• La Présidence dément les accusations du fils de Khadafi

    La Présidence de la République a démenti l’information selon laquelle le Président Wade aurait reçu du Qatar 13 Milliards de FCFA pour prendre position dans la crise libyenne.

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    La Présidence dément les accusations du fils de Khadafi
     
    En effet, le porte-parole du Président de la République, Serigne Mbacké Ndiaye dément le fils du colonel Khadafi, Saif Al-islam. Dans un communiqué rendu public, Mr Ndiaye estime que cette affirmation est fausse. Selon lui, Me Wade tient à préciser que ni lui, ni sa famille ni son entourage n’ont jamais reçu de l’argent de l’émir du Qatar, ni de l’Etat du Qatar. La seule fois, précise-t-il, que le Président Wade a eu à discuter avec le Qatar de financement a été dans le cadre d’un projet de protection de l’île de Gorée, patrimoine mondial de l’humanité contre l’érosion côtière.

    Papa Mamadou Diéry Diallo pressafrik.com

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  • Comment les mineures évitent de tomber enceinte

     

    Nombreuses sont les jeunes filles qui découvrent très tôt l’acte sexuel. A l’âge de 14 voire 15 ou 16 ans, elles sortent souvent de leur enfance pour se comporter comme des adultes. Une attitude qui peut leur causer beaucoup de torts. Conscientes de cela, elles commencent dès la puberté à prendre leurs précautions pour ne pas tomber enceinte. Elles font tout leur possible pour éviter des grossesses non désirées ou l’avortement clandestin vu qu’elles ne sont pas encore mariées.

     

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    Comment les mineures évitent de tomber enceinte

     

     

     

    Pour arriver à leurs fins, elles ne laissent aucun détail au passage. Elles se rendent dans les structures de santé spécialisées en planification familiale. Elles utilisent la pilule du lendemain, norplan ou encore les injections trimestrielles. Les préservatifs ne sont pas en reste car ils se vendent comme de petits pains et ce sont ces mineures qui les payent pour leurs partenaires. Comment utilisent-elles les méthodes contraceptives ? Les avis divergent. « Je ne prends jamais des contraceptifs, je mise sur les préservatifs même s’ils ne sont pas toujours fiables » explique une adolescente de 16 ans. Par contre, Amy qui utilise les injections explique que chaque trois mois, elle prend une injection pour ne pas tomber enceinte. Cette adolescente du nom de Marie a une autre vision des faits. « Aujourd’hui si tu as un copain et que tu ne fais pas de rapport sexuel avec lui, il n’hésitera pas à aller voir une autre plus soumise. Et comme les maris ne courent pas les rues, il vaut mieux le faire ». Ce qui constitue un véritable sacrifice avec beaucoup de risques. « Les mineures ont mille chances de ne plus tomber enceintes vu que leurs appareils génitaux s’affaiblissent de plus en plus avec l’utilisation précoce de ces contraceptions » explique une sage-femme. La débauche s’est ainsi accaparée de ces adolescentes qui finissent par s’habituer aux jeux sexuels avant l’âge requis. Au même moment, des voix s’élèvent pour la légalisation de l’interruption volontaire de grossesse au Sénégal. N’est-ce pas là une porte ouverte pour d’autres dépravations des mœurs ?

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  • Le Groupe Keur Gui de Kaolack, ces bêtes noires des politiciens

    Initiateur du mouvement « Y'en A Marre », le groupe de rap en provenance de Kaolack n'en est pas à sa première lutte pour sonner le glas d'un régime. « Kilifeu », « Thiat » et « Thaw » à leur début ont toujours étaient de grands révolutionnaires et ont toujours eu le courage de dire « NON » sans avoir peur. Toujours fidèles à leur engagement, ils ont été les premiers à s'afficher torse nue pour montrer comment les politiques nous ont marginalisés. 123Dakar.com revient sur l'histoire de ce groupe révolutionnaire qui a chaque fois que le peuple souffre, n'hésite pas à cracher dans la soupe pour parler à la place des autres.

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    Le Groupe Keur Gui de Kaolack, ces bêtes noires des politiciens
     

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    Keur Gui de Kaolack : Les débuts difficiles

     

    Un début très difficile pour ne pas dire compromettant à cause de leur position radicale contre le régime de l'ex Président Diouf. Mais c'était sans compter sur leur foi du charbonnier qu'ils avaient coûte que coûte à se faire entendre. Créé en 1998, le trio, considéré comme l'un des groupes les plus engagés du Sénégal, de par son style mais aussi de par ses textes, a eu à faire un séjour en prison du temps du régime socialiste. Ils ont subit des tabassages et ont été bien malmenés durant leur détention en prison pour avoir dénoncer les différents maux de la société et surtout de la région de Kaolack. Ils n'ont pas été pour autant découragés. Encore mieux, cela leur a rendu plus hargneux dans leur lutte.

     

    thiat_keurguiSur cette photo qui date de 1999, quelques mois après leur libération, nous pouvons apercevoir « Thiat » tout jeune après un concert et sur l'autre photo, « Kilifeu » difficilement reconnaissable accompagné par « Thaw ». Ce dernier à quitté le groupe quelques temps après .

    Entre Diourbel, Kaolack et Thies, ils se sont très vite fait remarqués et deviennent très rapidement une menace du régime de Diouf.

    À cause de la pression des autorités de l'époque, leur premier album était déclaré mort-né. « Première Mi-temps », n'a finalement pas vu le jour en raison d'une censure.

    « Mollah Morgun » les rejoins par la suite en 2005 avant de quitter à nouveau le groupe après la sortie de l'album « Nos Cons Doléances ».

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    Le groupe au style à part

    Les rappeurs engagés du groupe Keur Gui de Kaolack sont surtout connus par leur façon de se présenter sur scène.

    « La Nudité pour montrer la colonisation mentale qui règne toujours en Afrique, au Sénégal, puisqu'ayant des chaînes que l'on ne voit plus ; pour montrer que le Sénégal est toujours au temps de l'esclavage ; pour montrer que les dirigeants sont toujours sous l'emprise des Occidentaux ; mais aussi pour montrer leur rage, leur rancœur envers ces dirigeants socialistes qui les ont dévêtus pour ensuite les tabasser et les emprisonner. C'est pour leur montrer qu'ils ont beau les dévêtir, ils ne les empêcheront pas de continuer leur combat, de dévoiler les maux de la société puisqu'étant des réalités qu'ils ont eu à subir, qu'ils ont eu à vivre et qui sont en eux. » (Kingzise)


    « Y'en A Marre » : Une philosophie citoyenne et républicaine

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    Aujourd'hui, « Thiat » et « Kilifeu » sont sans nulle doute les « opposants » les plus redoutés par le parti au pouvoir. On se souvient du 19 mars, quand Sidy Lamine Niasse, les partis de Bénno et le Mouvement Y'en a Marre ont appelé à manifester chacun dans son coin. Le rassemblement des milliers jeunes à la place de l'Obélisque était le point d'attraction des manifestants. C'est dire que le peuple a épouser la philosophie « Yenamarriste » pour montrer de façon catégorique leur désaccord avec les politiciens. Ça leur intéresse pas de se retrouver au creux de la vague quant il s'agit de leur carrière de rappeurs, ils appellent à un suicide individuel pour une renaissance collective pour un « Nouveau Type de Sénégalais (NTS) ».

