariée à Joseph Zimet, un français d'origine juive. Zimet est historien. Un couple d'intellos.


    Photos : Voici Rama Yade avec son mari, Joseph Zimet
     

     

    Photos : Voici Rama Yade avec son mari, Joseph Zimet
     

     

    Mardi 31 Mai 2011 - 12:04

     


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  • Un sénégalais condamné à deux mois de prison ferme pour usage de faux papiers en France
    Jugé en comparution immédiate, hier, Babacar, avait à répondre d'usage de faux documents administratifs et de séjour irrégulier sur le territoire français.
    C'est vendredi, que ce ressortissant sénégalais de 26 ans a été interpellé en mairie de Carcassonne, alors qu'il venait récupérer une carte d'identité, dont il avait fait la demande sous un faux nom, avec de faux documents administratifs tels que des factures EDF. Une enquête plus approfondie des services de police a alors permis de savoir que Babacar était arrivé dans la région parisienne en octobre 2006, sous le statut d'étudiant étranger. Un statut qui lui permettait alors de séjourner temporairement en France, à moins de faire une demande ultérieure pour un titre de séjour."C'est une erreur. Je n'étais pas conscient de la peine encourue en faisant ça !", a expliqué le prévenu au tribunal. "Mais qu'est-ce qui vous a motivé ?", s'est interrogée la présidente Caroline Duchac. "Je ne voulais pas m'enfermer chez moi après le travail. Je voulais être libre. C'est comme ça qu'on m'a présenté un mec sur Paris, qui m'a proposé de faux papiers pour 3 000 euros. Il m'a fourni tous les documents et m'a demandé de me rendre à Carcassonne pour récupérer ma carte d'identité."
    Il faut dire qu'après une licence en économie, Babacar avait arrêté ses études, après avoir décroché un CDI pour un emploi de préparateur de commandes dans une grande surface.
    Après avoir évoqué l'existence des réseaux de faux papiers sur Paris, la vice-procureur, Brigitte Etchegoinberry, a requis 6 mois d'emprisonnement et une interdiction de séjourner en France durant trois ans. Plus clément, le tribunal a condamné Babacar à deux mois de prison. Son maintien en détention a été prononcé.

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  • C'est le petit voyou de la République
    COMMENTAIRE. Une véritable clameur s'est levée autour de Aliou Sow, qui est devenu depuis lundi 30 mai, le criminel en chef. Par sa simple faute et par une décision très impopulaire, il a été le principal responsable d'un acte barbare et sans fondement régalien. Depuis, hier, le jeune homme fidèle à sa réputation est en train de tout faire pour "parler de légitime défense". Ce garnement sans moral veut faire accréditer la "thèse de manifestants armées". Mais personne, je dis personne au sommet de l'Etat, ne croit à de tels mensonges. Il a été le principal instigateur de cette violence. Au lieu de demander pardon et de regretter ce qui vient de se passer, il persiste dans la mauvaise voie. C'est un criminel de sang. D'apprenti sorcier, il essaie maintenant de jouer au petit voyou. Mais, il oublie que tout bandit a une fin de parcours...

    Par El Malick SECK

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    Seneweb NewsLetter
    source: Seneweb.com

    Le chef de cabinet du président de la République, Pape Samba Mboup, déclare qu’il ne possède ni terrain, ni propriété aux Almadies. Il réagit aux propos d’Amath Dansokho, selon qui « Wade a donné une parcelle à sa fille, une autre à son fils, une autre à sa femme, une parcelle à lui-même, une parcelle prétendument au roi du Maroc, une parcelle à Pape Samba Mboup et une parcelle à Kader Sow ». 

     

     

    Réagissant à ces propos, M. Mboup déclare : « Je respecte beaucoup Dansokho. Même si je subis des pressions pour le traîner en justice, je ne le ferai pas en raison du compagnonnage qu’on a eu ensemble. Mais je voulais le démentir formellement, car ce qu’il a affirmé est faux. Moi, en tout cas, je n’ai aucun terrain aux Almadies. Je ne suis pas dans les affaires foncières. Ma maison, c’est là où j’habite. Je n’ai ni terrain, ni propriété aux Almadies. Je demande seulement à Dansokho de vérifier ses sources la prochaine fois, avant de faire certaines déclarations. Voila. »


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    Seneweb NewsLetter
    source: Wal Fadjri

     

    Après avoir envoyé sur le terrain une délégation dès la survenue des événements, la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’Homme (Raddho), d’Amnesty International/Sénégal (Ai/Sénégal) et de la Ligue sénégalaise des droits de l’Homme (Lsdh) sont convaincus que c’est le commandant de la brigade de gendarmerie de Sangalkam qui a froidement abattu Malick Bâ.

