• IDRISSA SECK EN TOURNEE AU DJOLOFF.Ce Samedi 17 décembre 2011,le leadeur du parti REWMI était parti visiter ses militants et sympatisants qui sont à Linguère.C'est à l'occasion du Gamou annuel de MbouIDRISSA SECK EN TOURNEE AU DJOLOFF.Ce Samedi 17 décembre 2011,le leadeur du parti REWMI était parti visiter ses militants et sympatisants qui sont à Linguère.C'est à l'occasion du Gamou annuel de Mbou

    IDRISSA SECK EN TOURNEE AU DJOLOFF.

    Ce Samedi 17 décembre 2011,le leadeur du parti REWMI était parti visiter ses militants et sympatisants qui sont à Linguère.C'est à l'occasion du Gamou annuel de Mboula, village situé à quelques kilomètres de Linguère que le maire de Thiés a rencontré ses militants du Djolof.En effet c'est aux environs de 12 heures que les populations de la cité religieuse de Merina Sy ont reçu l'ex-premier ministre avant  que celles d'une autre cité religieuse l'accueillent ,Ngéth.Le candidat de REWMI était dans ces cités pour rendre visite aux chefs religieux qui s'y trouvent.Après ces villages, la commune de Dahra a pris le relet.Par l'intermédiaire du représentant de REWMI à Dahra Aly Saléh DIOP,Idrissa SECK a étè chaleureusement accueilli  avec une forte mobilisation des jeunes et des femmes c'est d'ailleurs au domicile de son représentant qu'il a étè reçu.Pendant son arrivée à Dahra, le quartier qui a abrité l'accueil,Sara était envahi de monde.Prenant la parole, Idy a salué la mobilisation de Dahra et remercié Aly Saleh DIOP.Toutefois il s'est éxcusé devant l'assistance pour les petites minutes qu'il lui a accordé.Certains ont aussi jugé ce temps qui n'a pas fait 15 minutes insuffisant.Après Dahra ,Idy est allé à Mboula pour assister au Gamou du Samedi 17 décembre 2011.Y'en a qui trouvent que ces visites sont seulement des campages électorales voilées que les hommes politiques font ces temps-ci à l'approche des presidentielles de

    2012.

    Baba Diaw b.diaw@yahoo.fr

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  • SALUT.VOUS POURREZ SUIVRE EN DIRECT ET EN EXCLUSIVITE LE MAGAL DE SERIGNE KHADIM GUEYE TOUBA DAROU KHOUDOSS SUR WWW.BAOLMEDIAS.COM /www.baol-medias-culture.id.st/ DANS UN INSTANT

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  • SALUT.VOUS POURREZ SUIVRE EN DIRECT ET EN EXCLUSIVITE LE MAGAL DE SERIGNE KHADIM GUEYE TOUBA DAROU KHOUDOSS SUR WWW.BAOLMEDIAS.COM /www.baol-medias-culture.id.st/ DANS UN INSTANT

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  • LES COUPURES DE L'ELECRICITE DANS LE DEPARTEMENT DE LINGUERE  LES COUPURES DE L'ELECRICITE DANS LE DEPARTEMENT DE LINGUERE

    .Les populations du Djolof sont privées d'électricité il ya presque trois semaines.Les délestages constituent ces temps -ci un veritable probléme pour les travailleurs.En effet les ouvriers qui sont dans la commune de Dahra ne travaillent presque plus.La commune est délestée les 3/4 du temps; chaque jour menuisiers, tailleurs entre autres attendent à longeur de journée le retour du couran pour continuer leurs travaux.A cela s'ajoute l'insécurité dans la commune de Dahra car la nuit pas une seule lumièreet les malfaiteurs peuvent s'en profiter.L'on se souvient alors des délestages des mois derniers partout dans le pays et particuliérement dans le département  de Linguère. Ce dimanche le Louma de Dahra  coincide avec une longue coupure d'électricité qui  a commencé aux environs de 8h 40minutes jusqu'à 9h mais plus tard le couran est encore reparti pour revenir à 17heures.Quoi qu'on puisse dire les populations du djolof vivent dans le désespoir et particulièrement ceux qui travaillent avec le couran

     source.Baba DIAW.    correspondent baol medias a linguére                    


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  • Après avoir fait un tour de 100 mètres, le lutteur Balla Beye 2 dit Baboye a eu une déchirure musculaire. Ce qui l’empêche de faire le combat. Le lutteur va faire des examens supplémentaires. Le combat est donc annule. Une grande déception pour le lutteur Ness et les nombreux supporters venus assister au combat

    source: Seneweb.com

     


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    Serigne Cheikh Abdourahmane LO, un des fidèles copagnons de Cheikh Ahmadou Bamba, faisait partie de cette génération qui reçut du Cheikh lui-même une éducation pratique, une formation mystique ainsi que les fondements essentiels de sa nouvelle voie : le Mouridisme.