    Hymne de Y'en A Marre :

     

    Ces rappeurs ne sont plus que des bêtes de scènes, mais de vrais représentants du peuple et de sincères défenseurs des intérêts de la population.

    Les revendications du mouvement ne s'arrêtent pas au champ politique. Ils ont lancé le concept du "Nouveau type de Sénégalais" (NTS), un concept large qui veut changer les habitudes de la société sénégalaise. Le NTS, c'est le Sénégalais qui ne pisse plus et ne jette plus d'ordures dans la rue, le Sénégalais qui va refuser de monter dans un bus déjà plein, qui ne va pas accepter que le chauffeur puisse corrompre le policier au carrefour, qui va respecter l'heure des rendez-vous.


    Le mouvement Y'en a marre prône des valeurs qui tournent autour de l'engagement individuel dans une communauté civique, de la moralisation du politique, de l'acte de citoyenneté, exercé dans les canaux traditionnels de l'institution.

    Dans cette vidéo, le rappeur "Thiat" du groupe Keur Gui revient sur le concept "Y'en A Marre" et sur les évennements du 23 juin 2011.

    Keur Gui de Kaolack

     

    Mercredi 6 Juillet 2011

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  • Papis Demba Cissé, le nouvel Aladji Ass de Titi

     

    Par la rédaction De leral.net


    Papis Demba Cissé, le nouvel Aladji Ass de Titi

     

     

    LERAL.NET - La chanteuse Titi roucoulerait avec un footballeur sénégalais. Une information qui a gagné les chaumières les plus reculées du Sénégal. Toutefois, jusque-là, il était impossible de mettre un nom sur le visage de cet international sénégalais qui ferait les yeux doux à Ndèye Fatou Tine alias Titi. Chose qui vient d’être fait par le mensuel people Station One qui nous apprend que c’est Papis Demba Cissé qui est le nouvel « Aladji Ass » de Titi. Papis Demba Cissé est l’un des attaquants sénégalais qui cartonnent en Europe. E


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  • Talla Sylla sur la lettre de Karim Wade

     

    LERAL.NET - Loin du pays, Talla Sylla a une oreille au Sénégal pour suivre l’évolution de l’actualité politique très mouvementée ces temps-ci. Sur les ondes de radio France international (Rfi), le candidat déclaré de la coalition Benno Taxawal Sénégal se dit convaincu que le président Wade a voulu une dévolution monarchique et que cette lettre de Karim Wade est pour Talla Sylla est un constat d’échec.

     

    L'équipe de rédaction de la journée


    Talla Sylla  sur la lettre de Karim Wade
     
    Suite aux violentes émeutes du 23 juin Talla Syllla déclare que Wade a 85 ans, est revenu le mois dernier sur une réforme du code électoral prévoyant la création d’un vice présidence qui aurait échue à son fils Karim alors que ce dernier est incapable de régler le problème des délestages. Selon Talla Sylla, les Sénégalais ont compris les jeux de Wade qui consiste à faire de son fils Rimka son successeur chose que les Sénégalais n’accepteront jamais martèle Talla.

    Moussfa

     


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  • Seneweb NewsLetter
    source: Seneweb.com

    Les informations publiées par Cheikh Yérim Seck dans son nouveau site dakaractu l’accusant d’être le colistier du président Wade pour la présidentielle ne sont pas du goût du maire de Dakar.    Dans une interview qu’il a accordé à la 2stv et au journal Enquête, le maire de Dakar déclare qu’il n’était pas informé du projet. « Je ne savais pas de quoi il s’agissait », déclare M. Sall, qui ajoute ne pas comprendre que Cheikh Yérim Seck ait écrit tout cela sans prendre la peine de le contacter. « Quand votre confrère a écrit, au début j’ai souri, après j’ai voulu essayer de comprendre.    C’est quoi ses motivations ? Pourquoi cette sortie de votre confrère ? Qu’est-ce qu’il recherchait ? A me nuire ? A me discréditer ? A lancer son site ? Il avait besoin d’un grand Buzz ? Ou avait-il besoin de desserrer l’étau sur d’autres ? De faire de la diversion par ailleurs ? Je n’ai pas compris », peste-t-il. Selon Khalifa Sall, Cheikh Yérim Seck «est un grand journaliste » qu’il «aime beaucoup». «Je pense qu’il aurait pu m’appeler. Il y a un minimum, il a mes contacts», déplore-t-il.


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    Seneweb NewsLetter

    Près de 500.000 cas de viol sont enregistrés chaque année au Cameroun. Comme dans bien des pays du continent africain, les victimes sont réduites au silence, alors que les auteurs s'en sortent blanchis, faute de preuves.

    "J'ai été violée par le copain de mon amie. Un jour je me suis rendue chez elle, alors qu’elle vivait avec son petit ami. Il m'a reçu en l'absence de ma copine. Soudain la pluie a commencé, il en a profité pour me demander de me déshabiller... ". Des traces de larmes se dessinent sur son visage. "Je me suis opposée, poursuit-elle en soupirant. Il m'a giflée et m'a mise toute nue, puis il m'a violée. Apres son forfait, il a trempé mes vêtements dans un seau d'eau et m'a poussée hors de sa maison. J’ai dû me servir d'un bout de tissu accroché au couloir pour me couvrir et retourner à la maison."

    Julie Njissa raconte, d’une voix tremblante entrecoupée de sanglots, cette page cauchemardesque de sa vie. Elle en parle six ans après le forfait. Elle est aujourd'hui âgée de 24 ans et travaille comme commerciale dans une société de fabrication de lait à Douala.

    Silence
    "Je n'avais jamais raconté cette histoire auparavant, par crainte de subir des moqueries. J’avais très peur de la réaction de mes parents, car je n'avais que 17 ans". Les années passées n'ont pas effacé la douleur. C'est au cours d'une conférence réunissant les victimes de viol au Cameroun que Julie a eu le courage de raconter son expérience pour la première fois. En Afrique, les victimes de viol n'en parlent pas. Elles souffrent dans le silence par crainte de stigmatisation, explique François Guebou, sociologue. "Les familles préfèrent un arrangement à l'amiable pour préserver leur image. Porter le problème sur la place publique se confond dans le contexte africain à une atteinte à la réputation de la famille", explique-t-il.

    Chiffres
    Pourtant, les chiffres sont effroyables. On enregistre environ 500.000 cas tous les ans au Cameroun. Près de huit pour cent en sortent avec une infection sexuellement transmissible. Parmi les auteurs de viol se recrutent paradoxalement les hommes de Dieu, qui représentent 1%, les enseignants (4%) et les hommes en tenue (9%). Ces données relèvent du dernier rapport du RENATA, le Réseau national des associations de tantines, qui regroupe plusieurs associations impliquées dans le combat contre le viol au Cameroun. Madeleine Eboule, membre de la cellule SOS VIOL, explique qu'elles ont pour vocation d'apporter les premiers secours aux victimes de viol avant de saisir la justice pour condamner les auteurs.