     

    ‘Malick Bâ vient allonger la liste macabre des meurtres des forces de sécurité, froidement abattu par le Commandant de la Brigade de gendarmerie de Sangalkam’. L’accusation de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’Homme (Rddho), d’Amnesty International/Sénégal (Ai/Sénégal) et de la Ligue sénégalaise des droits de l’Homme (Lsdh) et elle est contenue dans un communiqué commun. Ces organisations ont envoyé immédiatement une équipe à Sangalkam dès qu’elles ont été alertées. Et, poursuit le communiqué commun, ‘la délégation a rencontré le commandant adjoint le Major Matar Kane, le président du Conseil rural de Sangalkam Omar Guèye, la famille de la victime et plusieurs personnes présentes sur les lieux’. Et des informations recueillies sur place, il ressort que ‘le jeune maçon de 30 ans, père de famille de trois enfants dont des jumeaux âgés de 4 ans, qui vient d’allonger la série macabre des meurtres impunis des forces de sécurité’ a été ‘froidement abattu par le Commandant de la Brigade de la gendarmerie’. ‘Le processus électoral de 2012 vient ainsi d’enregistrer son premier mort à Sangalkam’, se désolent les Ong.

     

    Indépendamment de la mort du jeune Malick Bâ, on compte, d’après leur communiqué, ‘deux personnes grièvement blessées et évacuées à l’hôpital Youssou M’Bargane Diop de Rufisque ; plusieurs blessés, évacués au poste de santé de Sangalkam ; trois personnes arrêtées, dont Mamadou Diop, secrétaire particulier de président du Conseil rural de Sangalkam, et Ablaye Dramé, ouvrier agricole’.

    La Rencontre africaine pour la défense des droits de l’Homme, Amnesty International/Sénégal et la Ligue sénégalaise des droits de l’Homme ‘expriment leur profonde préoccupation face à la récurrence des meurtres commis par les forces de sécurité et qui demeurent impunis ; expriment également leur forte indignation face à la tragédie de Sangalkam qui vient de frapper encore une fois les gens d’en bas et les gens sans voix ; condamnent sans appel l’usage de balles réelles par les forces de sécurité pour réprimer les manifestations ; exigent l’ouverture immédiate d’une enquête judiciaire pour faire toute la lumière et qui doit aboutir forcément à l’arrestation et au jugement des coupables ; invitent solennellement le président de l’Assemblée nationale à créer une Commission d’enquête parlementaire sur la torture et la récurrence des meurtres impunis commis par les forces de sécurité ; demandent de rapporter tous les décrets sur la délégation spéciale pour éviter des tensions politiques inutiles et


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  • À l’origine, le charcutage de la déclaration finale

    Le refus de Landing Savané et Macky Sall d’apposer leur signature sur la déclaration finale de Benno Siggil Senegaal (Bss), lors du Séminaire de samedi dernier n’est que la partie visible de l’iceberg. Selon des sources concordantes, un principe essentiel de ladite déclaration a bizarrement sauté du texte final soumis avant-hier aux participants de la rencontre. Or ce principe, pourtant contenu dans le document initialement avalisé par la Conférence des leaders, veut que le futur Président de transition encore moins son parti, ne puissent être candidats à la présidentielle qui suivra celle de 2012, en cas de chute du régime libéral. Or, si cela n’est pas corrigé, il n’y a aucune chance qu’Amath Dansokho et Cie réussissent à vaincre leur signe indien qui est l’épineuse équation du candidat unique de Bss.

     On ne sait pas pourquoi ni comment, mais le point le plus important a été élagué de la déclaration finale de Benno Siggil Senegaal signée avant-hier par les camarades d’Amath Dansokho, à l’exception bien sûr de Macky Sall et Landing Savané. En effet, selon des sources concordantes, le principe essentiel qui veut que le futur candidat unique de l’opposition, une fois élu président de la République au soir du 26 Février 2012 pour assurer la transition, ne puisse jamais être candidat à sa propre succession, ne figure pas dans ladite déclaration. Lequel principe exige également qu’en cas de chute du régime libéral, le Parti du président de transition ne pourra guère prétendre à présider aux destinées du pays, à l’élection qui sera organisée après celle de 2012. 

    Si ce manquement n’est pas corrigé dans la déclaration finale rendue publique avant-hier, rien ne garantit que le président de transition renoncera à être candidat à sa propre succession, une fois son mandat bouclé. Tout comme rien ne s’opposerait, après ladite transition, à ce que la famille politique du président de transition cherche à briguer les suffrages des Sénégalais. Ce qui ouvrirait la porte à toutes sortes de dérives. Car l’appétit venant en mangeant, le futur président de transition pourrait être tenté de s’accrocher au Pouvoir et ne pas respecter son serment.

    Pourtant, ce point crucial figurait dans le document initial validé en Conférence des leaders

    S’agit-il d’une omission ou d’une suppression à dessein ? A-t-on biffé ce point fondamental à la dernière minute, si l’on sait qu’il était contenu dans le document initial sur lequel avait travaillé Benno avant le Séminaire du 28 mai ? Mystère et boule de gomme. En tout cas, ce qui est sûr, c’est que ce point essentiel est l’une des conditions sans lesquelles les leaders de Benno auront du mal à s’accorder autour d’un candidat unique. 

    Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, certains participants au Séminaire avaient, selon toujours nos mêmes sources, attiré l’attention de leurs camarades sur l’absence de ce point fondamental. Mais, dit-on, on ne sait par quelle alchimie, cela n’a pas été discuté. Même si les débats ont été plutôt orientés vers l’Alliance pour la République et And-Jëf/Pads. Qui, lors de la rencontre de samedi dernier, avaient refusé de signer la déclaration finale.

    À en croire nos interlocuteurs, si ce principe a sauté de la déclaration finale, c’est parce que certains leaders ne sont pas, jusqu’à ce jour, tombés d’accord sur le fait que le Président de transition et son parti ne puissent pas être candidats à la présidentielle qui suivra le scrutin de 2012. Autant dire que Benno est loin de voir le bout du tunnel, dans sa quête effrénée d’un candidat unique.

    Daouda THIAM


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  • La Ligue sénégalaise des droits humains exige une enquête, Amnesty accuse Wade

    Trop, c’est trop ! Après la mort du jeune Malick Bâ qui a reçu, selon des témoins, une balle réelle qui ne lui a laissé aucune chance de survie, les Associations de droits de l’homme se sont levées pour exprimer leur indignation. Si du côté de la Ligue sénégalaise des droits de l’homme, il faut situer les responsabilités et sanctionner, pour le représentant de la Section sénégalaise d’Amnesty international, il ne faut pas chercher loin, le seul responsable, c’est Wade.

     « Jamais, je ne marcherai sur des cadavres pour accéder au Palais présidentiel », avait dit Wade, lors des joutes électorales de 1998. Des années plus tard, alors qu’il est à la tête du pays, des pertes en vies humaines sont enregistrées, suite à des manifestations de citoyens qui se retrouvent matés par les forces de l’ordre. Hier encore, Malick Bâ a perdu la vie, « tué », selon certains témoins par une balle réelle tirée par les forces de l’ordre. Son seul tort, c’est d’avoir participé à la manifestation des habitants de Sangalkam contre la mise en place de la délégation spéciale, une idée de Wade qui a voulu le découpage de la Communauté rurale de cette localité. 

    Coordonnateur de la Ligue sénégalaise des droits humains (Lsdh), Me Assane Dioma Ndiaye condamne cet acte et exprime son « exaspération » devant ce qui paraît, à son avis, « surprenant ». Car, selon le défenseur des droits de l’homme, il n’est pas fréquent que les forces de l’ordre usent de balles réelles dans leurs interventions. « On ne pouvait imaginer qu’au Sénégal, on pouvait franchir le cap », dit-il. Avant de poursuivre : « c’est un sentiment d’indignation, d’exaspération et de stupéfaction. On n’avait jamais pensé qu’au Sénégal, avec tous les combats qu’on a menés, on arriverait à des situations où des forces de l’ordre pouvaient utiliser des balles réelles contre une population désarmée ». 

    La Lsdh prévoit un vaste rassemblement avec la Raddho et Amnesty 

    Toutefois, Me Assane Dioma Ndiaye et ses camarades comptent hausser le ton. D’abord, ils exigent une enquête indépendante et impartiale pour l’élucidation de la mort du jeune Malick Bâ. Il faut nécessairement, de l’avis du coordonnateur de la Lsdh, que « les responsabilités soient situées et que la justice fasse rapidement son travail ». Le défenseur des droits de l’homme de prévenir : « nous n’excluons pas de porter le combat au niveau international, des droits de l’homme des Nations unies pour l’usage disproportionné et non conventionnel des armes par les forces de l’ordre ». 

    Ensuite, dit-il : « la Ligue sénégalaise des droits humains, main dans la main, avec Amnesty international et la Raddho, va tenir, dans les plus brefs délais, une conférence de presse. Mais ceci n’est qu’un préalable, car la prochaine étape est la grande marche contre les « dérives des forces de l’ordre et surtout l’impunité qui est érigée en méthode de gestion », fustige le coordonnateur de la Lsdh. Tous les hommes épris de liberté et de justice seront d’ailleurs invités à cette marche. 

    Amnesty accuse, la Gendarmerie se défend

    Aux côtés de leurs camarades de la Lsdh, la Section sénégalaise d’Amnesty international a condamné vivement ce qu’elle appelle le « meurtre par les gendarmes » du jeune Malick Bâ. N’y allant pas par quatre chemins, Seydi Camara accuse directement Wade. « Wade doit en porter l’entière responsabilité », indique-t-il. L’accusation portée contre Wade n’est pas fortuite, car, de l’avis du représentant d’Amnesty au Sénégal, c’est Wade qui a décidé le découpage de la Communauté rurale de Sangalkam. Afin d’y placer une délégation spéciale contre la volonté des administrés, et c’est encore Wade qui a voulu empêcher la manifestation, en y envoyant les gendarmes pour les réprimer. 

    Toutefois, de son côté, la Gendarmerie tente sinon de dégager sa responsabilité, du moins de l’atténuer. Dans un communiqué lu sur les ondes de la Rts, le chargé de communication de la Gendarmerie soutient que, c’est face à des attaques de plus violentes de la population et à cause de leur petit nombre que les éléments en place, qui n’avaient pas encore le soutien des renforts, ont tiré sur la foule pour la disperser, mais aussi pour sauver leur vie.