     

    Sa naissance et son éducation

     

    Né à Maoundou dans l'actuel département de Tivaouane au cours du mois de Rabi al awwal 1271, sa mère s'appelle Sokhna Mariama Seck. Il grandit au sein d'une grande famille réputée depuis fort longtemps pour l'érudition, la piété et la noblesse de ses membres.

     

    Lorsqu'il atteint l'âge de scolarité, il fut confié à Serigne Massata Diakhaté chez qui il apprit et mémorisa, en peu de temps, le Saint Coran puis le transcrivit, selon la coutume, avant de se rendre ensuite à la célébre université de Pire pour y perfectionner ses connaissances du Livre  et entamer l'étude des Sciences islamiques. Ces études achevées, il se dirigea vers Nguick auprés du grand érudit Serigne Mor Madieng Falou. Il y effectua des études approfondies en grammaire et en jurisprudence islamique. Il acheva, enfin, ses voyages d'apprentissage à Patar à l'école de l'illustre érudit Serigne Mame Mor Anta Sally père de Cheikh Ahmadou Bamba.

     

    Ses relations avec le Cheikh

     

    A la disparition de Mame Mor Anta Sally, la gestion de l'école revenait au Cheikh. Décidé, plus tard, à faire une tournée au Sénégal et en Mauritanie, le nouveau maître confia à Serigne Ndame la charge d'assurer son intérim, ce qui constitue une parfaite illustration de la confiance du Cheikh à son égard. Quelques mois après, Cheikh Ahmadou Bamba réunit tous ceux qui étaient à l'école et leur communiqua qu'une mission divine venait de lui être confiée et qui consistait à vivifier et à restaurer la Sunna du Prophète (PSL) ainsi qu'à réformer la communauté musulmane. Cela rendait nécessaire l'adoption d'une nouvelle méthode d'éducation et de formation. Par conséquent, ceux qui avaient les mêmes ambitions que lui et qui voulaient rester, devraient se soumettre à ses ordres et orientations.

     

    Cheikh Abdourahmane Lo fut parmi les premiers à faire le pacte d'allégeance. Bien qu'il eut pratiquement le même âge que le Cheikh, Serigne Ndame fit preuve d'un dévouement hors du commun et joua ainsi un rôle déterminant dans la mission grandiose de Cheikh Ahmadou Bamba.

     

    Son rôle dans la mission du Cheikh

     

    En fait, les premiers adeptes formés par le Cheikh lui-même, se sont, par la suite, chargés, chacun dans son domaine, de réaliser les projets éducatifs et sociaux d'un des plus grands domaines si ce n'est le plus important : l'enseignement du Coran. Nul n'ignore, en effet, la place prépondérante du Coran dans le jihad du Cheikh. Il est la pierre angulaire de ses enseignements, son arme efficace face aux  ennemis de l'Islam  et à Satan, comme il le dit dans nombre de ses poèmes.

     

    Par ailleurs, Cheikh Abdourahmane Lo restait au coté du Cheikh durant tous ses déplacements de Mbacké Kajoor à Dar al Alim et al Habir (actuel Ndame) où le Cheikh l'installa définitivement pour qu'il s'adonnât entiérement à l'enseignement. C'est précisément dans cette localité que la plupart des fils et filles du Cheikh apprirent le Coran grâce au dévouement de leur maître. Ce dévouement lui valut une position privilégiée auprés du Cheikh.

     

    Sa position auprés du Cheikh

     

    Confident et conseiller du Cheikh, Serigne Ndame bénéficiait auprés de celui-ci d'une absolue et immense confiance : le Cheikh lui confia l'instruction de ses frères cadets et, plus tard, de ses propres enfants avant de lui donner pour épouses successivement deux de ses filles : Sokhna Fatimatou puis Sokhna Mouslimatou. Cela prouve, s'il en est encore besoin, que Serigne Ndame, grâce à ses bonnes qualités jouissait d'une haute estime  de la part de Cheikh Ahmadou Bamba et de sa famille.

     

    Ses qualités et sa conduite

     

    Comme le dit l'adage « Dis moi qui tu fréquentes, je te dis qui tu es », le propre de l'homme est de se comporter à l'image de ses amis et compagnons. Il va de soi donc que Cheikh Abdourahmane Lo, disciple et compagnon de première heure du Cheikh, était un homme exemplaire.