    Impunité
    Selon un juriste, spécialisé sur la question de viol, la plupart des auteurs s'en sortent blanchis dans les procédures judiciaires faute de preuve. Apollinaire Fotso, avocat et auteur d'un livre sur la prise en charge médico-légale et judiciaire des victimes de violences sexuelles en Afrique, explique qu'il n'est pas toujours évident de fournir les preuves de l'accusation. "Les faits se déroulent dans la stricte intimité et les victimes gardent très souvent le silence par peur de représailles. Ce qui rend difficile la délivrance des certificats médicaux. Aussi, de fortes sommes d'argent sont mises à contribution pour corrompre la justice et condamnent ainsi les victimes au silence douloureux de l’injustice."


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  • Les médicaments vendus dans les marchés et dans les rues font des ravages!!! Un trafic honteux qui fait des victimes qu’on ne compte plus et qui est la source de maladies graves et

    souvent incurables. Qu’en pensez-vous ?

    LUTTE SENEGAL SUNU LAMB.


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  • La Diaspora sénégalaise de France demandent aux pays amis d’intimer à Me Wade d’arrêter ses dérives      
    écrit par douba   
     
    Convaincu que «le règne de Abdoulaye Wade est assurément marquée du sceau de la mal gouvernance, de la gabegie et de l’accaparement des ressources publiques en toute impunité par un clan, de la hausse effrénée des prix, du rationnement de l’électricité obérant la productivité nationale et le bien-être des populations.
    Des inondations dans lesquelles vivent les sénégalais et du désespoir inaugurant l’ère des suicides par le feu et maintenant des manifestations populaires spontanées après les vagues d’émigration sauvage sur des embarcations de fortunes», la diaspora sénégalaise de France qui veut éviter au Sénégal le syndrome du printemps arabe ou pire le syndrome Ivoirien avec comme conséquence une déstabilisation de la région, a invité les dirigeants des pays amis et partenaires du Sénégal (surtout la France dont la qualité des liens historiques avec le peuple sénégalais gagnerait à être préservée) à intimer l’ordre à Me Wade d’arrêter ses dérives sous peine d’être traduit, lui et ses affidés, devant les instances juridictionnelles internationales.

     «C’est la seule manière de retrouver la voie sénégalaise : celle du dialogue, de la démocratie et de l’alternance pacifique initiée par Senghor et mise en œuvre par Abdou Diouf et qui a valu au vieux Président d’être élu à la tête du Sénégal» ont-ils fait savoir dans un communiqué reçu à la rédaction de Pressafrik.com


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  • LUTTE SENEGAL SUNU LAMB.
       

    Karim  Wade nous a enlevé une épine du pied. En déclarant publiquement qu’il  est totalement contre toute forme de transmission dynastique, et en ajoutant que le Pouvoir s’acquiert par la voie des urnes », il a posé un acte qui « devrait rassurer tout acteur politique de bonne foi, particulièrement l’Opposition ».

    Mame Mactar Guèye est au nombre de ceux qui, dans le camp présidentiel, ont toujours exprimé leur opposition au projet que l’on prêtait au Président de la République de transmettre le Pouvoir à son fils Karim.

    Dans les débats, le Secrétaire général du Rassemblement démocratique sénégalais (Rds) et porte-parole de la CAP 21 continuait de soutenir qu’un tel projet « n’existait pas », mais manifestement, c’est maintenant qu’il en a la preuve.  Et il ne doit pas être seul de ce côté puisqu’il affirme, dans une déclaration à Sud quotidien, que « les Alliés s’en trouvent mis à l’aise, car très souvent dans nos communications, il nous est arrivé de devoir répondre à cette question, mais sans vraiment avoir les arguments pour convaincre ».  Maintenant, avoue Mame Mactar Guèye, « c’est clair, puisque le principal concerné à répondu à la place de tous ».

    Selon M Guèye, l’Opposition devrait elle aussi  se rassurer, puis qu’elle n’a pas arrêté, depuis des années, de nourrir des suspicions relativement à une supposée « volonté du Président Abdoulaye Wade de transmettre le pouvoir à son fils Karim ».

    Autres points de satisfaction relevés par le porte-parole de la CAP 21, dans la Lettre de Karim Wade, « c’est d’avoir déclaré sans ambigüité, qu’il se considérait au même pied d’égalité que tous ses compatriotes. Que s’il voulait briguer le suffrage des Sénégalais, il le ferait dans le respect des voies démocratiques telles que consacrées par les textes et règlements en vigueur  et de la morale politique ». De même, constate  M  Guèye,  l’auteur du texte relayé par toute la presse lundi, a affirmé être militant du Part démocratique sénégalais (Pds), ce qui est une autre raison pour les libéraux de se sentir en sécurité que le fils du Président de la République ne projetait pas  de substituer au Parti  le Mouvement dit de la génération du Concret (GC).

    Pourquoi a-t-il attendu si longtemps avant de réagir ?

    « Lui seul sait ; j’estime pour ma part qu’il aurait pu le faire plus tôt mais c’est peut-être dans sa stratégie. Plutôt tard que jamais, il a parlé aux Sénégalais, c’est tant mieux.
    Certains  trouvent dans la voie épistolaire « un manque de respect » pour les Sénégalais, car Karim aurait pu donner une conférence de presse, voire s’exprimer en wolof.
    « Chaque acteur politique a sa manière de communiquer. Idrissa Seck par exemple, a choisi le contact direct avec les journalistes ; c’est son style. Peut-être Karim fera-t-il la même chose prochainement, c e qui ferait de sa Lettre ouverte une première étape dans le processus de communication, qu’il  aura choisi. Rien n’empêche que cela aille même jusqu’à la tenue d’un meeting populaire.

    Craint-il pour la langue, le Wolof par exemple ?

     « Là je vais vous faire une révélation,  Je l’ai entendu parler un wolof limpide, sans accent, et pas un mot de français. C’était à l’occasion d’une rencontre avec le Grand Serigne de Dakar.


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  • Les députés de l’Assemblée nationale seront bientôt invités à se prononcer et à voter un ensemble de lois rectificatives du code électoral sénégalais. Voilà le grand enseignement issu de la rencontre que le comité de veille et de suivi de l’audit du fichier électoral a tenue hier, lundi 04 juillet, avec les membres de l’hémicycle. Une rencontre organisée dans le but de sensibiliser ces représentants du peuple sur les nécessaires modifications à apporter au code électoral, conformément au respect des 108 recommandations issues de la mission d’audit du fichier électoral.LUTTE SENEGAL SUNU LAMB.
     