    Alassane DRAME


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  • Une situation qui n’est pas du goût des travailleurs réunis au sein du Syndicat unique des travailleurs de l’électricité, c’est celle sévissant à la Senelec.

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  • Quelques heures après le drame qui s’est produit à Sangalkam, la gendarmerie nationale a tenu une conférence de presse pour donner sa version des faits. En effet, accusés d’avoir tué le jeune Malick Bà, les pandores ont défendus la thèse de la légitime défense.

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  • LERAL.NET - Les évènements tragiques de Sangalkam avec la mort d’un jeune du nom de Malick Bâ sont partis pour faire des dommages collatéraux Et côté des officiels.

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  • Les couleurs et les goûts ne se disputent guère a-t-on l’habitude de dire. Les rats des boîtes de nuit ont tournés le dos aux soirées de salsa, cabo ou autres de ce genre au détriment de notre « leumbeul » Nationa

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  • Homosexualité chez les Indomptables.

    LERAL.NET - Les contre-performances sportives des lions indomptables en 2010 à la coupe du monde en Afrique du Sud on été passées au crible par la présidence de la république.

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  • La frange la plus représentative de l’opposition sénégalaise réunie dans la coalition Benno Siggil Senegal franchit un nouveau palier dans son combat contre l’impunité au Sénégal.

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  • Lundi macabre à Sangalkam - Le manifestant tué s’appelle Malick Bâ (Vidéo)

    Les populations de la communauté rurale de Sangalkam, sont encore sorties de leur maison ce lundi matin pour déloger la nouvelle délégation spéciale conduite par le sociologue Aly Khoudia Diao. Une manifestation organisée par les jeunes de cette communauté rurale a été réprimé par les forces de l’ordre. Un jeune homme gravement blessé aurait succombé de ses blessures.

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  • Gouye-Gui de l'école Mor Fadam a battu Amanekh Seck de l'écurie Lébougui. Le combat était plutôt un règlement de compte entre les deux lutteurs car Gouye-Gui a été traité de débutant par Amanekh Seck lors de leur signature de contrat. Et le « Roi du Simpi » avait décidé de lui prouver le contraire le jour du combat. Déjà le 24 avril lors de la première rencontre pour la signature de contrat, ils s'étaient tous déversés du sable dessus, signe de leur détermination. La pression a été du côté de Gouye-Gui qui avait perdu son dernier combat face à Zoss (écurie Zoss) le 13 février dernier alors que tout le monde le donnait pour favori. Pendant ce temps, Amanekh Seck prenait le dessus sur Boy Niang 2 à qui il a infligé la 1ère défaite le 27 février, jour du combat Bathie Séras / Rock Mbalakh.



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    Seneweb NewsLetter
    source: Ferloo.com

    Des experts du Sénégal et de l’Union africaine (UA) ont entamé lundi une réunion sur la création de la Cour internationale ad hoc appelée à juger pour crimes contre l’humanité l’ex-président tchadien Hissène Habré, réfugié à Dakar, a appris l’AFP de sources concordantes.« Les organisateurs ont tenu à ce que les travaux se déroulent à huis clos » dans un hôtel dakarois, a indiqué un responsable sénégalais, ce qu’a confirmé une des organisations de défense des droits de l’Homme appuyant les victimes du régime d’Hissène Habré (1982-1990).La réunion devrait être ouverte à la presse à son dernier jour, vendredi, a-t-on précisé de même source.

    Les « techniciens » rassemblés à Dakar étudiaient notamment « les conclusions de la première réunion » tenue en mars à Addis Abeba sur cette juridiction spéciale et un « projet d’accord » entre les parties, selon le responsable sénégalais.Dans un communiqué publié le 27 mai, une coalition d’ONG a expliqué que la rencontre de Dakar devait permettre « de négocier et signer les textes fondateurs de la future Cour internationale ad hoc au Sénégal », évoquant un « projet de Statut fortement remis en cause par des organisations de défense des droits de l’Homme ».« Les exigences du Sénégal avaient donné lieu en mars à un projet de Cour coûteux, peu maniable, et en définitive inopérant », avait affirmé dans le communiqué Mme Jacqueline Moudeina, présidente de l’Association tchadienne pour la défense des droits de l’Homme (ATPDH).

    « Nous attendons maintenant une solution réaliste, dans les limites des ressources budgétaires existantes, qui permette la mise en oeuvre immédiate de la Cour », avait-elle ajouté.A l’issue de la réunion d’Addis Abeba, l’UA avait affirmé que les procédures relatives à la Cour internationale ad hoc se conduiraient « sur la base des ressources (financières) mobilisées lors de la table ronde des bailleurs » organisée à Dakar en novembre 2010.La communauté internationale avait alors promis des contributions de 8,5 millions d ?euros pour financer le procès.En 2006, l’UA avait demandé au Sénégal de juger Hissène Habré « au nom de l’Afrique » pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité et torture, ce que le président sénégalais Abdoulaye Wade avait accepté, mais aucune information judiciaire n’a été ouverte.