     

    Ainsi, était-il très vertueux, respectueux d'une façon exceptionnelle des obligations religieuses et assidu dans le travail sans répit. Les futilités de ce bas monde n'ont jamais retenu son attention.il était un homme de vérité et de courage, un dévot qui passait ses journées à jeuner et ses nuits à prier et à réciter les versets coraniques.

     

    Sa disparition

     

    Lorsque Cheikh Abdourahmane Lo fut d'un âge très avancé, ses propres fils et disciples, parfaitement préparés, prirent le relais. Sa mission fut alors poursuivie avec succés, grâce à Dieu. Ainsi, Dâr al Alim al Habir resta un centre de rayonnement que Serigne Ndame continua à superviser jusqu'à ce qu'il fut rappelé à Dieu au mois de Chaabane 1363 de l'hégire (1944).

     

    De nombreux poèmes furent composés pour faire son éloge et vanter ses mérites. Que Dieu le Tout Puissant soit satisfait de lui et qu'il guide les pas de ses successeurs. Amin

     

    MODOU DIOP THIAT


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  • Serigne Mbacké naquit en 1864 à Mboussobé dans le Djolof. Il fit ses études coraniques auprès de son père, puis auprès de son homonyme l'oncle maternel de son père Tafsir MBACKE Ndoumbé. Ce dernier assura également une importante partie de la formation religieuse de Serigne Mbacké qui, par la suite, suivit des cours de théologie, de grammaire et de soufisme auprès de son cousin et ami, Cheikh Ahmad Bamba

    . Il mena des études supérieures en droit et en grammaire sous la conduite du célèbre professeur Samba Toucouleur KA.

     

    special magal guede bousso 2011


    Rentré à Mbacké Baol où vivait sa famille, il secondait son père dans ses différentes tâches d'enseignement et de consultance religieuse (fatwa)... Profondément secoué par le décès de son père, l'exil de son cousin et ami Ahmad Bamba et l'incendie de ses livres survenus en 1895, il rejoignit Mawlay Nasir, un chérif Sénégalo-Marocain installé à Tivaouane à qui une très profonde amitié le liait. Serigne Mbacké fut son plus proche collaborateur dans le domaine de l'enseignement et de la consultance religieuse jusqu'à sa mort en 1901.


    A son retour d'exil en 1902, Cheikh A. Bamba rappela Serigne Mbacké qui s'installa à Daroul Mannan, dans les environs de T1928 en compagnie d'une délégation de personnalités mourides comprenant Cheikh Anta MBACKE, Serigne Falilou MBACKE (2ème Khalife), Serigne Takko MBACKE, etc. Serigne MBACKE fut rappelé à Dieu en 1945ouba où il fonda un village baptisé Al Azhar du nom de la célèbre université millénaire du Caire. Il y passa 20 ans puis il créa un autre village dans la banlieue nord de Touba, appelé Guédé du nom du village d'origine des Boussobés dans le Laaw, au Fouta. C'est là qu'il passa le reste de ses jours avec ses enfants, tout en poursuivant l'enseignement et la recherche et c'est de là également qu'il partit pour le pèlerinage à la Mecque en .

    Un des premiers disciples de Cheikh M. Bamba, Serigne MBACKE fut très attaché à ce dernier qu'il accompagnait à l'époque où le fondateur du mouridisme expérimentait les enseignements soufis pour lesquels il avait résolument opté. Ils se livraient ensemble à la retraite spirituelle marquée par des exercices de mortification et de privation censés polir l'âme et éliminer les obstacles charnels à l'élévation spirituelle.

    Serigne MBACKE joua après l'avènement du mouridisme et sous l'autorité de son fondateur le double rôle de chargé de l'enseignement supérieur et de la diplomatie. Le premier rôle était pour lui un héritage familial et une obligation religieuse fondamentale. Quant au second, il s'y livrait par souci d'éviter l'aggravation des malentendus entre son cousin et maître et l'administration coloniale. Il employait ses dons incontestables d'écrivain pour rédiger des réponses très diplomatiques aux correspondances des autorités coloniales au Cheikh des Mourides.

    Serigne MBACKE était sans doute le meilleur connaisseur de l'histoire du mouridisme pour avoir assisté à sa naissance et vécu son développement jusqu'au rappel à Dieu de son fondateur en 1927. Ensuite, il joua un rôle très actif dans la gestion des problèmes qui surgirent au sein de la communauté mouride dans les années 1927-1935. Ses interventions étaient d'autant plus déterminantes que l'homme jouissait de l'estime et de la confiance de tous pour son érudition, sa piété et son statut social.

    MODOU DIOP THIAT


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