     
       

    Les membres du comité de veille et de suivi de l’audit du fichier électoral, sous la conduite de leur président Mazide Ndiaye, ont rencontré hier, lundi 04 juillet, des représentants  de l’Assemblée nationale dans le cadre de leurs activités de prise de contact avec les diverses structures qui interviennent peu ou prou dans le processus électoral sénégalais.  A l’occasion, la rencontre avec ces membres de l’hémicycle était destinée, selon Mazide Ndiaye, « à informer et sensibiliser les députés sur les nécessaires modifications à apporter au code électoral », conformément au respect des 108 recommandations issues de la mission d’audit du fichier électoral. Un audit commandité par l’Etat du Sénégal, en accord avec les partis politiques et avec le partenariat de la Délégation de l’Union européenne, de l’Ambassade d’Allemagne et l’ambassade des Etats Unis, et qui avait déterminé plus d’une centaine de recommandations dont 50 applicables immédiatement afin de garantir les conditions de transparence du processus électoral pour la présidentielle et les législatives de 2012.


    A l’issue de la rencontre, Mazide Ndiaye a tenu à préciser cependant qu’avant que les députés ne soient saisis, « les discussions vont porter d’abord sur la revue du code électoral ». C’est seulement après ce premier travail que des textes de lois rectificatives du code électoral, provenant à la fois du gouvernement et des partis politiques, seront présentés au vote des députés. Dans la foulée, le Président du comité de veille a salué la disposition des députés à accompagner les modifications devant être apportées au code électoral afin de restaurer la confiance et la sérénité des acteurs politiques d’autant, a-t-il dit, qu’il est important de réaliser « un large consensus  dans ce processus de rectification du code ».

    Notons qu’en vue des élections de 2012, des recommandations prioritaires avant été avancées par la mission d’audit du fichier électoral pour corriger certains points faibles du code électoral. Parmi ces recommandations, on peut relever la définition précise du rôle et des tâches du ministère de l’Intérieur dans le processus d’inscription, et en général, dans le processus électoral en harmonisant ces tâches avec celles de la CENA, l’inclusion dans le code électoral des dispositions qui déterminent la procédure que la DAF doit suivre pour rejeter l’inscription, la prolongation du délai pour le recours devant les commissions administratives installées dans les représentations hors du pays de dix à vingt jours, etc.

     
     
     

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  • En déplacement à Tambacounda : Aida Mbodji se fait chiper son téléphone portable d'un coût de 800 000 francs

     

    LERAL.NET - Son séjour à Tambacounda sera gravé à jamais dans sa mémoire. Aida Mbodji, puisque c’est d’elle qu’il agit a été victime d’un vol.

     

    Par la rédaction De leral.net
    En déplacement à Tambacounda : Aida Mbodji se fait chiper son téléphone portable d'un coût de 800 000 francs
     
    Son téléphone portable, un joyau haut de gamme, lui a été piqué alors qu’elle se trouvait au domicile du…gouverneur de la Région de Tambacounda. Et selon les langues pendues qui ont pris part au déplacement de la mairesse de Bambey à Tambacounda, les yeux sont tournés vers un responsable du Parti démocratique sénégalais qui était assis juste à côté de la ministre d’Etat. C’est vrai que se promener avec un « matos » de cette valeur, c’est vraiment narguer ses compatriotes qui éprouvent du mal à avoir trois repas quotidiens.

     


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  • 2012 : Kara envisage le retour de Abdou Diouf


    2012 : Kara envisage le retour de Abdou Diouf
     
    Lu sur nettali : Serigne Modou Kara Mbacké lance un appel à l’ensemble des guides religieux, chefs coutumiers et tous ceux qui sont intéressés de près ou de loin par la situation que traverse notre pays. Objectif, amener à une large concertation afin de choisir ensemble, un candidat à proposer aux sénégalais, lors des prochaines joutes présidentielles.

    Si le pouvoir et l’opposition, en plus de la société civile, ne parviennent pas à s’entendre autour de l’intérêt collectif majeur de la Nation, Serigne Modou Kara Mbacké envisage de convaincre le président Abdou Diouf, actuel Secrétaire Général de la Francophonie, d’être le candidat de transition démocratique aux prochaines élections de 2012, « car connaissant sa capacité de dialogue et de retenue dans des situations difficiles ».

    Ce choix, dit-il, résulte du constat effectué sur la plupart des déclarations des hommes politiques en général qui appellent souvent à l’insurrection et au soulèvement populaire, alors que notre Nation est un havre de paix et de concertation, qui ne mérite pas d’être dirigé par des gens qui n’hésiteraient pas à recourir à la violence pour régler des questions démocratiques.

    Dans une déclaration rendue publique ce lundi, Kara déclare que le choix du candidat qu’il propose, obéit bien à des critères dont les fondamentaux sont « le sens du patriotisme, de la patience, de l’ouverture, du dialogue, de la concertation mais aussi et surtout du sens de l’écoute et de la capacité de discernement pour la sélection d’une équipe dynamique compétente et motivée capable de prendre en charge les aspirations des sénégalais ».

    Il a en effet estimé qu’il est temps aussi bien pour les membres de l’opposition que du pouvoir, de dépassionner le débat politique et d’enclencher une large concertation pour la prise en charge sérieuse des préoccupations sociales des sénégalais.

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  • Sénégal, autopsie d'une démocartie (Par Adama Wade)


    Sénégal, autopsie d'une démocartie (Par Adama Wade)
     
    En voulant réduire le prochain scrutin présidentiel à un seul tour, le président Abdoulaye Wade du Sénégal s’est offert un sondage grandeur nature. A huit mois de l’échéance fatidique, le voilà fixé. Le résultat parle de lui-même : pneus brûlés, voitures calcinées, marche sur la présidence, « courroux » des chancelleries occidentales. Et, finalement, un retrait en catimini du texte incriminé. Dure leçon pour celui qui, à Benghazi, invitait solennellement Kadhafi à faire preuve de grandeur. C’était il y a quelques semaines, avant que le printemps arabe ne traverse le Sahara.



    Au sortir de cette folle journée du jeudi 23 juin, l’apôtre du « sopisme » a tiré sans doute les leçons qui s’imposent : les Sénégalais ne veulent pas d’un vice-président nommé par le fait du prince, et qui succéderait au président en cas d’empêchement. Cette affaire met à nu la faiblesse des institutions sénégalaises face à un hyperprésident qui a réduit le Conseil des ministres, le Parlement et le Sénat en de simples chambres d’enregistrement.



    Notons-le bien, cette loi anachronique n’avait suscité aucun émoi chez les membres du gouvernement, encore moins chez les parlementaires, colorés PDS pour plus de 88%, qui l’auraient votée sans états d’âmes si les jeunes n’en avaient décidé autrement. N’eût été la mobilisation de l’homme de la rue, la disposition serait passée comme une lettre à la poste, car aucune institution des trois pouvoirs n’est, dans la Vème République sénégalaise, capable de défier la volonté présidentielle. Avec ou sans Wade, cette faiblesse des institutions pèsera dans la vie politique future du pays.