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  • Seneweb NewsLetter
    source: Webnews

    Mouammar Kadhafi "n'est pas prêt à quitter la Libye, malgré les difficultés", et entend contribuer à la recherche d'une solution politique au conflit, a déclaré mardi le président sud-africain, Jacob Zuma, de retour d'une mission de paix à Tripoli.Le colonel libyen, au pouvoir depuis 1969, "a insisté" sur ce point, précise dans un communiqué le chef de l'Etat sud-africain, qui a rencontré lundi le "guide de la révolution" dans la capitale libyenne.Mouammar Kadhafi est disposé à rechercher une solution politique au conflit dans son pays mais réclame un cessez-le-feu et l'arrêt des frappes de l'Otan "afin de permettre un dialogue interlibyen", a déclaré Jacob Zuma, ajoutant:

     "La sécurité personnelle du colonel Kadhafi est une source de préoccupation."Le mois dernier, à l'issue d'une première médiation de Zuma en Libye au nom de l'Union africaine, l'Alliance atlantique avait rejeté un précédent appel de Kadhafi à la fin des raids de l'Otan, lancés au mois de mars.Jacob Zuma a été conduit lundi dans les rues de Tripoli où il a pu constater les dégâts causés depuis deux mois par les bombardements de la coalition.Les Occidentaux refusent de mettre fin à leur campagne tant que le colonel libyen sera au pouvoir.Peu après le départ du président sud-africain de Tripoli, les raids ont d'ailleurs repris. La télévision libyenne a rapporté que des avions de la coalition avaient bombardé des sites militaires et civils à Tripoli et à Tadjoura, à l'est de la capitale.Pour Jacob Zuma, une solution durable au conflit libyen ne pourra être trouvée que par un dialogue entre toutes les parties.

    Dans un autre communiqué, les autorités sud-africaines précisent que le président s'est entretenu avec Kadhafi du sort du photographe de presse Anton Hammerl, 41 ans, qui aurait été tué le 5 avril lors des combats près de la ville de Brega, dans l'est du pays. Tripoli s'est engagé à rechercher le corps de Hammerl, qui avait la double nationalité autrichienne et sud-africaine.L'Otan, qui commande depuis la fin mars sous mandat de l'Onu des opérations militaires en Libye destinées officiellement à protéger les populations civiles de la répression, intensifie depuis plusieurs jours ses frappes sur Tripoli. Le complexe de Bab al Aziziah, QG de Kadhafi dans le centre de la capitale, est régulièrement visé.


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  • Seneweb NewsLetter
    source: Le Figaro

     

    DOCUMENT - Le Sénégal est, après la Gambie, le premier pays africain à reconnaître la légitimité des rebelles libyens.

    «La seule solution pour arrêter les combats et les violences est que Kadhafi parte» : samedi, au lendemain duG 8 de Deauville, auquel il participait, Abdoulaye Wade a affiché son choix, reconnaissant le CNT comme seul représentant légitime du peuple libyen. Une position en décalage avec nombre de capitales d'Afrique qui comptent encore avec Mouammar Kadhafi.Tandis que l'Union africaine (UA) avance sur un fil, relançant une médiation délicate pour tenter de rapprocher les protagonistes libyens, le président sénégalais, lui, met les pieds dans le plat. En reconnaissant, la semaine dernière, la légitimité des rebelles, le Sénégal est le premier pays africain à franchir le pas, après la Gambie.

    Une décision mûrie de longue date. Le 9 mars dernier, dans une conversation téléphonique dont Le Figaro a obtenu la transcription (lire ci-dessous), Wade a pris ses distances avec le dirigeant libyen qu'il accable de remontrances. La veille, Kadhafi avait déjà tenté de joindre son homologue sénégalais qui est de passage à Paris. À la veille d'une réunion de l'UA à Addis-Abeba, le Guide, téléphone tous azimuts aux Africains pour les enjoindre de se mobiliser contre la résolution 1970, votée le 27 février par le Conseil de sécurité et qui impose de lourdes sanctions contre Tripoli. Mais Wade ne s'en laisse pas compter : il presse le Libyen de proclamer un cessez-le-feu unilatéral. Son interlocuteur rechigne. Il appelle également Kadhafi à rapatrier ses avoirs placés hors d'Afrique et investir utilement sur un continent «qui crève de faim».

    À la différence des pays sahéliens, Dakar ne bénéficie guère de la manne financière libyenne. C'est l'une des raisons expliquant le «revirement» de Wade sur la Libye, souligne un diplomate. «Wade n'a jamais voulu se laisser enfermer dans les positions de l'UA, il fait entendre sa petite musique», ajoute cette source.

     

    Le vieux président - il est âgé officiellement de 85 ans - est candidat à sa propre succession en 2012. Le 19 mai, il a reçu à Dakar deux émissaires du CNT. À leur sortie, un communiqué, soulignait la nécessité du départ de Kadhafi, reconnaissait l'opposition et proposait une conférence nationale. Peu avant les deux envoyés libyens, l'ambassadeur de France au Sénégal, Nicolas Normand, était reçu en audience au palais…

     

    Verbatim

    «On a vu l'armée libyenne tirer sur les civils : c'est inacceptable»

     

    - Abdoulaye Wade : … Hier, votre premier ministre m'a appelé. Vous vouliez me dire quelque chose ?

     

    - Mouammar Kadhafi : Oui, je voudrais demain que la prise de position africaine soit très forte pour qu'on mette un terme aux ingérences étrangères (…) et qu'on puisse arrêter les convoitises coloniales. Comme vous le savez, il y a des cellules dormantes d'al-Qaida qui se sont infiltrées en Libye petit à petit. (…) Actuellement, (...), ces bandes ont envahi la région de Benghazi. Ils ont attaqué les prisons et libéré les prisonniers. (…) Elles ont armé ces gens-là. Elles ont choisi des jeunes gens et leur ont distribué des cachets hallucinogènes. (…) Elles ont capturé des avocats, des officiers comme otages et elles leur ont demandé de mettre en place un Conseil à Benghazi. (…) Il faut que l'Afrique prenne une position très forte pour qu'elle mette un coup d'arrêt aux Américains, aux Britanniques et aux Français (qui) ont des convoitises par rapport au pétrole.

    - A. W. : Je vous remercie pour les explications que vous venez de me donner. Je voudrais vous dire que les membres du Conseil de paix et sécurité de l'Union africaine ne sont pas par nature hostiles à la Libye. (Mais) quand vous allumez la télévision, vous voyez des images de l'armée libyenne qui tire sur les civils. Ce sont des procédés absolument inacceptables. Cela me fait mal au cœur (…) On ne va pas me dire que les journalistes ont inventé cela !

    - M. K. : Cela ne s'est pas produit de la sorte… il s'agit de la résistance contre les bandes armées uniquement…

    - A. W. : Je vais te dire mon sentiment, c'est que tu es avec des gens qui ne disent pas la vérité. Dans tous les pays, et pas seulement en Afrique, il y a des populations qui sont mécontentes. (…) Ces revendications, il faut les écouter (…). La Libye a les moyens de les satisfaire grâce aux milliards de dollars que vous gardez comme cela à l'extérieur alors que les populations de la Libye et de l'Afrique ont des besoins.

    - M. K. : Nous étions en train de répondre positivement à ces sollicitations… Il y a beaucoup d'investissements libyens en Afrique. La Libye est en train de bâtir l'Afrique.

    - A. W. : Les chefs d'État à qui tu donnes de l'argent ne te diront jamais la vérité. Quel est le chemin de fer qui a été fait par les Libyens ? Quelle route ou autoroute ? (…) Vous avez fait 30 kilomètres de route au Niger. (…) Il s'agit à présent d'arrêter les tueries. Il faut qu'on arrête cela. (…) Il faudrait que tu proclames le cessez-le-feu unilatéral.

    - M. K. : Si on arrête la résistance contre les bandes armées, cela ne va pas aller.

    - A. W. : (…)J'ai dit qu'il faut proclamer le cessez-le-feu pour 24 heures, (…) il faut faire le premier geste.

    - M. K. : Le Nigeria a bien combattu des groupuscules dans le delta. La Mauritanie a également combattu les groupes armés. La Russie a bien détruit la Tchétchénie !

    - A. W. : Moi, je n'ai de compte nulle part, dans aucun pays du monde. Il faut ramener les milliards de dollars en Afrique (qui) a besoin de chemins de fer, de routes, d'écoles…

    - M. K. : Monsieur le président, moi aussi je suis comme vous. Je n'ai pas d'argent à l'extérieur.

    - A. W. : Mais l'État libyen a de l'argent à l'extérieur…

    - M. K. : C'est vrai


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  • Macky Sall-Benno nous sommes, Benno nous resterons

    source

    Aissata Sall


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  • Binta Khouma se détourne de la coiffure et des "Khawaré", pour les affaires
     
    Ses doigts de fée lui permirent, très jeune, d’ouvrir un premier salon de coiffure à la Sicap rue 10. Il sera couru par toutes les riches beautés de la capitale sénégalaise. Elle en ouvrira d’autres. A l’époque, elle se distinguait dans toutes les soirées mondaines. Sa maison ne désemplissait jamais de laudateurs et chanteurs. Tous en repartaient avec des billets de Cfa. Que de trophées elle a raflé ! Mais avec la prolifération des salons de coiffure, qui dépréciera le métier, Bineta Khouma se reconvertira dans les affaires. Elle se ravitaille en Chine, à Taiwan, en Corée et à Dubaï. Depuis, elle évite toute sale de spectacles et s’est détournée des laudateurs. Comme Diouma Diakhaté, elle a compris que de l’argent bien et durement acquis, ne se jette pas par la fenêtre. Mme Diop n’a plus le temps que pour ses affaires et sa famille. Un modèle à imiter !