    Elle pèsera d’autant plus que l’opposition sénégalaise, fragmentée entre plusieurs pôles, semble effrayée devant ses responsabilités démocratiques et altérée par d’anciens ministres de Wade aujourd’hui en rupture de ban. La multiplication des candidatures et des postures de candidature exprime l’absence de l’homme providentiel, celui qui porte une alternative crédible aux yeux des Sénégalais.



    Aussi, ce serait une effroyable erreur politique que de croire que le « y en a marre » des Sénégalais s’adresse à l’unique Wade. L’opposition, qui n’a pas joué un grand rôle lors de ce jeudi noir, est aussi pointée du doigt. Pour en avoir appelé ouvertement à l’armée, certains de ces démocrates ont sans doute péché par émotion. L’on sait pour l’avoir vécu dans d’autres pays de la région ce que signifie une armée qui prend les commandes pour sauver le pays du chaos.



    Au final, est-ce que la démocratie sénégalaise n’est pas rattrapée par son sous-développement économique ? Sans reprendre la thèse d’un vieux baroudeur de la Vème République française qui avait osé dire que la « démocratie est un luxe en Afrique », ne peut-on légitimement et sans déclencher des cris d’orfraie lier la démocratie, toute démocratie, à l’âge et à l’efficience de son marché ? La démocratie russe reflète l’économie russe et inversement. Idem pour les démocraties chinoise, américaine ou française.



    Au Sénégal, le poids écrasant de l’Etat, grand actionnaire, grand employeur, grand ordonnateur des appels d’offres, contraint la communauté d’affaires à l’allégeance ou à l’exil, et avec elle les salariés, fournisseurs, quartiers et villages rattachés. A la démocratie poétisée par Senghor et formalisée par Diouf, il manque un secteur privé fort, capable de faire la culture de la bonne gouvernance, de la transparence et, in fine, de la démocratie. C’est peut-être là où l’alternance a échoué.

    ADAMA WADE, CASABLANCA, Journaliste, Les Afriques
     

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  • Ouest France, le plus grand journal de France, parle de Y en a marre

     

    Ouest France, le plus grand quotidien de France avec 700 000 exemplaires par jour, consacre un article au mouvement Y en a marre. Cela à la suite du Monde et de Libération qui sont impressionnés par le mouvement. Ouest France est un quotidien régional paraissant en Bretagne et ayant son siège à Rennes.

    Ouest France, le plus grand journal de France, parle de Y en a marre
     
    Ce mouvement citoyen, créé par des trentenaires, se présente comme une « sentinelle de la démocratie », alors que le pays connaît un climat social tendu.

    Dakar.De notre correspondante
    C'est toujours en chantant l'hymne national sénégalais que commencent les réunions publiques des « Y en a marre ». Poings levés, tee-shirts noirs avec l'inscription « Y en a marre » en lettres blanches et dorées, les quatre leaders de ce collectif fédèrent la jeunesse sénégalaise. Les jeunes se pressent pour obtenir un autographe ou une poignée de main.

    Le mouvement est né d'une discussion entre copains : Thiate et Kilifeu, les deux rappeurs du groupe Keur Gui, Fou Malade, rappeur également, et Cheikh Fadel Barro, journaliste au magazine d'investigation La Gazette. Ils ne supportaient plus les incessantes coupures d'électricité que connaît le Sénégal depuis des années.

    S'inscrire sur les listes électorales

    Puis leur combat s'est centré sur l'élection présidentielle, prévue en février 2012. Leur objectif ? Que les jeunes s'inscrivent sur les listes électorales. « Car embraser le pays n'est pas une solution », martèle Fou Malade. Dans ce but, ils parcourent la banlieue dakaroise et les villes du pays, allant de maisons en maisons. Ils étaient présents lors des manifestations du 23 juin, qui ont fait une centaine de blessés.

    Pour eux, le vote est la seule manière de faire partir de la présidence Abdoulaye Wade. À 85 ans, et à la tête du pays depuis 2000, il veut se représenter pour un troisième mandat.

    Une autre de leur bataille est d'ailleurs de « prouver l'inconstitutionnalité de la candidature d'Abdoulaye Wade aux élections de 2012 ». Le mouvement prend de l'ampleur et, depuis mars, « Y en a marre » fait circuler une pétition ¯ « Plaintes contre le gouvernement du Sénégal » ¯ qui a recueilli 800 000 signatures. À Dakar, les autorités craignent leur influence grandissante. Le 22 juin, à la veille des émeutes, Thiate et Fou Malade ont été arrêtés pendant 24 heures. Aujourd'hui, « Y en a marre » est devenu le cri de ralliement de toutes les manifestations.

     

    Mardi 5 Juillet 2011 - 18:27

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  • Drague : Sindiély n’en a pas marre de Y’en a marre

     

    LERAL.NET - Affirmer que le mouvement Y’en a marre empêche le pouvoir de dormir, ce n’est pas trop dire. Le régime de Wade qui en a vu des vertes et des pas mures ces derniers jours croient dur comme fer que c’est l’Esprit Y’en a marre qui est la cause de ses revers. C’est pour cette raison d’ailleurs que tous les services de renseignements de l’Etat sont mis à contribution pour emmener ces jeunes à mettre de l’eau dans leur…Bissap. Et à accepter de rencontrer le chef de l'Etat. Ce que les membres de Y'en a marre n'envisagent pas. Suffisant pour que la fille du président Wade entre en lisse...

     

    Par la rédaction De leral.net
    Drague : Sindiély n’en a pas marre de Y’en a marre

     

     

    Depuis 3 jours, Sindiély Wade fait la cour aux dirigeants du mouvement Y’en a marre à qui elle veut faire croire que son intention c’est d’en savoir un peu plus sur le mouvement. Mais c’est méconnaitre ses interlocuteurs qui, selon le quotidien l’As, lui ont recommandé de consulter les journaux pour comprendre la démarche de Y’en a marre qui n’est plus à présenter au Sénégal. Mais elle ne s’avoue pas vaincue. Sindiély Wade a la conviction que là où son père a échoué, c’est à elle de sauver l’honneur. Mais la chance semble lui tourner le dos d’autant plus que pour Fadel Barro et ses amis, Sindiély Wade ne mérite même pas leur attention car elle les a tout simplement snobés lors du Festival mondial des arts nègres de décembre dernier.


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  • Sex and State : Une fille d’un musicien engrossée par le conseiller d’un ministre

     

    LERAL.NET - Encore une affaire de sexe au sommet de l’Etat. Pour cette énième affaire de « bas ventre », le principal mis en cause, c’est le conseiller d’un ministre d’Etat. Qu’est-ce qu’il a fait le gus ?

     

    Par la rédaction De leral.net
    Sex and State : Une fille d’un musicien engrossée par le conseiller d’un ministre
     
    Il a mis à profit sa virilité pour en faire voir de toutes les couleurs la fille d’un musicien qu’il a fini par enceinter. Mais ironie du sort, il se trouve que ce dernier est un farouche opposant des libéraux.

    Toutefois, le conseiller qui a engrossé sa fille a reconnu les faits et compte prendre ses responsabilités de père. Ce qui met le musicien dans ses états puisqu’il voit mal se réveiller sous son toit un enfant d’un proche du régime actuel. Mais le « mal » est déjà fait et il devra s’y faire.