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  • Dimanche, 29 Mai 2011 10:47

    Sidy Bara Fall, le chef de cabinet de Modou Diagne Fada est monté au créneau vendredi à Kébémer au cours d'un meeting qu'il a présidé, pour s'attaquer à l'opposition. A en croire Mr Fall, sur la question des fonds politiques, c'est l'opposition qui veut transformer un problème politique en une débat stérile. "Les fonds politiques existaient depuis Senghor, en

     

    passant par le président Abdou Diouf ", souligne d'emblée le responsable libéral. Qui ajoute, " je rapelle que le président Senghor avait créé, à côté de ces fonds politiques là, le compte K2 ". A en croire le poulain de Modou Diagne Fada, le fameux compte servait aux amis du président poète dont la plupart était des personnalités politiques. Poursuivant ses explications, Mr Fall dira que " Abdou Diouf en accèdant au pouvoir a aussi consolidé ce fameux compte k 2". Non sans ajouter que " c'est seulement avec l'avènement de l'alternance, que ce compte a été supprimé par le président Wade qui a voulu simplement se contenter des fonds politiques que la loi lui conférait " Et Sidy Bara Fall de noter que tout le monde sait que Me Abdoulaye Wade avec de tels fonds politiques ne cessent d'aider les personnes necessiteuses, les associations sportives, les associations culturelles, les personnalités religieuses. " Alors quoi de plus normal pour un président de la république d'aider les partis politiques membres de la coalition qui l'a porté au pouvoir", s'interroge-t-il. Avant de tirer sur l'opposition, " c'est pour dire que ces gens de l'opposition ont voulu transformer un problème politique en une polémique et cela ne passera pas". Parce que pour lui, " tout cela n'est que peine perdue, si l'on sait que le président Wade a fini de montrer qu'il est majoritaire. C'est pourquoi, conclut-il, " je salue la constance et le courage de notre directeur de campagne le premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye qui a sifflé la fin de la récréation et qui a montré à l'opposition qu'il ne l'ébranle pas".

     

    NDiassé DIOP


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    De très jolis combats ont eu lieu , vendredi , à Mbacké sous la présence de Alla Sylla , responsable politique à Touba . Les lutteurs ont rivalisé d’ardeur devant un public venu nombreux harangué par la présence annoncée de Modou Lô , qui , malgré sa ponctualité n’a pas pu accéder au stade Nelson Mandéla , faute de sécurité .

     

    Le combat Wakhabaané contre Garga Mbossé 2 aura le plus attiré l’attention des spectateurs . En effet , au terme d’un combat de 20 minutes , les deux lutteurs n’ont pu se départager . Le match nul a été , finalement , prononcé , au grand désarroi des supporters de Garga Mbossé 2 , qui , exhibant l’oreille droite de leur combattant , se sont offusqués du fait que les arbitres n’aient pas attribué la victoire pour antijeu .

     

    Une demi-heure après le combat , le sang continuait de couler . Une situation qui a failli être à l’origine d’une bataille rangée entre les suites des deux lutteurs . Le gala a été marqué , par ailleurs , par un grand désordre , les forces de l’ordre ayant été dépassé par la furie de la foule . Constatant que la sécurité faisait , cruellement , défaut , Modou Lô se gardera bien d’un bain de foule .

     

    Amadou Moustapha Mbaye

     


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  • Dimanche 29 Mai 2011 - 13:20

    Il se prépare désormais aux Etats Unis le lutteur Balla Gaye 2. Avec ses amis sénégalais, il est bien imprégné de la vie new-yorkaise.

     

     

     

    Photos : Les images de Balla Gaye 2 aux Etats Unis
     

     

    Photos : Les images de Balla Gaye 2 aux Etats Unis
     

     

    Photos : Les images de Balla Gaye 2 aux Etats Unis
     

     

    Photos : Les images de Balla Gaye 2 aux Etats Unis
     

     

    Photos : Les images de Balla Gaye 2 aux Etats Unis
     

     

    Photos : Les images de Balla Gaye 2 aux Etats Unis
     

     

    Photos : Les images de Balla Gaye 2 aux Etats Unis
     

     

    Photos : Les images de Balla Gaye 2 aux Etats Unis
     

     

    Photos : Les images de Balla Gaye 2 aux Etats Unis
     

     

    Photos : Les images de Balla Gaye 2 aux Etats Unis
     

     

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    Photos : Les images de Balla Gaye 2 aux Etats Unis
     

     

     