    On se rappelle ce scandale sexuel qui avait mis au-devant de la scène Diombas Diaw et Abdoul Aziz Diop (Directeur de cabinet du ministre de l'Habitat) qui appartiennent au Parti démocratique sénégalais et qui se vouent une haine viscérale. Le premier a été piégé et filmé nu par une fille, Khady Mbaye qui a soutenu avoir agi sur recommandation du camp d’Oumar Sarr qui voyait en Diombass Diaw un adversaire politique dangereux.

     


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  • Serigne Sidy Mbacké, marabout : « Wade ne m’a jamais donné de passeports diplomatique »

     

    LERAL.NET - Serigne Sidy Mbacké, un marabout qui sort de l’ordinaire et appelle à l’unité et à la patience pour le départ de Wade.

     

    L'équipe de rédaction de la journée


    Serigne Sidy Mbacké, marabout : « Wade ne m’a jamais donné de passeports diplomatique »

     

     

    Trouver dans sa maison sise à Darou Salam à Mbacké, le petit fils de Serigne Touba Khadim Rassoul nie toute accusation sur les passeports diplomatiques que certains disent avoir reçu des mains du Président de la république. Le marabout qui a préféré apporter un démenti sur Léral .Net dira « je n’ai jamais été reçu par le président de la république, je ne suis pas son marabout et il ne m’a jamais donné de passeport diplomatique ». Mieux Serigne Sidy Mbacké soutient qu’il sait bien ce qui se passe dans ce pays et la situation actuelle du pays, il le suit de très prés en tant que citoyen.

    Toutefois le marabout demande aux Sénégalais d’éviter la violence et d’attendre le moment opportun pour faire partir Wade car on n’arrache pas un pouvoir par la violence sinon le pays risque de tomber dans un chaos total à l’image de certains Africains conclue le marabout.

    Moussfa


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  • Jeune Afrique s'est encore vendu à Karim Wade

    Jeune Afrique s'est encore vendu à Karim Wade

     

    POLITICOSN.COM.Dans un article élogieux et très peu critique, dont Jeune Afrique à la marque de fabrique, le journal panafricain consacre sa Une et quatre pages à l'intérieur de son dernier numéro à Wade fils. L'article écrit par son envoyé spécial à Dakar, Rémi Carayol passe en revue l'homme Karim, mais tout démontre entre les lignes qu'il s'agit d'un acte bien concerté d'un plan de communication global lancé depuis dimanche par les services de communications de Wade fils avec la publication de sa lettre ouverte aux sénégalais. Il faut dire que Jeune Afrique vole toujours au secours de Karim Wade dans les moments difficiles. L'un des fils du propriétaire, Marwanne Ben Yahmed, un des patrons de la rédaction du journal, est l'un de ses amis parisiens.

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  • Mahmoud Saleh confirme la présence de mercenaires sur le sol sénégalais

     

    LERAL.NET - Le débat sur les mercenaires qu’auraient recruté les faucons du régime continue son bonhomme de chemin. Cette fois-ci, c’est Mahmoud Saleh qui vient confirmer la présence sur le sol sénégalais de mercenaires en provenance de pays limitrophes du Sénégal et un peu plus éloignés.

     

    Par la rédaction De leral.net


    Mahmoud Saleh confirme la présence de mercenaires sur le sol sénégalais

     

     

    Saleh qui était ce weekend dans la banlieue dakaroise, plus précisément à Golf Sud dans le cadre des activités politiques de l’Apr a déclaré que les professionnels de la guerre recrutés par le régime se dénombreraient à 400. « Certains proviennent de la Cote d’Ivoire. D’autres vont venir en renfort de la Guinée Bissau », a-t-il révélé.

    La nouveauté dans cette affaire, c’est que le nombre de ces mercenaires qui étaient naturalisés Nigérians et Ghanéens est passé de 150 à 400. Ce qui installerait le pays, selon Idrissa Seck qui s’est prononcé sur la question la semaine dernière dans un chaos total.

    AKC


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  • Doudou Ndiaye Mbengue : « Pourquoi Amy Collé Dieng a quitté le pays »

     

    LERAL.NET - Le recours aux pratiques mystiques pour freiner la carrière de son prochain est bien une réalité dans le milieu de la musique sénégalaise. C’est en tout cas la conviction de Doudou Ndiaye Mbengue.

     

    Par la rédaction De leral.net

     

    Doudou Ndiaye Mbengue : « Pourquoi Amy Collé Dieng a quitté le pays »

     

     

     

    Doudou Ndiaye croit en savoir beaucoup plus que les autres sur la fugue d’Amy Collé Dieng. D’après le neveu de la défunte cantatrice Ndèye Marie Ndiaye Gawlo, l’auteur de « Ma Gawlo » qui se trouverait actuellement au Mali est victime de maraboutage. Mieux, à en croire Doudou Ndiaye Mbengue qui a déversé sa bile sur les pratiques mystiques de ses compères dans les colonnes de Weekend Magazine lu par Leral.net, Amy Collé Dieng a été contrainte mystiquement à quitter le pays. « Elle est atteinte et chassée mystiquement du pays. C’était pour la même raison qu’elle était restée longtemps en Italie », croit-il savoir. « Dans notre métier si tu n’es pas protégée mystiquement, tu risques de décéder prématurément », poursuit-il non sans tenter de rassurer ses semblables. « Pourtant moi, je jure devant Dieu que je n’ai jamais prononcé le nom d’un artiste devant un marabout », soutient le lead vocal de Ridial Band.

    AKC

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    Réponse: Lettre ouverte à monsieur le ministre de la Coopération internationale, des Transports aériens, des Infrastructures et de l’Energie

     

    A monsieur le ministre de la Coopération internationale
    A monsieur le ministre des Transports aériens
    A monsieur le ministre des Infrastructures
    A monsieur le ministre de l’Énergie
    A monsieur le fils du président de la République du Sénégal

     

    Par la rédaction De leral.net
    Réponse: Lettre ouverte à monsieur le ministre de la Coopération internationale, des Transports aériens, des Infrastructures et de l’Energie

     

     


    Je vous adresse cette lettre ouverte suite à la vôtre que vous avez adressée à toute la nation sénégalaise et dont une conférence de presse aurait suffi pour vous faire entendre courageusement.
    Dans votre lettre, vous dites combattre toute idée de dévolution monarchique croyant pouvoir émouvoir les sénégalais. Apparemment vous êtes en marge des attentes des sénégalais après les événements du jeudi 23 juin passé où toute une nation a fait bloc au péril de leur vie, versant sang et sueur durant cette matinée devant les portes de l’assemblée nationale pour dire Non au projet de loi de vice-présidence qui ne visait qu'à vous frayer un raccourci pour loger définitivement au palais de la République en tant que chef suprême de la magistrature et gardien de la constitution. Une constitution que votre père prend comme les règlements intérieurs d'un tour de famille au nom de Wade.

    Votre père, le président de la République du Sénégal, après 26ans d'opposition, de combat pour donner la démocratie son importance dans notre Sénégal n'a rien trouvé d'autre que de mêler la consanguinité dans les plus hautes sphères de l’État. Et vous, pour en rajouter vous osez nous écrire nous peuple offensé, nous peuple déçu et outragé, vous osez nous écrire une lettre ouverte pour juste espérer qu'on vous croit quand vous dites que vous combattez une dévolution monarchique. Vous ne semblez vraiment pas analyser la teneur des manifestations passées.

    Monsieur le ministre ne pensez-vous pas vous avez fait une erreur de conjugaison, car sachant que vous êtes l'exemple physique de cette idée de dévolution monarchique pourquoi ne pas admettre que les sénégalais dans leur majorité ne vous aiment, avoir la grandeur de reconnaitre cela pour ensuite démissionner de vos responsabilités et vous donnez à la justice comme vous en êtes conscient au point de dire que comme tout être humain, vous demandez à être entendu, jugé sur des actes vérifiés et donc probants et non sur des rumeurs sans fondement. Il n'est pas trop tard, car plutôt vous le ferez mieux ça vaudra pour vous.

    En écrivant cette lettre ouverte, vous savez bien et devinez bien que personne ne croira à vos propos.
    Monsieur le ministre, juste vous dire que ceux qui vous conseillent ou qui vous poussent à vous prétendre présidentiable vous narguent. Commençant par votre père, votre mère qui au lieu de penser à vous sauver des sénégalais laisse faire, et tous les conseillers et collaborateurs qui vous assistent, vous poussent vers une chute fatale pour votre personne physique comme morale, car dehors le peuple vous hait, le peuple vous méprise monsieur le ministre. Sachez que tout ce que le peuple garde contre votre vieux père risque vous être déversé.

    Monsieur le ministre, essayez de nous faire croire que le projet de dévolution monarchique est de l'intox montre que vous ne respectez pas l'intelligence des sénégalais qui ont élu votre père. Vous pensez que l'argent et la presse, votre presse à vous, vous éliront mais vous vous trompez. Sachez que vous rêvez debout si vous croyez que vous avez le même destin que le Président Ali Bongo.
    Ce projet de dévolution monarchique que vous niez actuellement est effet un projet franc-maçonnique que votre père veut coute que coute concrétiser avant sa mort comme le défunt Omar Bongo y a été obligé pour la continuité de ses projets maçonniques.

    Votre père le président Abdoulaye Wade, après multiples propositions et tentations à celui qu'il prenait comme son fils d'emprunt et dont il espérait une soumission totale tant intellectuelle que spirituelle, Idrissa Seck lui a refusé catégoriquement toute adhérence dans cette obédience que toutes les religions condamnent. D'où son acharnement à dire que si Idrissa Seck veut devenir Président, il n'a qu'à suivre les rangs. Tout le monde sait que s'il s'agit des rangs du Parti démocratique sénégalais Idrissa Seck est deuxième et votre père lui-même a rayé le poste de numéro 2 dans le parti. Maintenant reste le rang de la Franc-maçonnerie, et sachant que le temps presse pour lui il se retourne vers l'option "je dirais à maman que tu as bien travaillé". Vous qui malheureusement n'avez aucune culture sénégalaise comme le cas d'Ali Bongo au Gabon, peine à se faire aimer pour pouvoir gérer la continuité des projets maçonniques de votre père.

    Monsieur le ministre, le rêve est certes permis mais il se concrétise avec la manière et depuis le début vous et votre père avaient engagé la mauvaise manière, soyez surs le Sénégal est maintenant debout et fera face.

    Les meurtres par sacrifice n'y pourront rien, les dérives peuvent s'accélérer, les intimidations et corruptions peuvent continuer, mais sachez que vous êtes au début de votre fin.

    Monsieur le ministre, si vous avez remarqué jusque-là je n'ai pas encore prononcé votre nom car vous ne représentez rien pour les sénégalais dans leur majorité et vous ne représenterez jamais rien si ce n'est être celui qui payera les pots cassés après la présidence de votre père.

    Pour l'instant, je respecte les institutions même si bafouées de mon cher pays en vous adressant mes salutations les plus respectueuses, mais inchAllah après le mandat de votre père sachez que vous aurez beaucoup de comptes à rendre au peuple sénégalais et Dieu sait que c'est pas les forces Licornes françaises qui sauveront votre peau de citoyen français devant la justice sénégalaise.

    Tahirou Sarr, Tah!

    Tah58@live.fr


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  • C'est le journal Satelit qui donne l'info : face aux nombreuses sorties nocturnes de son mari, Thione, Kiné s'est résolue à accepter le fait que son mari de chanteur épouse une seconde épouse.

     

    Photo : Kiné, la femme de Thione Seck, prête pour une seconde épouse dans la maison

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  • LUTTE SENEGAL SUNU LAMB.

     

     

     

     

     

    (APS) – Quatre personnes ont trouvé la mort lors d’un violent orage qui s’est produit samedi vers 19 heures au quartier de Ndindy Affé à Touba, a appris l’APS de source sûre.

    ’’Une femme enceinte et un homme ayant un traumatisme crânien et les jambes fracturées n’ont pas survécu à leurs blessures, à la suite de leur transfert à l’hôpital de Dianatou Mahwa’’ de Touba, souligne la même source.

    Assane Lô, chef dudit quartier a précisé ’’qu’un vent violent a détruit plus de 150 habitations et plongé les populations dans un grand désarroi’’.

    Il a saisi l’occasion pour lancer un appel aux autorités pour aider les populations touchées par ce sinist


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  • SENEGAL-EDUCATION-EXAMEN

    Démarrage des épreuves bu bac, lundi, avec 80.000 candidats

    Dakar, 3 juil (APS) – Quelque 80.000 candidats répartis dans 242 jurys entament, à partir de lundi, les épreuves du baccalauréat général 2011, sur l’ensemble du territoire sénégalais.

    Ces jurys sont répartis dans 71 localités et 183 centres d’examen, dont 39 centres secondaires.

    En termes de statistiques, l’effectif global des candidats a augmenté de 10,8% par rapport à 2010, avait indiqué le directeur de l’Office du baccalauréat, Babou Diakham, lors d’une conférence de presse tenu récemment.

    Quelque 56 674 candidats sont inscrits dans les séries littéraires (70, 8%) et 23.328 en séries scientifiques et techniques soient 29, 2% (Série S 26, 4%, Série G 3, 9%, Série T 0,7%).

    Les filles sont au nombre de 34.322 soient 42,9% des effectifs. Les candidats officiel sont 62.109 soient 77, 6% des inscrits, selon le directeur de l’Office du bac.

    Quelque 17.893 candidats se sont inscrits à tire individuel. L’on compte aussi des candidats inscrits aux épreuves facultatives de la liste A (15.293) et aux épreuves facultatives de la liste B (1.601).

    Au total, 457 sujets seront distribués pour les deux sessions et 3.581 correcteurs et examinateurs convoqués pour la session normale, avait fait savoir le directeur de l’Office du baccalauréat.