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  • Me El Hadji Diouf maintient Dino Aïdara en prison
    Samsdine Kébanding Dino Aïdara, qui avait bénéficié d’une liberté provisoire accordée jeudi par la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Dakar, reste en prison. Cette situation découle de la décision du Parquet général de s’opposer à la libération de M. Aïdara. En effet, le Parquet général a décidé de se pourvoir en cassation. Seulement pour Me El Hadji Diouf, avocat de Dino Aïdara, ce pourvoi en cassation ne doit pas empêcher son client de bénéficier de la liberté provisoire. L’avocat estime que «quelqu’un qui bénéficie de la libération de la Cour d’appel dans toutes ses composantes, Chambre d’accusation (instruction), Cour d’assises ou Chambre correctionnelle, doit immédiatement être mis en liberté». Et de justifier : «Cela s’explique par le caractère sacré de la liberté de l’individu». «De la même façon, devant le Tribunal régional statuant en matière correctionnelle, quand un prévenu est relaxé, donc libéré, il recouvre immédiatement la liberté, même s’il y a appel de la part du Parquet», explique encore Me Diouf. L’avocat revient encore pour donner le cas d’un condamné à la peine capitale en Cour d’assises. Ce dernier, indique-t-il, «ne peut pas être exécuté, quand il y a un pourvoi en cassation». En Cour d’assises, «même si vous êtes acquitté, vous rentrez chez vous, en attendant que la Cour suprême se prononce sur le pourvoi en cassation, s’il y en a». «En matière d’instruction, s’il y a une libération décidée par la Chambre d’accusation de la Cour d’appel, le détenu rentre chez lui, en attendant l’arrêt de la Cour suprême, s’il y a un pourvoi en cassation du Parquet général», ajoute l’avocat. Le conseil de Dino Aïdara soutiendra plus loin : «Le caractère suspensif de l’appel et du pourvoi en cassation ne concerne pas les décisions de libération qui sont favorables à l’inculpé (rendues par la Chambre d’accusation de la Cour d’appel), au prévenu (Tribunal régional, Chambre correctionnelle), et à l’accusé (Cour d’assises).» Conséquences, selon Me El Hadji Diouf, «on ne peut pas retenir quelqu’un qui bénéficie d’une liberté provisoire de la part de la Cour d’appel (Chambre d’accusation ou Chambre correctionnelle). Donc, Dino Aïdara doit être libéré immédiatement. On ne doit pas le retenir pour attendre un délai de pourvoi en cassation (six jours)», qui est, d’après Me Diouf, «accordé normalement aux accusés condamné par la Cour d’assises. (Et dans ce cas), le pourvoi est suspensif de la décision de la Cour d’assises». Estimant que le maintien en détention de son client «ne se justifie pas», Me Diouf qui pense que la liberté n’a pas de prix, attire l’attention des autorités judiciaires «sur le danger qu’il y a à interpréter la loi qui donne la priorité à l’être humain et surtout la liberté». «L’un des piliers de la procédure pénale, c’est la présomption d’innocence. Une personne accusée est présumée innocente jusqu’à son jugement définitif», conclut l’avocat.

    mdiatta@lequotidien.sn
    Dimanche 29 Mai 2011 - 06:09

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  • L’opposition prône une candidature unique pour la présidentielle de 2012

    La principale coalition de l’opposition a décidé de présenter un seul candidat à la présidentielle de février 2012. Cette décision figure sur la résolution adoptée ce samedi 28 mai 2011 à l’issue d’une réunion. La coalition Benno Siggil Senegaal, qui regroupe 36 partis politiques, a par ailleurs validé sur son projet de constitution et son chronogramme pour 2012. Mais des voix discordantes au sein de la coalition ont rejeté cette résolution finale. Pour 2012, la priorité de l’opposition est la refonte des institutions de la République. Elle préconise une nouvelle constitution et la mise en place d’un régime parlementaire. Dans ce régime, le Premier ministre sera nommé par l’Assemblée nationale et aura une « responsabilité exclusive » vis-à-vis de cette institution. Pour y parvenir, la coalition Benno veut présenter un candidat du «rassemblement et de l’unité». Une fois élu, ce candidat assurera la direction du pays pour une période transitoire de trois ans, puis organisera de nouvelles élections présidentielle et législatives. Selon un militant de l’opposition, la résolution finale a été validée par acclamation. Si le texte a été majoritairement approuvé, certains partis ont exprimé des réserves et souhaitent décider ultérieurement leur engagement -ou non- pour ce programme. C’est le cas d’AJ/ PADS, le parti de Landing Savané. L’autre abstention provient de l’Alliance pour la République (APR), le parti de Macky Sall, qui n’a pas signé cette résolution mais affirme se maintenir dans la coalition. «L’APR ne peut pas endosser une position d’un accord central sur la candidature unique alors que cette question n’a pas fait l’objet de discussion » explique Seydou Guèye, le porte-parole de l’APR, qui rejette l’idée d’une période transitoire. Prochaine étape pour Benno: le choix du candidat. D’ici là, l’opposition devra rallier à sa cause ces partis qui ont exprimé des réticences son programme. tags: Sénégal.


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  • Après 50 ans de partenariat avec le gouvernement sénégalais l'heure est au bilan. L'Agence américaine pour le développement international (Usaid)/ organise une série de manifestations pour revisiter ses grandes réalisations mises durant cinq décennies dans notre pays. C'est dans ce cadre que, lors d'une conférence de presse tenue hier jeudi 26 mai à Dakar, le Directeur de l'Usaid révèle que de 1961 à 2010, son institution a investi 638 milliards de FCfa dans différents secteurs de développement au Sénégal.

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