    Les épreuves anticipées de philosophie se sont déroulées le 9 juin dernier.

    Les corrigés des épreuves seront disponibles sur le site Internet de l’Office du baccalauréat (www.officedubac.sn) à l’attention des correcteurs ‘’avant les réunions de concertation pour toutes les disciplines, sauf pour le français, l’histoire et la géographie’’, selon M. Diakhma.


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  • Abdou Latif Coulibaly à Saint Louis : "mon livre est un alerte face à la dégradation avancée de la République"


    Abdou Latif Coulibaly à Saint Louis : "mon livre est un alerte face à la dégradation avancée de la République"
    En marge de la présentation de son nouvel ouvrage «La République abimée», hier dans la grande salle de la Chambre de Commerce de Saint-Louis, le Journaliste et écrivain Abdou Latif Coulibaly est revenu sur les motifs de cette nouvelle parution qui remet en cause la gestion actuelle du pays par le régime de Wade.

    A travers l’histoire d’un jeune garçon nommé Abdoulaye Wade Yinghou qu’il relate, l’auteur décrit de façon métaphorisée la désespérance de la jeunesse sénégalaise otage d’un chômage aigu et de nombreuses promesses jamais tenues. Ce jeune qui porte le nom du président actuel est né au mois d’avril 1983. Il avait quitté son bled natal dans un village près de Sédhiou pour rejoindre Dakar afin d’y chercher du travail.

    En passant hasardeusement par une manifestation quelque part dans une rue de Dakar, il sera abattu et déchiqueté sauvagement. Pourtant, son père Noumou Yinghou lui avait donné le nom de cet opposant qui sillonnait le territoire national et qui devint président.
    Pour lui, celui-ci était une indication de Dieu, un signe d’espoir et d’espérance : le signe de promesse d’un Sénégal aux lendemains meilleurs.
    Celui qui était pour ce père l’espoir d’un bel avenir devint alors le triste bourreau du fils.
    « J’ai tenu à raconter l’histoire de ce jeune homme parce qu’elle épouse, à bien des égards, l’histoire politique de notre pays au cours des 20 dernières années », a affirmé M. Coulibaly qui a ajouté qu’une semaine après la parution du livre, « un jeune autre Abdoulaye Wade Yinghou a été tragiquement assassiné et il s’agit du défunt Malick Ba à Sangalkam ».
    « Bref, pour avoir promis le paradis à son peuple, pour avoir dit qu’il est le messie, l’alpha et l’oméga de la politique, un homme a été élu. Cet homme s’est révélé être un piètre président de la République » a-t’il lancé.

    En outre, « ce qui s’est passé le Jeudi le 23 mai montre parfaitement que le pays se trouve dans une situation catastrophique » a insisté le Directeur de publication de la Gazette qui justifie que c’est « une bonne raison de se pencher sur la gouvernance de notre pays».

    Le Directeur de l’Institut Supérieur des Sciences de l’Information de la Communication (ISSIC) a affirmé par ailleurs que ce livre est « à la fois une critique et un constat pour mettre un terme à l’Etat de dégradation de la République sénégalaise ».

    L’écrivain s’est enfin réjoui de la prise de conscience collective face au processus « indignant » de détérioration de la République, matérialisée notamment lors du vote de la loi instituant le ticket de vice président au Sénégal.

    Cheikh Saad Bou SEYE de NdarInfo.com

     


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  • Présidentielle 2012: Ibrahima Fall tisse sa toile à Touba

    ibrahima fall2Le candidat déclaré Ibrahima Fall a profité du Magal Kazu Rajaab pour rencontrer plusieurs petits-fils de Kadimou Rassoul dans la ville sainte. Le prétendant à la magistrature suprême a presque fait le tour des grandes familles de Touba lors de son périple à qui il a présenté et expliqué les raisons de sa candidature à la prochaine présidentielle en 2012.

     

    Le Pr Ibrahima Fall est certes un technocrate avéré mais il n'en demeure pas moins un homme du serail politique et réligieux. Ayant côtoyé les grands marabouts durant ses fonctions ministérielles et internationales, le candidat a voulu raffermir ces relations avec les familles de ces illustres disparus. A Touba, la ville sainte, pendant le Magal Kazu Rajab, l'ancien SG Adjoint de l'ONU a initié une série de visites privées chez les petits-fils de Serigne Touba. A chaque étape, il a tenu à rappeler  les liens qu'il avait  avec les différents Khalifes avant d'exposer les grandes lignes de son programme et d'expliquer son choix de se jeter dans la bataille politique. Plusieurs conseils lui ont été prodigués afin que la droiture et le travail soient le fondement de son action politique.

    Pour rappel Ibrahima Fall s'est déclaré officiellement candidat à la présidentielle 2012 depuis le 10 juin dernier. Le Pr Ibrahima Fall, 62 ans, a été ministre de l’Enseignement supérieur, puis des Affaires étrangères du Sénégal. De 1992 à 1997, il était sous-secrétaire général des Nations unies, chargé des droits de l’homme. Dans son parcours politique, un fait reste toujours dans la mémoire des Sénégalais. En 1986, lors des bombardements américains sur Tripoli et Benghazi, Ibrahima Fall en tant Ministre des Affaires Etrangères était le seul à dénoncer ces actes devant le Conseil de Sécurité de l'ONU.

    Ibrahima Fall, a le vent en poupe selon certains observateurs même si d'aucuns voient sa principale faiblesse dans l'absence d'une machine politique à ses côtés. Le 26 février 2012 édifiera.

     

    Serge Kader Diatta

    KepaarNews Dakar


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  • Karim Wade candidat du PDS en 2012...

     


    Karim Wade candidat du PDS en 2012...
    POLITICOSN.COM. Au lendemain de sa lettre aux sénégalais, il faudrait indiquer que le fils du président de la République n'a pas encore renoncé à son destin présidentiel. Bien au contraire. Il s'agit d'une simple stratégie de communication et la tactique déployée est de se présenter comme une simple victime de l'opinion. Dans les mois à venir face à l'improbabilité de la candidature de son père, c'est Karim Wade qui va aller à la conquête des suffrages des sénégalais. Le nouveau schéma est d'en faire le candidat du Parti démocratique sénégalais. Ce qui devrait, sans aucune surprise, entraîner l'explosion du PDS.

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  • Diop Decroix

    Le Secrétariat Permanent de AJ/PADS (pouvoir) considère que la résolution de la crise énergétique est devenue un impératif pour la stabilité politique et sociale du pays. Par ailleurs, le Secrétariat Permanent condamne les dérapages survenus, se démarque des positions surenchéristes et autres menaces et exprime sa solidarité aux victimes des exactions lors des manifestations.

    Le Secrétariat Permanent lance un appel pressant aux forces politiques et sociales, aux leaders d’opinion et à toutes les organisations éprises de paix et de démocratie pour arrêter les violences en vue de favoriser les conditions de retour à la paix et à la sérénité, tendant à créer un climat apaisé pour des élections libres et transparentes.


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